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Synopsis
Cette reine, c'est Jeanne, et elle vit dans un pavillon de banlieue. Elle fait des ménages. Son compagnon, Albert, est veilleur de nuit. Pour aider le fils d'Albert, récemment sorti de prison, à kidnapper sa bien-aimée et son enfant, elle porte une lettre. Cette mission lui prend toute une rude journée, qui se transforme pour elle en un nouveau Mayerling. Car elle ne supporte sa vie qu'en la "sublimant" dans une autre vie imaginaire. De là, la naissance de cauchemars et de fantasmes qui lui feront vivre une double et triple journée en la transposant à diverses époques et dans des situations variées.
Une bonne photographie d'une famille de prolos très moyenne dans les années 70, le scénario entre la réalité et les rêves de la mère de famille donne au film une singularité intéressante pas toujours exploitée au mieux par une réalisation faiblarde hélas.
QuelquesFilms.fr
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1 639 critiques
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1,5
Publiée le 1 janvier 2014
Sur le papier, le scénario est plutôt intéressant avec deux thématiques qui reviennent constamment dans la petite filmo de René Allio (onze long-métrages dont l'excellent Moi, Pierre Rivière...) : la peinture sociale des "petites gens" et l'expression de l'aliénation. Le cinéaste brosse ici le portrait d'une femme ordinaire, soumise à son mari, à sa famille, et cantonnée en toutes choses à des tâches domestiques. De ce quotidien ...
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jfharo
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0,5
Publiée le 26 septembre 2011
Un film fourre tout et agaçant au possible , à éviter .
Eowyn Cwper
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2 039 critiques
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2,5
Publiée le 8 décembre 2017
septiemeartetdemi.com - Ou comment tirer, avec des outils littéraires, un réalisme très fort d'un prolétariat marqué. René Allio est assez peu connu dans le paysage cinématographique français : c'est un homme de théâtre venu des lettres. Simone Signoret, qui tient le rôle principal, est à deux ans d'entamer à la fois sa dernière décennie de vie et sa carrière d'écrivain. Alors le style a suivi : peu soucieux du sens, le film le ...
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C'est à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis que le réalisateur René Allio a filmé, du 7 mai au 22 juin 1973, le quotidien des petites gens de Rude journée pour la reine. Cette ville, le cinéaste la connaît bien puisqu'il a contribué, en 1964, à la transformation de la salle des fêtes d'Aubervilliers en Théâtre de la Commune.
Le prince et le pauvre
Simone Signoret, qui joue Jeanne la mythomane, incarne un personnage pointant du doigt une société de consommation où, finalement, prolétaires et favorisés ont autant de problèmes auxquels ils doivent faire face, bien qu'ils soient différents. Ainsi, la femme de ménage se fait souveraine, mais les soucis de celle-ci ne seront jamais aussi considérés que lorsqu'elle s'imaginera être un important personnage.
La reine de ces messieurs
On pourrait dire de Simone Signoret qu'elle est une actrice fidèle mais éclectique : une fois qu'elle trouve réalisateur à son pied, elle n'hésite pas à jouer pour celui-ci sur plusieurs longs-métrages. Jean Boyer, Yves Allégret, René Clément, elle participa à au moins deux ou trois films de ces derniers. Cependant, Rude journée pour la reine fut la seule production de René Allio au générique de laquelle elle apparut, puisque la comédienne fétich
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