Engagé dans une profonde réflexion sur l’image (photographie, peinture, miroir), Jean Epstein s’intéresse ici à la photographie et au mystère qui entoure sa propension à immortaliser ce qui, justement, se trouve être mortel : dans ce jeu constant entre l’acteur mobile et l’art aux reflets d’éternité, le cinéaste entend représenter la beauté assassinée, à la fois celle de la femme dans la première version non censurée et ...
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