En réduisant les cinq actes de l’opéra français à qautre – structure alors totalement inédite, Gluck impose, avec cette œuvre, sa suprématie sur Piccini et sur la musique française de la fin du XVIIIe siècle.
Après les ouvrages de Rameau, l’Iphignénie en Tauride de Gluck finit d’affirmer la suprématie du compositeur sur le librettiste et les interprètes : le musicien « artiste », indifférent aux règles et recettes, est né…