Tarek : "J’ai quitté mon pays après que ses dirigeants m’aient humilié et fermé toutes les portes du rêve et de l’espoir". — Adel : "Que l’état de mon pays me désole… Malheureusement, on casse la compétence, on brise la conscience, on casse la beauté… je crois que les choses sont devenues plus qu’impossibles". — Tahar : "Les moyens de vie sont inexistants. Il n’y a que des possibilités de suicides. Elles sont nombreuses. Tu peux mourir comme tu veux, mais pour vivre il n’y a aucun moyen de vie". — Ils sont tous citoyens algériens.