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Votre avis sur Cannibal Holocaust ?
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Ultra gore ce film choque ça c'est certain avec des scènes d'une extrême violence. La somptueuse bande son de Ennio Moriconne et les beaux paysages de cette Amazonie ne vous feront pas oubliera l'horreur qui s'y déroule. Film malaisant, percutant et pertubant à souhait. Au final néanmoins qui sont réellement les sauvages ? Les cannibales ou les citoyens Occidentaux? Bonne réflexion à se faire,
Un film réalisé dans l'unique but de choquer avec un scénario pas incroyable et beaucoup de violence gratuite. Au moins le found footage est assez efficace et nous met bien dans l'ambiance au point de se demander s'il ne s'agit pas d'un snuff movie (heureusement ce n'est pas le cas). J'aime assez les films traitant du sujet des tributs cannibales mais ils sont souvent trop poussés à l'extrême comme c'est aussi le cas de "Le dernier monde cannibale" où l'on n'est plus confrontés à une simple fiction mais à de vraies scènes de torture. J'aurais donc été plus indulgente envers celui-ci s'il n'avait pas inclus la mise à mort de six animaux dans des conditions douloureuses et humiliantes, le tout au cours de scènes n'apportant rien au déroulement des faits et faisant perdre au film le peu de charme auquel il pouvait prétendre.
Ce que vous ressentirez probablement, en regardant « Cannibal Holocaust », c'est du dégoût. Ce que le film présente comme de l'horreur n'est en fait que du choc, et au lieu de voir une véritable histoire effrayante ou des scènes terrifiantes, vous verrez des animaux démembrés, coupés en morceaux, mutilés. En dehors de l'intrigue mêlant du porno et un style « Blair Witch », vous avez des divagations absurdes sur le cannibalisme, un jeu d'acteur horrible, une réalisation digne d'un élève de troisième année, et quand vous commencez à vous ennuyer à mourir, ils se mettent à découper un animal ou deux. Les personnes qui aiment ce film ? Ce sont possiblement les mêmes qui regardent avec perversité et délectation des vidéos de torture d'animaux ou d’humains. « Cannibal Holocaust » est une pure exhibition de violence et de cruauté sans aucun sens. C'est un film dégradant et dégoûtant, une insulte à l'art du cinéma et il n'apporte rien de bon hormis de la provocation et du clivage. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Je vais être clair et concis : à jeter. Tout sauf du cinéma. Le film reste cependant spectaculaire face à un tel réalisme et autant de violence gratuite, je comprends pourquoi il a fait grand bruit à l'époque.
Le film est une tentative mais qui reste vaine. Le gore est trop grotesque ce qui rend son utilisation rigolote plus qu'effrayante ou dégoûtante.
Un film culte du cinéma horreur ! Réputé pour être le 1er film "found foutage", Cannibal Holocaust est un film qui fait partie, selon moi, une catégorie appart. A la fin du visionnage, je ne sais même pas si j ai aimé le film ou non.
C est ce genre de film où ne se sait pas où le placer... Dans ce film, ce n est pas l histoire qui est dérangeante, elle est très bien ! Ce n est pas la musique qui est somptueuse ! Ce n est pas la réalisation non plus ! Le gros problème de ce film ce sont les images qui nous sont montrés.
C est le film le plus traumatisant que j ai pu voir de toute ma vie ! Je le trouve pire que Martyrs par exemple ! Certaines scènes sont horribles à regarder et je déconseille de regarder le film si vous êtes sensibles en général ! (notamment si vous êtes sensible sur les animaux...)
Et quand on sait que certaines scènes du film sont vrais et sans trucage, on a un point de vue différent qui nous vient à l esprit. On se dit "Ça n a pas sa place dans un film !"
Alors oui, la réalisation est "authentique" et c est ça qui rend le film malsain et derangeant, mais une fois que ce film nous a montré ces scènes sans trucages, c est comme si on avait la confirmation que ce film était vrai. Et si on a ça en tête, la fin du film (qui n est pas vrai heureusement ) est horrible à regarder (mais dans le bon sens cette fois ci !). On ressent une peur unique et authentique.
Le film le plus horrible à voir, et le plus flippant
Comprenez qu'il est difficile de noter un film comme celui ci... Pour ma part, cela sera une note de 4,5/5. Pourquoi ? Car si le film possède quelques scènes vraies, cela reste qu'un film de fiction. Néanmoins, films de fictions ne veut pas dire qu'on peut faire n'importe quoi, et qu'on peut se permettre de tout faire. Malheureusement, certains films existent de ce type (le type de faire un film gore ou choquant, juste pour choquer) et vont au delà du cinéma. Ce film là ne fait pas partie de cette catégorie là ! C est un film au delà du gore, veut nous transmettre un message : Les gens "civilisés" ne sont pas forcément sains.
C est une véritable expérience de regarder un film comme celui là car la peur est vraie ! et il met en garde pour nous, spectateurs : Ne regardez pas les films qui vont au delà du gore, de la violence gratuite, et du choque.
C est ce genre de film où ne se sait pas où le placer... Dans ce film, ce n est pas l histoire qui est dérangeante, elle est très bien ! Ce n est pas la musique qui est somptueuse ! Ce n est pas la réalisation non plus ! Le gros problème de ce film ce sont les images qui nous sont montrés.
C est le film le plus traumatisant que j ai pu voir de toute ma vie ! Je le trouve pire que Martyrs par exemple ! Certaines scènes sont horribles à regarder et je déconseille de regarder le film si vous êtes sensibles en général ! (notamment si vous êtes sensible sur les animaux...)
Et quand on sait que certaines scènes du film sont vrais et sans trucage, on a un point de vue différent qui nous vient à l esprit. On se dit "Ça n a pas sa place dans un film !"
Alors oui, la réalisation est "authentique" et c est ça qui rend le film malsain et derangeant, mais une fois que ce film nous a montré ces scènes sans trucages, c est comme si on avait la confirmation que ce film était vrai. Et si on a ça en tête, la fin du film (qui n est pas vrai heureusement ) est horrible à regarder (mais dans le bon sens cette fois ci !). On ressent une peur unique et authentique.
Le film le plus horrible à voir, et le plus flippant
Comprenez qu'il est difficile de noter un film comme celui ci... Pour ma part, cela sera une note de 4,5/5. Pourquoi ? Car si le film possède quelques scènes vraies, cela reste qu'un film de fiction. Néanmoins, films de fictions ne veut pas dire qu'on peut faire n'importe quoi, et qu'on peut se permettre de tout faire. Malheureusement, certains films existent de ce type (le type de faire un film gore ou choquant, juste pour choquer) et vont au delà du cinéma. Ce film là ne fait pas partie de cette catégorie là ! C est un film au delà du gore, veut nous transmettre un message : Les gens "civilisés" ne sont pas forcément sains.
C est une véritable expérience de regarder un film comme celui là car la peur est vraie ! et il met en garde pour nous, spectateurs : Ne regardez pas les films qui vont au delà du gore, de la violence gratuite, et du choque.
c'est une très belles histoires, les blancs sèment la terreur partout où ils mettent leurs pieds, quand j'ai vu Green Inferno 2013 le film de Eli Roth, j'étais poussé d'aller regarder ce film, bien que les mondes de vies de ses indiens sont primitives et sauvages, ses 4 vermines dont je pensais 4 héros au début, sont tout simplement des monstres, ses histoires sont répétés partout ou les blancs mettent leurs pieds, que ce soit en Afrique et ailleurs, et pire ca continu encore sur différente forme, franchement je n'en reviens pas de cette scène, après avoir violée la fille indienne a 3 reprises et ils l'embrochent comme un animal, c'est du jamais vu! la vengeance des indiens c'est du œil pour œil et dent pour dent, j'aime l'histoire, bien que je trouve que la fin de ses monstres était trop douces!
spoiler:
je comprend la haine des indiens, de certains noirs, vis-à-vis aux blancs qui sont des vrais montres!
Compte tenu de la réputation du film je ne m attendais évidemment pas à un chef d œuvre ... en fait ça n en ai pas un c est sur. C est gore, cruel ça manque de finesse ça confirme le genre annoncé a l affiche. Néanmoins le scénario est assez classique et pour un film de 1980 question effets spéciaux - sans être extraordinaires - ça passe suffisamment pour crédibiliser cette histoire. Bon enfin c est globalement moyen... vraiment rien d extraordinaire, rien qui ne vaille le détour en fait.
Un très grand film, incontestablement très violent et gore, inévitablement classé au rang des œuvres trop longtemps interdites et maudites !
C'est un peu "spécial" mais ça a au moins le mérite d'essayer de montrer les caractères de domination et de prédation de notre espèce. C'est bien réalisé.
Pour autant j'ai préféré "Le dernier monde cannibale", plus "soft".
Pour autant j'ai préféré "Le dernier monde cannibale", plus "soft".
un superbe navet, risible et ridicule. Ideal en série b.
maxime ...
Cannibal Holocaust est un film dégueulasse et choquant ! Sa démonstration de la violence ( parfois réelle comme celle sur les animaux ) est pour autant une représentation assez juste de ce que le film dénonce ...
A vrai dire, j'attendais de ce film, au vue de sa réputation, un " gore gratuit " comme simple justificatif pour filmer l'horreur et la terreur dans son idée minimale et agir en brute sur les consciences. Il n'en est rien ! Je ne cherche pas à être sulfureux lorsque j'écris pareil commentaire, bien au contraire, il y'a je trouve un réel point de vue sur la société, primitive et civilisé ...
La découpe astucieuse du film est un autre ancrage dans l'idée prônée par Ruggero Deodato, celle-ci résonne avec son ultime interrogation ( auquel il répond à de multiples reprises ), " - Qui sont les vrais cannibales ? " Je me suis fais d'ailleurs un petit parallèle avec un autre cinéaste affilié au mêmes sortes de reproches, Sam Peckinpah. Au fond la violence n'est pas le problème. La crudité de la représentation est bien l'épicentre du grief fait à l'un comme à l'autre. Je peux comprendre le heurt de ce procédé, pas l'hypocrisie autour car oui, la violence est absolument partout, le cinéma plus mainstream en raffole d'ailleurs à foison ( et moi avec, je m'implique dans cet état et rapport ).
Cannibal Holocaust ne fais pas dans le soft, je me suis moi aussi dans un premier temps poser la question sur le résonnement de son réalisateur, cherche t-il à dénoncer ou à cautionner ? La première option saute avec de la réflexion clairement aux yeux. Vraiment, je me permet d'insister. Voilà pourquoi le " listing " des abominations que je m'apprête à éditer plus bas officie avec relief, chez les autochtones, comme pour les colons ...
Dès son ouverture, le film m'a rappelé Rosemary's Baby ( la seconde fois cette semaine ! ). Son point de vue sur son lieu, sa composition, son entrain à survolé son sujet avant de se fixé et d'établir une intro rapide et ciblé m'a vraiment fait chavirer. spoiler: La fusillade dans la jungle m'a ensuite rappelé à la raison ! Les premières images de cannibalisme également ... L'hostilité et la rudesse de cette foret, de sa faune et de ses habitants laisse avec du recul son empreinte, plus encore que lors de la découverte. Les protagonistes que l'on suit dans cette première partie sont eux aussi confronté à un rapport de force assez sublime. Le premier, anthropologue, éduqué, bonne âme, pleins de connaissances et d'ignorances mêlé accompagné de ses deux acolytes nettement moins avisés sur les versants psychologiques mais tant de fois mis en situation que plus rien n'a de secret dans leurs vision binaire ( mais non manichéenne toutefois ! ). L'animal mis à mort, sa consommation vue avec fierté, la cocaïne employé, les entrailles de l'animal vue en offrande est une scène que je trouve complètement démente ! Puis viens le rituel mortuaire, de ce qui s'implique au préalable, viol et torture. La barbarie est expliqué, vu comme seul moyen de survie dans ce monde là ... Je vais directement à l'après baignade, à la découverte du " Totem " qui révèle ce que l'on sait déjà sans trop creuser du sort des quatre documentaristes. Les restes qui composent ce vestige de corps additionnés pour faire fuir l'homme blanc est chassé par la communion du partage après dépeçage de la chair cru ! Le long-métrage de Deodato achemine cette première moitié et reviens à la ville avec ses interludes qui dorénavant se mêleront à la suite du récit. Cette fois, celui des quatre reporters. Tout de suite, on laisse présumé qu'ils ne sont pas les pauvres victimes dépeintes dans les prémices de l'histoire. La décapitation de la tortue et l'amusement à jouir de la tripaille de cette dernière ont d'office de confirmer les dires entendus. Celle du singe dans le " camp " d'en face n'est pas plus subtil, elle est ne témoigne toutefois pas du même sadisme. L'horreur chez les quatre se manifestent aussi dans leurs mots, le " - Tu film " lorsqu'ils cautérisent la jambe de leur guide à la machette chaude et de son ultime clin d'œil comme hommage funéraire démontre une perfidie absolu. Le cochon abattu gratuitement, la mise à sac du campement et le crane brandit pour les rendre " célèbres " accrédite une fois encore ce constat. Le coït post-méfait est une autre démonstration du sentiment de toute puissance de ces derniers sur la population qu'ils soumettent à leurs désirs. Le viol collectif, la découverte du corp de la victime empalé, le voyeurisme ambiant sont à faire pâlir ... En opposition, le macabre reste aussi de la partie. La mise à mort de la femme qui accouche et de son nouveau né choque, l'exécution est si sommaire ! Toute la suite qui concerne l'expédition punitive qui va de l'émasculation, à la lapidation jusqu'au meurtre sert aussi le message de mort dont le film est témoin. J'en viens à ces visionnages en studio. Ces derniers réflexives et opportunistes sont endigués par le silence et la décision radicale ( la destruction des images ) qui s'en suivent de ce visionnage terrible, à faire perdre toute foi en quoi que se soit ... Un écho à l'intelligence de ce film qui démonte le voyeurisme et le sensationnalisme, juste car sans esthétisation pour moi. Ruggero Deodato dépeint une ambiance, une atmosphère et film avec fureur et de manière magistrale sont envie folle. Le film sert le bide, donne matière à réfléchir, ses comédiens sont eux aussi entrainé dans l'esquisse de l'ébauche vu avec frénésie et monstruosité. Cannibal Holocaust est une expérience de cinéma, un radicalisme qui tranche avec un certain ronron en la matière. Oui, aussi abject soit-il, ce film est un Chef d'Œuvre !
A vrai dire, j'attendais de ce film, au vue de sa réputation, un " gore gratuit " comme simple justificatif pour filmer l'horreur et la terreur dans son idée minimale et agir en brute sur les consciences. Il n'en est rien ! Je ne cherche pas à être sulfureux lorsque j'écris pareil commentaire, bien au contraire, il y'a je trouve un réel point de vue sur la société, primitive et civilisé ...
La découpe astucieuse du film est un autre ancrage dans l'idée prônée par Ruggero Deodato, celle-ci résonne avec son ultime interrogation ( auquel il répond à de multiples reprises ), " - Qui sont les vrais cannibales ? " Je me suis fais d'ailleurs un petit parallèle avec un autre cinéaste affilié au mêmes sortes de reproches, Sam Peckinpah. Au fond la violence n'est pas le problème. La crudité de la représentation est bien l'épicentre du grief fait à l'un comme à l'autre. Je peux comprendre le heurt de ce procédé, pas l'hypocrisie autour car oui, la violence est absolument partout, le cinéma plus mainstream en raffole d'ailleurs à foison ( et moi avec, je m'implique dans cet état et rapport ).
Cannibal Holocaust ne fais pas dans le soft, je me suis moi aussi dans un premier temps poser la question sur le résonnement de son réalisateur, cherche t-il à dénoncer ou à cautionner ? La première option saute avec de la réflexion clairement aux yeux. Vraiment, je me permet d'insister. Voilà pourquoi le " listing " des abominations que je m'apprête à éditer plus bas officie avec relief, chez les autochtones, comme pour les colons ...
Dès son ouverture, le film m'a rappelé Rosemary's Baby ( la seconde fois cette semaine ! ). Son point de vue sur son lieu, sa composition, son entrain à survolé son sujet avant de se fixé et d'établir une intro rapide et ciblé m'a vraiment fait chavirer. spoiler: La fusillade dans la jungle m'a ensuite rappelé à la raison ! Les premières images de cannibalisme également ... L'hostilité et la rudesse de cette foret, de sa faune et de ses habitants laisse avec du recul son empreinte, plus encore que lors de la découverte. Les protagonistes que l'on suit dans cette première partie sont eux aussi confronté à un rapport de force assez sublime. Le premier, anthropologue, éduqué, bonne âme, pleins de connaissances et d'ignorances mêlé accompagné de ses deux acolytes nettement moins avisés sur les versants psychologiques mais tant de fois mis en situation que plus rien n'a de secret dans leurs vision binaire ( mais non manichéenne toutefois ! ). L'animal mis à mort, sa consommation vue avec fierté, la cocaïne employé, les entrailles de l'animal vue en offrande est une scène que je trouve complètement démente ! Puis viens le rituel mortuaire, de ce qui s'implique au préalable, viol et torture. La barbarie est expliqué, vu comme seul moyen de survie dans ce monde là ... Je vais directement à l'après baignade, à la découverte du " Totem " qui révèle ce que l'on sait déjà sans trop creuser du sort des quatre documentaristes. Les restes qui composent ce vestige de corps additionnés pour faire fuir l'homme blanc est chassé par la communion du partage après dépeçage de la chair cru ! Le long-métrage de Deodato achemine cette première moitié et reviens à la ville avec ses interludes qui dorénavant se mêleront à la suite du récit. Cette fois, celui des quatre reporters. Tout de suite, on laisse présumé qu'ils ne sont pas les pauvres victimes dépeintes dans les prémices de l'histoire. La décapitation de la tortue et l'amusement à jouir de la tripaille de cette dernière ont d'office de confirmer les dires entendus. Celle du singe dans le " camp " d'en face n'est pas plus subtil, elle est ne témoigne toutefois pas du même sadisme. L'horreur chez les quatre se manifestent aussi dans leurs mots, le " - Tu film " lorsqu'ils cautérisent la jambe de leur guide à la machette chaude et de son ultime clin d'œil comme hommage funéraire démontre une perfidie absolu. Le cochon abattu gratuitement, la mise à sac du campement et le crane brandit pour les rendre " célèbres " accrédite une fois encore ce constat. Le coït post-méfait est une autre démonstration du sentiment de toute puissance de ces derniers sur la population qu'ils soumettent à leurs désirs. Le viol collectif, la découverte du corp de la victime empalé, le voyeurisme ambiant sont à faire pâlir ... En opposition, le macabre reste aussi de la partie. La mise à mort de la femme qui accouche et de son nouveau né choque, l'exécution est si sommaire ! Toute la suite qui concerne l'expédition punitive qui va de l'émasculation, à la lapidation jusqu'au meurtre sert aussi le message de mort dont le film est témoin. J'en viens à ces visionnages en studio. Ces derniers réflexives et opportunistes sont endigués par le silence et la décision radicale ( la destruction des images ) qui s'en suivent de ce visionnage terrible, à faire perdre toute foi en quoi que se soit ... Un écho à l'intelligence de ce film qui démonte le voyeurisme et le sensationnalisme, juste car sans esthétisation pour moi. Ruggero Deodato dépeint une ambiance, une atmosphère et film avec fureur et de manière magistrale sont envie folle. Le film sert le bide, donne matière à réfléchir, ses comédiens sont eux aussi entrainé dans l'esquisse de l'ébauche vu avec frénésie et monstruosité. Cannibal Holocaust est une expérience de cinéma, un radicalisme qui tranche avec un certain ronron en la matière. Oui, aussi abject soit-il, ce film est un Chef d'Œuvre !
Vu il y a longtemps et revu récemment... Film qui a préfiguré la mode des films d horreur en found footage... Vraiment pas fou au final... Je dirais même surcoté... Les effets sont vraiment mal faits... Ils ont très mal vieilli... C'est pas du tout crédible... Je ne comprends pas comment des gens ont pu penser que cette histoire était réel tellement certaines scènes sont mal faites et ça saute aux yeux... Le film est donc en 2 parties... La première est consacré à un groupe à la recherche d'un autre groupe d expéditeur disparu dans la jungle sauvage... La seconde est le film qu'a tourné le groupe disparu à la recherche de cannibales et sur les évènements qui ont précédé leur disparition... Autant le dire, la vraie violence du film réside avant tout dans les scènes où les protagonistes tuent des animaux... Rat, la fameuse tortue, le singe etc... Après si on regarde souvent des docu animalier ça passe mais c'est tout de même cruelle... Sinon le reste est tellement mal fait qu'on y croit pas une seconde... Viol collectif, rituel avec une pierre ds l utérus, coupage de jambe, de pénis, de tête etc... En plus la musique dans la majorité des cas ne colle pas au film... On dirait une musique de film érotique cheap... Au final j aurais préféré que cette histoire soit réelle car les protagonistes auraient vraiment mérité leur sort à vouloir trop jouer avec la nature sous couvert de leur culture... Bref loin du chef d œuvre tant vanté pour moi...
Film gore qui, celons le réalisateur, critique les moyens de tournage vis à vis des animaux, ou ( maltraitance, voir pire) ou encore du faite que lhomme ne peut s'empêcher de fourré son nez partout. mais qui duc qui ne respect elle même, pas c ambition ( maltraitance, massacré d'animaux...) un film qui aurait pu avoir du potentiel, même pour un film de ce genre, mais gâché lorsqu'on connais le fin fond des coulisses. Mais en soit mais vous ne connaissez pas et ne voulais pas connaître la vérité, ditent vous qu'il ne s'agit que d'effet spéciaux et ce film peut être intéressant à regarder.
J'ai toujours eu un certaine curiosité avec le cinéma gore et les images violentes me choquent rarement, mais ce film va beaucoup trop loin. Entre ceux qui disent que Ruggero Deodato est dérangé et d'autres qui disent que c'est un génie, en toute franchise je pense que c'est un malade mental. Il existe des films gores comme A Serbian Film qui sont violent voire dégoutants sans intérêts et Cannibal Holocaust en fait partie. Oui ce film dénonce, oui ce film critique, mais ce film tue. Y'a-t-il eu grand intérêt à
spoiler:
éventrer de cette façon un rongeur ?
A-t-il été utile de spoiler: torturer cette tortue ?
Certains diront que oui, quant à moi j'affirme que cela n'a été qu'un acte de barbarie. Je conçois que je suis sévère sur la note, le film en lui même mérite mieux, car oui, il est bon. Mais ma conscience ne peut accepter ce qui a été fait et selon moi la condamnation du réalisateur n'est pas assez, car j'ai une haine profonde envers lui. On peut aimer le cinéma gore, on peut apprécier Cannibal Holocaust durant le visionnage, mais après l'avoir terminé, il faut n'avoir aucun coeur pour dire que vous l'avez aimé.
A-t-il été utile de spoiler: torturer cette tortue ?
Certains diront que oui, quant à moi j'affirme que cela n'a été qu'un acte de barbarie. Je conçois que je suis sévère sur la note, le film en lui même mérite mieux, car oui, il est bon. Mais ma conscience ne peut accepter ce qui a été fait et selon moi la condamnation du réalisateur n'est pas assez, car j'ai une haine profonde envers lui. On peut aimer le cinéma gore, on peut apprécier Cannibal Holocaust durant le visionnage, mais après l'avoir terminé, il faut n'avoir aucun coeur pour dire que vous l'avez aimé.
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