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Synopsis
Interdit - 16 ans
Une jeune fille est suspectée du meurtre de son amie, une femme plus âgée avec laquelle elle entretenait une relation pervertie. Placée dans une maison de redressement tenue par des religieuses, elle reçoit la visite d’un magistrat, d’un pasteur, ainsi que d’une jeune avocate qui ressemble étrangement à son amie défunte. Pourvue d’une imagination fertile, la jeune fille mélange ses rêveries d’enfant à une sensualité déjà très consciente, opérant sur les adultes qui l’approchent une modification sournoise de l’esprit comme de la chair…
Ce film est une ode à Anicée Alvina, construit pour elle et autour d'elle et c'est tout simplement magnifique, les images sont à la fois troublantes et splendides distillant un érotisme subtil. La narration est déroutante mais c'est volontaire, on sait très bien que ces cellules aux murs blancs immaculés gardées par des religieuses n'existent pas, pas plus que les inquiétants sous-sols. Alors, ce qu'on voit ce sont (peut-être) les ...
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BlindTheseus
299 abonnés
2 566 critiques
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4,0
Publiée le 25 avril 2009
Style particulier pas accessible à tout le monde, l'absurde donne bien souvent naissance à des oeuvres intéressantes et/ou provocatrices - comme en ce cas présent -; et surtout pour des scènes de cachot pas piqués des hannetons, malgré un effilochement singulier de l'histoire.
calamarboiteux
28 abonnés
440 critiques
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1,0
Publiée le 15 janvier 2011
Nora (Olga Georges-Picot) a été tuée d’un coup de ciseau, son amie Alice (Anicée Alvina) est-elle coupable ? De l’enquête émergent surtout des fantasmes.
Le film a une grande beauté formelle, portée par de magnifiques portraits, de belles images, et une alchimie sonore assez envoutante ; il y a quelque chose de Godard dans la manière de présenter. Malheureusement ceci n’est au service que de fantasmes esthétisants, ne créant ...
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Un visiteur
1,0
Publiée le 30 juillet 2009
Pour le milieu autorisé seulement pour les autres circulez il n'y a rien à voir! Non en fait il y a des passages intéressants mais dans l'ensemble j'ai rien compris au film.
Avec Glissements progressifs du plaisir, Alain Robbe-Grillet retrouve pour la troisième fois Jean-Louis Trintignant. Leur collaboration remonte à 1967 sur Trans-Europ-Express, puis l’année suivante avec L'Homme qui ment où l’interprète a reçu l’Ours d’argent du meilleur acteur au Festival du film de Berlin. Ils renouvelleront une dernière fois leur association en 1975 avec Le Jeu avec le feu.
On ne change pas une équipe...
En 1975, Alain Robbe-Grillet, le "pape du nouveau roman", réunit une bonne partie de l’équipe de Glissement progressifs du plaisir pour son nouveau film, Le Jeu avec le feu. Dans ce long-métrage, on retrouve notamment Jean-Louis Trintignant, Anicée Alvina et Nathalie Zeiger du côté des comédiens, mais également Yves Lafaye à l'image, Michel Fano à la composition et Luc Béraud en tant qu'assistant réalisateur.
Isabelle Huppert figurante !
Isabelle Huppert a fait ses débuts au cinéma dans Glissements progressifs du plaisir avec un petit rôle de figurante.