Le cheminement, à la fois bouleversant et bouleversé, de celui qui fut le premier journaliste à être assassiné par les terroristes en Algérie, en 1993.
Depuis son enfance, dans son village natal d’Oulkhou, à Azeffoun (Grande Kabylie), jusqu’au summum de sa carrière intellectuelle, lorsqu’il fut admis dans la cour des grands à l’âge de 33 ans, Tahar Djaout est dépeint, autant par ses proches que par les critiques littéraires et les journalistes nationaux et étrangers.