“Peut-être que ce lieu n’existe pas. Peut-être qu’il existe dans un film imaginaire qui ne saurait se terminer. Au commencement, il y a la mort du souvenir”, écrit la réalisatrice à propos de son film. Ce film se déroule à Aïnata au sud du Liban. Par des éclats d’images et de voix, le film tente de cartographier les récits de ses habitants, se déployant en de multiples territoires. Archives et paysages du présent s’entremêlent pour construire un film qui prend forme à partir d’un détail : le regard d’une jeune femme.