Qu'il est loin le temps où le cinèma français de l'immèdiat avant-guerre ètait tout entier marquè par la forte personnalitè de Marcel Carnè, mais aussi par celle de Jacques Prèvert, sans lequel le rèalisme poètique français ne serait certainement pas ce qu'il est au yeux de tous les cinèphiles du monde entier! Rèalisè la même annèe que "La maman et la putain" (mais sorti en 1974), on reste muet d'admiration devant une telle ...
Lire plus
Une visite pas si merveilleuse que cela surtout pour les esprits cyniques, blasés, vraiment peu portés par la poésie très naïve... Quelques beaux paysages bretons et peut-être l'interprétation de Roland Lesaffre, voilà ce que l'on peut sauver. Alors Marcel Carné, qui a été aussi mauvais après-guerre qu'il a été bon avant, nous sort l'archétype de l'ange blond, androgyne, candide, gentil mais ayant forcément le QI d'un bulot, ...
Lire plus
Un visiteur
2,5
Publiée le 3 novembre 2008
On peut comprendre que le film n'ait pas marché en 73, malgré un coté un petit coté power flower, la réalisation ne pouvait qu'être classée rétro. Aujourd'hui il y a prescription, Carné savait faire de belles images et ma foi un peu de poésie ne fait jamais de mal.
Plutôt que se moquer, autant dire tout de go ce qui ne va pas dans ce film; l'absence de raccord entre les deux types de scénario qu'il imbrique, le merveilleux et le social. Disons qu'entre ces deux aspects le film va son petit train, incapable de trancher dans l'un ou l'autre cas. Quant à l'illogisme du verre qui se brise (celui du rétroviseur et du miroir), il n'est pas dévidé en suite logique (l'appareil photo d'Alphonse aurait dû en ...
Lire plus