En différé des Arènes de Vérone. Pour l'ambiance unique au monde des Arènes de Vérone, pour la mise en scène et le décor somptuosissime de Franco Zeffirelli (le palais de Pékin !), pour la Turandot ardente de Maria Guleghina, la Liù touchante de Tamar Iveri et le Calaf au timbre d’airain de Salvatore Licitra, sous la baguette d’un maestro comme en exige Vérone, Giuliano Carella.
Pékin, dans l'Antiquité. La princesse Turandot est d'une beauté légendaire. Ses prétendants viennent de partout pour la courtiser. Mais la cruauté de la princesse est à la hauteur de ses charmes. Refusant mystérieusement de prendre époux, elle échappe au mariage en imposant à ses prétendants une terrible épreuve. Ils doivent résoudre trois énigmes, au péril de leur vie.
Celui qui y parviendra gagnera à la fois la main de Turandot et le trône de Chine. Tandis que la lune se lève et que l'on exécute le dernier candidat malheureux, la foule se ravise et demande pardon pour la victime. Calaf maudit tout d'abord la beauté qui a conduit tant de jeunes hommes au supplice, mais quand apparaît Turandot, naît en lui l'irrépressible désir de la conquérir...