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alyss42
7 abonnés
94 critiques
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4,0
Publiée le 10 août 2015
je ne pige pas un tel rejet ; certes c'est du Dujardin en roue libre et un scenario assez mince, mais c est original, les gags marchent, lui et Cornillac font un super duo etc De plus, on y voit une fable avec la métaphore dans l'attente de la vague ultime, qui est le pretexte de Brice pr ne vivre sa vie que par procuration et rester cloîtré chez lui, mais qu il trouvera (symboliquement) après son évolution suite à ses déboires et à l affrontement de sa peur. Pour cela j aime bcp ce film qui ne se prend pas au sérieux mais est bcp mieux que pas mal de comédies françaises à casting lourd sorties ces dernières années
Et encore une critique qui a disparu, ça faisait longtemps que je n’en avais pas trouvé tiens, comme quoi les bugs et Allociné c’est une longue histoire… Peut être que j’avais du mettre 0, le site n’aime pas les mauvaises notes. Ben je vais pas trop changer mon fusil d’épaule, pas de raisons, même si spoiler: une suite est prévue, le 3 visiblement puisqu’on casse le 2 . Comme beaucoup j’aimais bien les sketchs, et je peux comprendre qu’on capitalise sur un personnage qui cartonne, mais pour faire ça… J’hésite entre navet et raté, mais comme le côté sympathique du surfeur est moins là, les blagues aussi (ou elles sont juste pompées), et qu’elles sont remplacées par des chansons tendances porte nawak je vais aller vers la 2ème option. Soyons sérieux, hormis qu’on ne rit pas, que c’est mal joué (même si c’est normal vu la caricature qu’est le personnage principal) pour tous, que les chansons sont atroces donc, que les dialogues et les décors n’apportent rien, que les FX sont loupés (moins bons que les Visiteurs qui ont 15 ans de plus), que le rythme est mou, les longueurs incessantes, la mise en scène pourrie car ça part trop dans tous les sens sans se rejoindre (donc oui ça se perd dans un gloubi boulga bizarre), que l’histoire sent bien le prétexte pour monter le film (donc ni fait ni à faire), et que la trame est des plus classiques, il ne reste rien. En gros, adapter un personnage de sketchs c’est comme Street Fighter le film : un loupé prévisible (n’est-ce pas Gad avec Coco ou Semoun avec Cyprien ?).
ce film est super je comprend pas des notes aussi basse pour ceux de ma génération qui on 20 ans aujourdhui ce film était un phénomène de sociéte dans les colleges et les écoles il a fai un carton au ciné comparer a qu'est qu'on a fai au bon dieux qui est un film plein de préjuger voir rasciste est pas drole du tous ce film est un chef d'oeuvre avk des phrases cultes comme: t comme le H de hawai tu sert a rien ou je suis igor d'hosegor cherche pas ta tord c super marrant c franchouillard mai c grave drole
Brice casse. Brice lance une mode. Brice est moins savoureux à mesure que le film avance et il n'amuse plus. Il fallait à James Huth une plus grande palette. Conviction personnelle : il aurait mieux fait en un moyen-métrage de 40 minutes. Au moins, il a lancé la carrière de Jean Dujardin...
lourd. idiot. ridicule. que dire sur ce truc qui n'est pas un film. des phrases qui se veulent cultes sans l'être, des nénettes en maillot pas intelligentes... incompréhensible même. dujardin est devenu une star avec ce machin ??
Les 20 premières minutes sont pas mal et reprennent les sketch de Brice de Nice en introduisant le personnage : Attitude, costume, vannes, objectif, référence. Mais pendant le reste du film, il faut se farcir les incessants mouvements de tête du personnage de Jean Dujardin et son abominable coiffure, sans compter le personnage de Clovis Cornillac, sa chevelure, ses tiques du langage et son petit problème. Nombreuses gamineries, vannes et lourdeurs constituent le film tout en présentant de nouveaux personnages au fur et à mesure, avec leurs lots de vannes. Trop long, j'en ai vite eu marre.
Des gags comme s’il en pleuvait, des situations invraisemblables voire absurdes pour certaines, deux acteurs formidables en totale roue libre, des seconds rôles hautement sympathiques, une bande-son mémorable mais surtout des répliques cinglantes devenues des classiques de cour de récré : n’en jetez plus, on tient-là un film culte des années 2000 et c’est français ma bonne dame !
Jean Dujardin développe ici dans un long-métrage son rôle de Brice, le surfeur débile qui attend désespérément une vague à Nice, qu'il avait créé sur scène et dans ses sketchs à la télé. En résulte un film loufoque et foutraque, défilé de gags plus ou moins lourds destinés à un public de « djeuns », qui nous offre quelques fous rires et de nombreux sourires, et une paire de séquences franchement réussies (le braquage musical aka Le Casse de Brice, la descente de pente sur lit d'hôpital...). Dujardin est très bon et Cornillac excellent. Un bon moment.
Je ne m'attendais pas à ce que ce film prenne autant de risque en employant un humour aussi résolument tourné vers un absurde qui ne plaît généralement pas, mais qui me plaît à moi. Bon petit film !
Sans être un chef d'oeuvre, Brice de Nice est un film assez culte devant lequel je me suis beaucoup marré, certaines blagues sont bien trouvées. C'est un film à prendre au second degré, voilà tout.
Je n'avais pas cette intention au départ, mais en voyant cette cruelle moyenne de 1,7, ça m'a donné envie de défendre "Brice de Nice" ! La plupart des gens qui ont noté ce film n'ont pas dû le prendre au bon degré, je ne vois pas comment expliquer autrement ce cassage en règle... Alors c'est vrai qu'après une bonne première demie-heure, où Jean Dujardin pose les bases de son personnage fétiche avec conviction, le film s'enfonce et devient même mauvais au milieu ; mais une fois à Biarritz ça redécolle, pour nous offrir notamment, d'excellentes joutes verbales face à Igor. Les répliques sont d'ailleurs le gros point fort de "Brice de Nice" - bon nombre de celles-ci sont même devenues cultes, non ? Et puis, le personnage de Brice n'est pas aussi inintéressant qu''il n'y paraît : ce gosse de (très) riche, bête et méchant, et particulièrement inculte, est au final assez représentatif d'une bonne partie de la jeunesse (voire plus), même si de manière très exagérée. Et il est assez émouvant de voir ce type qui ne s'est construit que sur un rêve (cf la réplique de "Body") se confronter enfin à la réalité - type qui au fond a une peur panique de la vie, une peur qu'il cache derrière son arrogance et son apparence. D'autant plus qu'à la fin, c'est assez malin de le voir trouver sa place dans ce monde en travaillant à la propreté des plages niçoises, à nettoyer sa mer qu'il adore... ou plutôt sa mère, qu'il semble chercher tout le long du film ! ;) Bon allez, j'arrête avec ma psychologie de paillote... et j'me casse...