What the f*** ?!¿
C’est la première chose qui nous vient à l’esprit après avoir enduré les 90min que compte Haltéroflic (1983).
Une œuvre totalement barrée, voir complètement WTF où l’on se retrouve plongé au cœur d’une intrigue policière se déroulant quasi intégralement dans une église désaffectée à Pigalle. Cette dernière, transformée en salle de musculation, est le théâtre d’une mystérieuse disparition, ...
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Une ode à la virilité avec des culturistes en débardeurs troués & moule-b...https://www.senscritique.co...
RENGER
Une ode à la virilité avec des culturistes en débardeurs troués & moule-burnes.https://www.senscritique.co...
RENGER
What the f*** ?!¿C’est la première chose qui nous vient à l’esprit aprèsavoir enduré les 90min que compte Haltéroflic (1983).Une œuvre totalement barrée, voir complètement WTF oùl’on se retrouve plongé au cœur d’une intrigue policière se déroulant quasiintégralement dans une église désaffectée à Pigalle. Cette dernière,transformée en salle de musculation, est le théâtre d’une mystérieusedisparition, celle d’un culturiste.Pour mener à bien son enquête, un flic va s’y infiltreret faire la rencontre du tenancier, à savoir Loukas, un colossegrec qui pratique le culturisme comme un acharné.A ses côtés, un de ses collègues n’aura rien trouvé demieux que de se travestir en prostituée pour passer incognito (ce dernierfinira même par prendre goût à sa nouvelle vie de trottoir).Qu’a bien voulu nous raconter Philippe Vallois à traverscette œuvre pour le moins… particulière ? Un voyage initiatique où lesacteurs passent 90% de leur temps en débardeurs troués et moule-burnes àsoulever de la fonte, tout en se gavant de protéines.Tandis que le grec prend un malin plaisir à prodiguer desconseils sportifs sado-maso (Loukas ne peut s’empêcher de frapper sonpartenaire, qui lui, semble finir par y prendre goût).On a clairement affaire ici à une ode à la virilité,entrecoupée de passages chantés (qu’est-ce qu’ils viennent faire là, on se ledemande). Les apollons dévêtus seraient prêt à finir au lit s’ils ne setabassaient pas ?!Philippe Vallois aime filmer les corps masculins (lapuissance qui s’en dégage). Ici les corps se frottent, se touchent, … mais yavait-il pour autant une histoire à raconter derrière toute cette fantaisiepolicière (pour ne pas dire fantaisie sexuelle) ? Si oui, ilsemblerait que je sois passé à côté.http://bit.ly/CinephileNostalGeek