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Synopsis
Le gangster Willie Parker coule des jours heureux depuis qu'il a dénoncé ses complices à la police. Il est brusquement arraché à ses occupations lorsqu'il apprend que son ex-associé a engagé un tueur.
13 ans après son premier long métrage ("Gumshoe" en 1971) Stephen Frears se relance sur grand écran avec un polar assez atypique, sorte de road-movie philospohique et fatal. Comme il le dit lui même Frears s'est d'abord fait la main à la télévision (notamment à la BBC) pour oser revenir avec un vrai projet. Le casting est remarquable, plaçant en face à face Terence Stamp et John Hurt, deux visions particulières face à la mort, tandis ...
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weihnachtsmann
1 141 abonnés
5 120 critiques
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3,5
Publiée le 20 août 2017
Il se dégage du film une certainement mélancolie. Non pas uniquement à cause de la guitare espagnole mais aussi aux longs échanges verbaux entre les personnages: comment changer les choses ou comment envisager la vie. Un des 4 va trouver la solution et s'évader en solitaire comme si le film allait recommencer. Original
Henrico
164 abonnés
1 327 critiques
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4,0
Publiée le 19 août 2020
Du très grand Frears. Avec un scénario fait de trois bouts de ficelles narratives, le britannique nous construit un road-movie-thriller andalo-british de toute beauté. Choisissant des acteurs intenses et un flamenco hypnotique de Paco de Lucia, usant d’une stylisation intelligente de la violence et d'un humour aux tonalités intimiste et philosophique, Frears mélange harmonieusement des genres et abouti à un résultat très cohérent, en ...
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Caine78
6 677 abonnés
7 398 critiques
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4,0
Publiée le 15 juillet 2009
Stephen Frears fait partie de ces metteurs en scène capable de nous surprendre à chaque film, et il nous en offre une nouvelle fois la preuve avec cette oeuvre singulière, souvent étrange mais en définitive diablement séduisante. En effet, loin d'être un simple road-movie sans saveur, le film réussit bien au contraire à dépasser les codes du genre, et ce pour nous offrir des situations pour le moins étonnantes et souvent savoureuses, ...
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The Hit, qui signifie à la fois "le coup" et "le contrat", fut présenté au Festival de Cannes 1984, dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs.
Deuxième film de Frears
Treize ans séparent Gumshoe (1971), son premier film, de The Hit. Stephen Frears s'en expliqua : "Je ne connaissais pas grand chose quand j'ai fait Gumshoe. J'ai ensuite travaillé pendant des années à la BBC et la télévision m'a permis de chercher ma voie (...). The Hit raconte l'histoire d'hommes qui tentent de mourir de la meilleure façon possible. L'un d'eux rêve d'une mise en condition spirituelle, l'autre, son tueur, sait parfaitement que la
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Un drôle de personnage
La Mercedes Euro W111 dans laquelle, Willie Parker (Terence Stamp) est kidnappé peut être considéré comme un des personnages de The Hit. Le film suit tout le trajet qui ramène cet ancien gangster d'Espagne à Paris où ses anciens partenaires qu'il a trahi l'attendent.