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Votre avis sur L'Etrange créature du lac noir ?
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On pourrait craindre que le film ait mal vieilli, m'as ce n'est pas le cas. Cela grâce à une mise en scène resserrée, mais efficace, de très bons acteurs et des scènes sous-marines impressionnantes. Le costume de la créature est loin d'être ridicule car celle-là est bien mise en valeur. Un classique du cinéma de monstre à voir !
Comme toujours un film en noir et blanc à petit budget devient un chef d'oeuvre. Il faudrait diviser par 100 le budget.de tous les films pour que le cinéma US retrouve les splendeurs de l'âge d'or d'Hollywood.
Même si ce film a tout juste 70 ans ! ( 1954 ) .
Il a bien vielli , il est toujours aussi agréable à regarder , même en 2D , c' était un film en relief à l' époque , le relief était rare , comme les années 1980 , mais c' était du vrai relief , qui sortait de l'écran , juste devant nos yeux .et avec , une impression de profondeurs sur l' écran , en plus .
Aujourd'hui, c' est beaucoup moins bien , c'est juste de la 3D , juste une impression de profondeurs sur l' écran , mais ça ne sort pas de l' écran , juste devant nos yeux .
Même en 2D , ce film est toujours trés agréable à regarder .
Un trés bon film d' aventures , avec de superbes decors et paysages de l' Amazonie , un bon scénario , une bonne histoire avec du suspens intense et de l' action .
Ce film était considéré comme un film d' horreur à l' époque , de nos jours , il ne fait plus peur , du tout , je le considère comme un film d' aventures .
Ce film est un grand classique de l' époque des années 1950 , un film culte .
Il a bien vielli , il est toujours aussi agréable à regarder , même en 2D , c' était un film en relief à l' époque , le relief était rare , comme les années 1980 , mais c' était du vrai relief , qui sortait de l'écran , juste devant nos yeux .et avec , une impression de profondeurs sur l' écran , en plus .
Aujourd'hui, c' est beaucoup moins bien , c'est juste de la 3D , juste une impression de profondeurs sur l' écran , mais ça ne sort pas de l' écran , juste devant nos yeux .
Même en 2D , ce film est toujours trés agréable à regarder .
Un trés bon film d' aventures , avec de superbes decors et paysages de l' Amazonie , un bon scénario , une bonne histoire avec du suspens intense et de l' action .
Ce film était considéré comme un film d' horreur à l' époque , de nos jours , il ne fait plus peur , du tout , je le considère comme un film d' aventures .
Ce film est un grand classique de l' époque des années 1950 , un film culte .
Bon je n'ai pas été conquis par ce film qui reste assez simple et classique. Pas non plus hyper novateur car il reprend pas mal d'idées déjà vues auparavant, notamment King Kong dont le scenario est plus sophistiqué pour des effets spéciaux pas mon bon avec 30 ans de moins ! Mais je dois reconnaître que le film demeure une référence, œuvre clé dans le cinéma de montres et d'épouvante.
Un très bon film de SF avec une créature restée dans la légende même si le rythme peut parfois paraître un peu lent.
"L'étrange Créature du Lac Noir" est un des classiques des Universal Monsters. Pourtant, il est un peu moins connu du grand public qu'une Momie ou qu'un Frankenstein.
Il mérite cependant le coup d'œil ne serait-ce que pour ses plans subaquatiques, un exploit pour l'époque. L'action y est parfaitement lisible mais surtout ces plans offrent des moments poétiques.
On comprend aisément que ce film ait pu inspirer Guillermo del Toro pour son "La Forme de l'Eau".
On ne peut d'ailleurs pas s'empêcher de penser aux efforts énormes que ces plans ont dû demander pour l'acteur-cascadeur Ricou Browning qui incarne la créature lors des plans sous l'eau.
En effet, son costume, qui devait déjà être lourd, devait être insupportable une fois mouillé. Comment a-t-il réussi à être aussi fluide dans ses ballets aquatiques ? Mystère.
C'est d'ailleurs l'occasion de tirer mon chapeau à cet acteur qui nous a malheureusement quitté la semaine dernière.
Quitte à discuter du costume, autant nous y pencher un peu plus. Si à première vue il peut paraître cheap, lorsqu'on s'y intéresse plus en détail, on s'aperçoit qu'il est en réalité de très bonne facture.
En particulier, vous verrez très discrètement les branchies du monstre bouger durant le film lorsqu'il est sur terre. Ça n'a l'air de rien mais c'est ce genre de détail qui rendent crédible la créature. Et je ne sais pas comment ils ont réussi à faire bouger ces branchies de manière aussi naturelle.
Enfin, niveau bons points, on pourra également citer l'originalité du film, à savoir le lieu de l'action. Placer cette dernière en Amazonie a permis de détacher ce film du reste des Universal Monsters qui se déroulent majoritairement en Angleterre ou en Ecosse.
Cela permet également d'offrir de beaux décors à la caméra de Jack Arnold.
Cependant, ils n'ont pas permis à l'histoire de s'étoffer un peu et de l'empêcher de rapidement tourner en rond.
Pas plus que d'offrir de la consistance au seul personnage féminin de l'équipage qui passe son temps à crier et se mettre en danger, tout en ayant un maquillage impeccable au milieu de la jungle amazonienne. Peu réaliste vous avez dit ? Affirmatif !
Néanmoins, ses plans iconiques, sa place dans l'histoire du cinéma de genre et son caractère divertissant justifient à eux seuls de voir ce film au moins une fois.
Il mérite cependant le coup d'œil ne serait-ce que pour ses plans subaquatiques, un exploit pour l'époque. L'action y est parfaitement lisible mais surtout ces plans offrent des moments poétiques.
On comprend aisément que ce film ait pu inspirer Guillermo del Toro pour son "La Forme de l'Eau".
On ne peut d'ailleurs pas s'empêcher de penser aux efforts énormes que ces plans ont dû demander pour l'acteur-cascadeur Ricou Browning qui incarne la créature lors des plans sous l'eau.
En effet, son costume, qui devait déjà être lourd, devait être insupportable une fois mouillé. Comment a-t-il réussi à être aussi fluide dans ses ballets aquatiques ? Mystère.
C'est d'ailleurs l'occasion de tirer mon chapeau à cet acteur qui nous a malheureusement quitté la semaine dernière.
Quitte à discuter du costume, autant nous y pencher un peu plus. Si à première vue il peut paraître cheap, lorsqu'on s'y intéresse plus en détail, on s'aperçoit qu'il est en réalité de très bonne facture.
En particulier, vous verrez très discrètement les branchies du monstre bouger durant le film lorsqu'il est sur terre. Ça n'a l'air de rien mais c'est ce genre de détail qui rendent crédible la créature. Et je ne sais pas comment ils ont réussi à faire bouger ces branchies de manière aussi naturelle.
Enfin, niveau bons points, on pourra également citer l'originalité du film, à savoir le lieu de l'action. Placer cette dernière en Amazonie a permis de détacher ce film du reste des Universal Monsters qui se déroulent majoritairement en Angleterre ou en Ecosse.
Cela permet également d'offrir de beaux décors à la caméra de Jack Arnold.
Cependant, ils n'ont pas permis à l'histoire de s'étoffer un peu et de l'empêcher de rapidement tourner en rond.
Pas plus que d'offrir de la consistance au seul personnage féminin de l'équipage qui passe son temps à crier et se mettre en danger, tout en ayant un maquillage impeccable au milieu de la jungle amazonienne. Peu réaliste vous avez dit ? Affirmatif !
Néanmoins, ses plans iconiques, sa place dans l'histoire du cinéma de genre et son caractère divertissant justifient à eux seuls de voir ce film au moins une fois.
"L'Étrange Créature du lac noir ", film d'horreur américain en noir et blanc réalisé par Jack Arnold, sorti en 1954.
C'est le deuxième film (après Bwana Devil en 1952) tourné pour être vu en 3D avec des lunettes polarisantes.
"L'Étrange Créature du lac noir" est le plus connu et a bénéficié d'une bonne promotion, les plus vieux d'entre nous se souviendrons de sa rediffusion dans les années 80. Le film était présenté comme le premier film en 3D et je crois même que nous avions eu les lunettes spéciales dans Pif. Je m'en souviens encore et j'ai regardé le film sans les lunettes, car sur nos petites télé ça ne donnait pas grand chose.
Un classique du film de monstre des années 50 avec une relation à la "King Kong" entre les deux "créatures".
Un film très bien réalisé. Avec une mise en scène de qualité dont certaines scènes ont inspiré de grands réalisateurs actuels.
Deux suites sont produites : "La Revanche de la créature" en 1955 du même réalisateur et "La créature est parmi nous" réalisé par John F. Sherwood en 1956. Dans les trois films c'est Ricou Browning, réalisateur de prises de vues sous-marines (Flipper le dauphin c'est lui) et par conséquent plongeur et cascadeur qui interprète la créature sous le costume.
Un bon vieux classique en noir et blanc devenu une référence, à voir pour sa culture cinématographique.
C'est le deuxième film (après Bwana Devil en 1952) tourné pour être vu en 3D avec des lunettes polarisantes.
"L'Étrange Créature du lac noir" est le plus connu et a bénéficié d'une bonne promotion, les plus vieux d'entre nous se souviendrons de sa rediffusion dans les années 80. Le film était présenté comme le premier film en 3D et je crois même que nous avions eu les lunettes spéciales dans Pif. Je m'en souviens encore et j'ai regardé le film sans les lunettes, car sur nos petites télé ça ne donnait pas grand chose.
Un classique du film de monstre des années 50 avec une relation à la "King Kong" entre les deux "créatures".
Un film très bien réalisé. Avec une mise en scène de qualité dont certaines scènes ont inspiré de grands réalisateurs actuels.
Deux suites sont produites : "La Revanche de la créature" en 1955 du même réalisateur et "La créature est parmi nous" réalisé par John F. Sherwood en 1956. Dans les trois films c'est Ricou Browning, réalisateur de prises de vues sous-marines (Flipper le dauphin c'est lui) et par conséquent plongeur et cascadeur qui interprète la créature sous le costume.
Un bon vieux classique en noir et blanc devenu une référence, à voir pour sa culture cinématographique.
Pas revu depuis sa diffusion historique sur FR3 à l epoque et en relief . Vu donc dans une superbe version rénovée et le charme de ce film fonctionne toujours . Le thème de la belle et la bête qui est beaucoup plus aboutie que le film de Guillermo del Toro.
Assez bon film de SF, stressant et intrigant. Les scènes sont encore bien réalisées pour aujourd'hui et le déroulé est bon. Les dialogues et prises de vues ont du sens. Les acteurs sont bien choisis et prudents. A voir pour les cinéphiles.
Un chef d'oeuvre horrifique avec la légendaire créature du lac noir. Un très bon film d'épouvante en noir et blanc .
Le film est juste magnifique.
C'est triste de ce dire qu'en 1954 on utiliser mieux la 3D que maintenant.
Le film est une référence dans les films de monstres et le jeux des acteurs n'as pas vieillit par rapport àla plupart des jeux d'acteur de l'époque .
Le scénario est simple et efficaces on ne voit pas le temps passé .
Les décors studio et les effets spéciaux et visuel nous font tomber sous le charmes de cette époque.
Jack Arnold signe un de ces plus grands chefs d'oeuvres.
C'est triste de ce dire qu'en 1954 on utiliser mieux la 3D que maintenant.
Le film est une référence dans les films de monstres et le jeux des acteurs n'as pas vieillit par rapport àla plupart des jeux d'acteur de l'époque .
Le scénario est simple et efficaces on ne voit pas le temps passé .
Les décors studio et les effets spéciaux et visuel nous font tomber sous le charmes de cette époque.
Jack Arnold signe un de ces plus grands chefs d'oeuvres.
Un immense classique à voir impérativement. Une des plus grandes réussites du cinéma d'épouvante Universal. Le costume de la créature est impressionnant pour l'époque, même si aujourd'hui on remarque très bien qu'il s'agit d'un costume. La créature, devenu mythique, est un monstre qu'on adore, d'abord pour son look, mais aussi pour sa dimension un peu "King Kong". C'est une créature qui tue pour défendre son territoire, mais qui est aussi capable d'aimer. Julia Adams est également très belle, les scènes sous-marines sont d'une grande qualité tout comme le reste de la réalisation de Jack Arnold.
Outre la création réussie du monstre, la grande réussite du film est sa poésie, son élégance, son beau noir et blanc, sa réalisation soignée, notamment lors des scènes subaquatiques. Le scénario n'est hélas pas à la hauteur ; le film est par moment un peu "mou du genou", et les rapports entre la belle et la bête à peine esquissés.
Kurosawa
On peut dire que la principale qualité de "L'étrange créature du lac noir" est la simplicité. Celle-ci réside autant dans la modestie du maquillage ou du design de la créature que dans la conduite du récit, qui dévoile progressivement le monstre avant d'instaurer un huis clos en plein air, long moment de confrontation sur le lac entre l'équipage et l'autochtone. Or, s'il y a bien opposition, on ne peut pour autant parler de suspense : Jack Arnold veut avant tout mêler poésie (la créature et la femme) et discours critique sur l'avidité des hommes qui viennent chasser une espèce certes dangereuse mais qui défend son territoire. Film sans vraie tension, quoique l'utilisation fréquente et à ce titre peu convaincante de la musique cherche à en créer, "L"étrange créature du lac noir" assume pleinement le schématisme de ses personnages, judicieux en ce qu'il met davantage en évidence l’ambiguïté du monstre, révulsant mais sensible, à l'image de cette magnifique scène où il nage sous l'eau en frôlant ce corps féminin tant désiré. Aucune révolution à l'oeuvre ici, certains effets sont même très attendus et pourtant le film fait du bien aux yeux (un noir et blanc lumineux et reposant, des scènes aquatiques superbes), divertit efficacement et frappe par l'intelligence du propos : de quoi en faire un petit classique du cinéma fantastique.
Un énorme classique du film de monstre qui a inspiré de nombreuses œuvres contemporaines comme La Forme de l’Eau, King Kong ou encore Les Dent de la Mer.
https://www.facebook.com/la7emecritique/
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