Quand j'ai vu ce film, j'étais dans des conditions optimales pour l'apprécier : adolescente de 15 ans lors d'une soirée avec des copines. Même comme ça, j'ai trouvé ce film sans intérêt. J'ai trouvé que les personnages manquaient de profondeur, y compris l'héroïne, et les gags m'ont laissée froide. L'univers du lycée... est complètement exagéré voire fantasmé, il y a une sorte de mythe sur les lycées américains qui ne me parle pas du tout, mais alors pas du tout ! Pour ce qui est du scénario, j'aimais bien l'idée de départ bien que très classique, mais on s'ennuie rapidement en assistant aux rivalités entre notre héroïne et notre blonde de service qui sont un peu répétitives... et on finit sur une morale pleine de bons sentiments comme nos amis outre atlantique les aiment tant, yipee.
Comédie satirique ? Message caché sur la superficialité de ces "lycéennes" très peu réalistes ? Mmouais...
J'ai bien aimé, drôle, sympathique, clichés en rafales, ça se mélange bien apparemment ! Alors pour moi qui ai adoré le Diable s'habille en Prada, j'ai été forcée d'aimer Lolita Malgré Moi ^^
L'un des modèles du genre teen-movie. Aussi niais, aussi cliché que possible. Des gags, des gardes, de la romance, une fin prévisible, tout ce qu'on demande quoi.
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2,5
Publiée le 25 mars 2010
Dans "Lolita malgrè moi", rèflexion amusante sur l’individu et la sociètè, on n'a les athlètes de terminales, les rockers rejetès et "les plastiques" qui donnent tout de suite le ton! il y a le diable en personne Rachel McAdams, Lacey Chabert, qui sait tout sur tout le monde, et surtout il y a la meilleure de toute: la sublime Amanda Seyfried, impossible de faire plus bête quand elle dit qu'elle a un cinquième sens avec ses seins pour dètecter la pluie! Avec "les plastiques", le joli minois de Lindsay Lohan va en voir de toutes les couleurs et dècouvrir le monde des filles loin de sa brousse africaine! Une comèdie piquante et drôle, entre petites pestes et peaux de vaches habillèes comme des poupèes Barbies...
Parsmemé de gags plutôt réussis et de références à la culture étasunienne, " Lolita malgré moi " (titre Français terrible) condamne le système des castes toujours aussi effectif dans les lycées Américains. Une satire cynique sous des apparences simplistes de "teen-movie".
On est loin de la comédie déjantée et irrespectueuse à laquelle on est en droit d'espérer en lisant le synopsis. Si le film fait illusion quelques minutes, si quelques (rares) répliques méchantes permettent de croire qu'on va passer un moment drôle détournant sans pitié les films pour ados ricains, on constate rapidement qu'on est dans une production faite justement pour les ados ricains. Les dernières trente minutes sont carrément édifiantes de niaiseries, de poncifs et de bons sentiments. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil... mais ça n'a rien à voir avec l'humour destructeur de Jean Yanne.