Mon compte
    Razorback
    Note moyenne
    2,6
    404 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Razorback ?

    67 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    21 critiques
    3
    15 critiques
    2
    14 critiques
    1
    7 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Artriste
    Artriste

    94 abonnés 1 887 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2024
    Avec Razorback, Russell Mulcahy réalise un film d'horreur efficace. L'histoire se déroule dans l'arrière-pays semi-aride australien, et nous fait suivre Jack Cullent, un homme qui, une nuit, est attaqué par un razorback, une créature sanguinaire ressemblant à un gros sanglier, dans sa maison isolée. Son petit-fils qu'il gardait est porté disparu suite à l'attaque. Le vieil homme est alors inculpé pour cette disparition mais est relâché faute de preuve. Depuis, il ne cesse de traquer cet affreux animal pour prouver sa bonne foi. C'est alors que deux ans plus tard une journaliste new-yorkaise, militante d'une association pour la protection des animaux, arrive sur les lieux pour un reportage sur les dérives de la chasse au kangourou. Ce scénario nous prend, pendant environ une heure et demie, dans sa spirale très singulière. Ce synopsis n'est que le point de départ d'une intrigue encore plus riche en rebondissements nous dépaysant dans cet enfer naturel hostile ou la faune et la flore peuvent être un danger, surtout quand un razorback rôde dans les parages. Ce film de monstre est plus profond qu'il ne laisse paraître puisqu'il traite de plusieurs thématiques comme de la culpabilité ou encore de la condition des animaux, sans oublier d'amour via une romance. Tous ces sujets mêlés donnent lieux à des scènes impactantes et sans concession dans ce qu'elles montrent à l'écran. Surtout, l'ambiance franchement inquiétante, malsaine et crasseuse, est une sacrée réussite et nous immerge totalement dans ce récit sordide. L'ensemble est porté par des personnages plutôt appréciables, interprétés par une distribution convaincante comprenant entre autre Gregory Harrison, Arkie Whiteley, Chris Haywood, David Argue ou encore Judy Morris. Tous ces rôles entretiennent des relations basées sur la méfiance et la violence, soutenus par des dialogues de bonne facture. Sur la forme, la réalisation du cinéaste australien est de qualité. Sa mise en scène, qui se permet même deux ou trois transitions brillantes, évolue dans un environnement oscillant entre terre ocre désertique lumineuse et nuits dangereuses. Ces deux facettes, associées à une esthétique travaillée, nous gratifie de certains plans sublimes franchement mémorables. Une photographie qui sait également être repoussante et poisseuse jusqu'à en être palpable avec toutes les carcasses d'animaux présentes à l'image. De plus, la bête féroce est parfaitement rendue crédible à la faveur d'une animatronique remarquable couplée à des effets spéciaux eux aussi qualitatifs. Ce visuel morbide est accompagné par une b.o. signée Iva Davies, dont les compositions sont dans le ton de l'action et renforcent l'atmosphère menaçante. Cette traque au gros gibier s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Razorback, qui, en conclusion, est un film méritant d'être découvert.
    mistermyster
    mistermyster

    45 abonnés 1 203 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Voilà un film hors du temps, il a fait son petit effet à sa sortie, aujourd'hui c'est une vulgaire série B, et on se demande comment son réalisateur a pu se voir confier Highlander juste dans la foulé.
    Toujours est-il que les habitants de cette Australie austère ont tous l'air de demeurés, rien n'est flatteur pour cette communauté, et les deux frangins sont les pires caricatures des êtres dénoués de bon sens et méchants comme des teignes.
    Alors qu'est-ce qu'il reste à sauver, juste une illusion, un héros qui ressemble à Mel Gibson dans le premier Mad Max sorti quelques années plus tôt, propre sur lui et qui se transforme en bête aussi féroce que le Razorback.
    Une certaine indulgence pour ce simili classique de l'horreur des années 80, fait de bric et de broc, un peu comme Evil Dead, grotesque mais culte.
    pierrre s.
    pierrre s.

    386 abonnés 3 256 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    Un vrai bon film d'horreur avec une ambiance hyper malsaine et des personnages déjantés comme on les aime!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 068 abonnés 4 115 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2021
    Russell Mulcahy, réalisateur australien de clips reconnu dans les années 1980 entièrement dédiées à ce nouveau média qui a permis, grâce à MTV, de booster les ventes de l’industrie du disque (on devrait plutôt dire du CD alors en plein essor), mourrait d’envie de passer à la réalisation de longs métrages. Ce sera chose faite à la suite de la proposition du producteur Hal McElroy qui avec son frère Jim avait mis le pied à l’étrier à Peter Weir. "Razorback" est adapté d’un roman de Peter Brennan surfant sur la mode des monstres animaliers lancée par Steven Spielberg en 1975 avec « Les dents de la mer ». Ours, chiens, alligators, rats, fourmis et autres volatiles géants constituent le bestiaire qui va envahir les écrans durant plus d’une décennie Au milieu de l’Outback australien, un sanglier géant débarque en furie dans la cabane d’un vieux chasseur de sangliers (Bill Kerr), l’amputant d’une jambe et enlevant son petit-fils dont il avait la garde pour un soir. Dès lors le vieil homme n’a plus qu’une obsession, retrouver le monstre pour l’abattre. Sa camionnette parcourt sans relâche le désert. On ne peut bien sûr pas s’empêcher de penser au Capitaine Achab de « Moby Dick » interprété par Gregory Peck dans le film de John Huston en 1956 et plus près de nous au capitaine Quint des « Dents de la mer » (Robert Shaw).Un schéma somme toute classique auquel est ajouté en surimpression la faute originelle du colonisateur blanc venu d’Angleterre qui en sus de massacrer et d’asservir la population aborigène ne respecte en rien la nature d’un pays pourtant immense. Le sanglier géant dès lors se pose en bras armé d’une punition céleste. Chez Spielberg, le grand requin blanc venait frapper l’industrie touristique s’étendant sans tenir compte de la préservation des côtes maritimes. Mais de la part de Mulcahy c’est surtout la palette esthétique qui était attendue et c’est bien sûr grâce à elle que « Razorback » demeure encore aujourd’hui un film envoûtant. Empruntant à l’univers visuel de fin du monde introduit par « Mad Max 2 » de George Miller sorti trois ans plus tôt et à la radicalité du fameux « Wake in fright » de Ted Kotcheff datant lui de 1971, le jeune réalisateur avec l’appui de Dean Semler, chef opérateur sur « Mad Max 2 », tire le meilleur parti du décor immense qui lui fait face pour plonger le spectateur comme ses personnages dans une sorte d’autre monde où l’animalité a repris toute sa place. Les deux frères Baker par exempe, complétement décérébrés qui abusent d’une journaliste new-yorkaise (Judy Morris) venue enquêter sur place et dont l’antre infernal, nous ramèneraient presque dans le dantesque atelier où Leatherface taillait ses biftecks humains dans « Massacre à la tronçonneuse » de Tobe Hooper (1974). L’alternance de ces visions d’horreur avec les magnifiques images d’un désert se teintant de toutes les couleurs qui rappellent la grande chaleur qui fait à la fois tout le charme et le malheur de l’Australie, donne ce ton si particulier à ce film qui laissait entrevoir une grande carrière pour Russel Mulcahy qui n’a pas survécu au naufrage de la suite de « Highlander » dont le premier épisode avait déjà montré que la maîtrise esthétique peut rapidement tourner à vide si elle n’est pas relayée par une direction d’acteurs au cordeau et surtout pas au service d’un sens de la narration efficace.
    Serpiko77
    Serpiko77

    53 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 janvier 2021
    Un des films les plus populaire de l'ozploitation, on peut comprendre que cette petite série B Australienne pu faire son petit effet lors de sa sortie mais aujourd'hui c'est assez pénible à regarder. Pas grand chose à reprocher à la mise en scène mais les acteurs sont mauvais, les dialogues creux et c'est très très cheap (surtout lorsque la bête apparait).
    Shawn777
    Shawn777

    506 abonnés 3 384 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 novembre 2020
    Ce film, réalisé par Russell Mulcahy et sorti en 1984, est plutôt mauvais, malgré les surprenantes notes positives que je vois. Ce film fait partie de la Ozploitation (film d'exploitation australien) et je savais donc dans quoi je me lançais, même si cette appellation n'est pas forcément synonyme de navet (on a par exemple les "Mad Max", "Wolf Creek" etc.). C'est donc l'histoire, au départ d'un grand-père dont le petit fils et tué par un énorme sanglier. Deux ans plus tard, une journaliste vient dans le coin faire un reportage sur les sangliers mais tombe sur des pécores du coin qui la font disparaitre. Encore après, son mari tente de la retrouver et tombe sur ces fameux pécores et sur le sanglier géant du début. Sacré programme donc mais surtout assez décousu. Au départ présenté comme un flm de monstre, avec le fameux sanglier géant, le film dérive finalement vers une ambiance à la "Massacre à la tronçonneuse" ou a la "Colline a des yeux" et puis revient ensuite au sujet principal, à savoir le film de monstre. On ne sait pas vraiment où le film veut nous emmener et on décroche donc assez facilement, enfin je sais que pour ma part, je ne suis pas du tout rentré dans tout ce délire. On suit donc le film avec plus ou moins d'ennui mais cependant, on ne peut que reconnaitre le très bon style du réalisateur, travail que l'on retrouvera d'ailleurs plus tard sur "Highlander" (et pas dans sa suite qui est très moche). L'esthétisme est en effet très bien travaillé, nous avons certains plans ou transitions originales et puis les couleurs sont magnifiques ! En ce qui concerne les acteurs, c'est un petit film d'exploitation donc le jeu d'acteur n'est pas dingue mais ça passe pour certains, notamment Gregory Harrison et Judy Morris. "Razorback" est donc un film à la limite rigolo par moments, mais qui ne marquera pas les esprits, comme d'autres très bons films australiens.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 613 abonnés 12 265 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2020
    C'est vrai qu'aujourd'hui, Russell Mulcahy au cinèma, ça ne marche vraiment plus! Et pourtant son "Razorback" ne manquait pas d'atouts en 84, prouvant une fois de plus que les australiens pouvaient rivaliser avec les amèricains sur le terrain de la petite sèrie B efficace et bien ficelèe! De plus ce film fascinant est beaucoup mieux rèalisè que la moyenne des survivals d'èpouvante de l'èpoque, avec de magnifiques images de l'Outback! Le seul point noir, ce sont ces deux chasseurs de kangourou dègènèrès qui handicapent pas mal le film! Pour le reste, Mulcahy fait du très bon boulot dans cette histoire de sanglier gèant! Une bête sanguinaire et destructrice, fugitive et menaçante, avec diverses astuces à la pointe du progrès! C'est aussi l'occasion de voir la ravissante Arkie Whiteley, aperçue dans "Mad Mad 2" morte dans l'indiffèrence gènèrale en 2001! Culte...
    Flamme-010
    Flamme-010

    14 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2020
    Cruauté de la Nature, cruauté de l'Homme aussi, dans cette chasse au sanglier tueur. Ambiance années 80 au synthé et paysages apocalyptiques à la Mad Max sur fond de soleil couchant rougeoyant. Un classique du cinéma d'horreur Australien.
    Estonius
    Estonius

    2 751 abonnés 5 321 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2020
    C'est australien et les australiens se foutent des codes du cinéma américain, ce qui fait que ce film nous offre de jolies surprises. Le scénario est astucieux car l'angoisse est double, à celle imperceptible du grand sanglier s'ajoute, celle bien plus palpable des deux frères à moitié fous, le tout dans une ambiance anxyogène. Cela dit le film n'est pas parfait, et compte quelques déficits d'explications et de facilités de scénario assez gênants. En revanche la tension est bien là, la mise en scène est impeccable. Côté casting, ces dames assurent correctement (charmante Arkie Whiteley), alors que Gregory Harrison est un peu léger. Un bon film d'horreur malgré quelques défauts.
    2985
    2985

    236 abonnés 961 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    Revue récemment suite à réédition du film, celui-ci souffre du poids des années. Russell Mulcahy qui a part highlander à bien eu du mal à sortir un film de qualité, et était quasiment cantonnée au nanar, signe avec razorback une chasse au cochon géant, dont l'idée est plutôt fun, mais plombé par une réalisation quelque peu hasardeuse. Outre le fait que l'on aperçoit que très peu la bête, quand elle est à l'image elle est très mal cadré et les acteurs ne sont que des stéréotypes. En termes de chasse l'ombre et les la proie est nettement au dessus.
    rogerwaters
    rogerwaters

    130 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 août 2019
    Impressionnant de maîtrise formelle, ce premier grand film de Russell Mulcahy partait pourtant avec un scénario de série B pas folichon. Mais tout est balayé par l’extraordinaire maîtrise technique d’un réalisateur visionnaire. Le moindre plan est superbe, avec même quelques moments totalement fous, notamment lors du rêve surréaliste effectué par le personnage principal. Esthétiquement magnifique, le long-métrage s’inscrit pleinement dans un cinéma australien rugueux, typique de cette époque. Un cinéma que n’aurait pas renié George Miller ou Tobe Hooper. Un plaisir de chaque instant à redécouvrir absolument en blu-ray, la copie étant magnifique.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    621 abonnés 2 817 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juillet 2019
    Razorback bénéficie aujourd’hui d’un statut de film culte qui tend à engendrer autour de lui une communion critique des plus élogieuses. Qu’il s’agisse de l’une des meilleures réalisations de Russell Mulcahy, cela ne fait aucun doute à la considération du reste de sa filmographie. Que l’œuvre pose les bases d’un genre – la lutte contre une bête féroce –, cela est déjà moins vrai, en dépit de la profonde empreinte que laissera Razorback dans la représentation du sanglier au cinéma. Car deux influences majeures se croisent ici : Les Dents de la Mer de Steven Spielberg et Mad Max de Georges Miller, dont le responsable de la photographie pour le deuxième opus est également crédité ici. Ces références ne placent pas de prime abord Razorback sous le signe du plagiat, mais avertissent néanmoins sur sa prétendue vision artistique du monstre, dont la seule originalité réside dans la transposition du décor balnéaire cher au grand requin blanc vers le désert australien. La très bonne idée du film, c’est aussi de faire de son animal un persécuteur proche du mythe qui semble cristalliser toute la violence endémique d’une terre rongée par la misère : ses apparitions restent approximatives, mystérieuses et brutales à la fois. Le sanglier est une créature incontrôlable, aussi incontrôlable que ces braconniers fous furieux, aussi destructeur que les armes qui se risquent à l’affronter. Et la puissance mythologique du monstre est saisie au mieux par le réalisateur qui profite de son savoir-faire en matière de clips vidéo pour construire des plans de toute beauté, à l’onirisme rugueux. La grande limite de Razorback est aussi ce qui fonde sa singularité : enchaîner les plans plus ou moins inspirés sans construire de tension horrifique ni même dramatique. Il y a ce quelque chose d’aride qui refuse le souffle épique pour, en lieu et place, ne proposer que la répétition épuisante d’un même affrontement. La disparition du (premier) personnage principal surprend et délivre une impression d’impuissance du sensible – incarné par le féminin, certes… – à se rendre maître de l’animal : de même que le grand-père a vu sa famille périr et doit renoncer à son humanité pour se venger, l’époux n’a d’autre choix que d’épouser la folie ambiante pour triompher du monstre. Ce faisant, il atteste l’emprisonnement de la terre australienne dans un phénomène insulaire, sorte de boucle microcosmique dont la violence constitue le fluide vital. Restent une caractérisation sommaire des protagonistes dont l’interprétation sombre souvent dans l’outrance, ainsi qu’une grandiloquence balourde lorsqu’il s’agit de révéler les ravages du monstre – des têtes de sangliers accrochées, un bébé dans un bocal, le nom de la bête répété ad nauseam, les cris de douleur du grand-père – qui contraste avec la retenue presque iconoclaste limitant le sanglier à n’être qu’une masse sans corps, qu’une ombre destructrice mais guère immortelle. Manque à Razorback un risque, celui d’incarner la menace dans un corps aussi lourd que le sol de l’Australie, aussi insaisissable que sa folie endogène.
    Roub E.
    Roub E.

    807 abonnés 4 889 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2017
    Un film de monstre bien supérieur à ce que son pitch peut laisser imaginer à savoir un sanglier géant qui terrorise des bouseux dans l'arrière pays australien. J'ai vraiment aimé la photo qui fait du film de l'horreur soignée même si elle est très typée années 80. La bande son elle a en revanche vraiment pris un coup de vieux et se trouve être le talon d'Achille du film avec les quelques plans du sanglier qui a visiblement posé des problèmes de création car il est filmé constamment en très gros plan et s'avère peu convaincant (comme le jeu de certains acteurs). En revanche la manière de présenter l'Australie comme une terre hostile avec un bestiaire il faut bien le reconnaître assez incroyable est une franche réussite comme le choc des cultures entre américains citadins et les chasseurs australiens et lui aussi très réussi. La tension est la malgré comme je le disais que la bête ne soit pas très réussie, mais cela reste tout de même un excellent film de monstre ou ce dernier n'est finalement qu'un prétexte pour raconter autre chose.
    Fabien S.
    Fabien S.

    492 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2017
    Un terrifiant film d'horreur. Une bonne fiction d'épouvante basé sur un sanglier monstrueux. Assez effrayant avec beaucoup de suspens.
    Manuel P
    Manuel P

    12 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2017
    Excellent film de genre, succès critique du début des années 89, encensé lors de sa présentation au festival d'Avoriaz. La mise en scène est de qualité, l'ambiance prenante, l'interprétation au diapason et le monstre, pour l'époque, est tout ce qu'il y a de repoussant. A redécouvrir par le réalisateur de Highlander...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top