Une puissante évocation des populations tsiganes naît de la rencontre entre l’œuvre picturale d’Otto Pankok et la parole de descendants ou de victimes de persécutions durant le nazisme. Le film restitue le destin douloureux d’un peuple digne, constamment stigmatisé et menacé, une communauté qui énonce ici un « nous » bouleversant.