Guerra a été inspiré à Pippo Delbono lors de la tournée du spectacle du même nom en Israël et en Palestine. Dans ce film, l’auteur ausculte avec un regard poétique et glaçant cette partie du monde en ruines où misère, haine et massacre font partie du quotidien. Les barbelés, les mendiants, les maisons détruites dessinent le triste portrait de cette « Terre Sainte » marquée par le chaos. Au-delà du cas israélo-palestinien, c’est un discours universel sur la guerre et la sauvagerie de la nature humaine que porte le réalisateur.