Les grands films de soderbergh se font de plus en plus rare. The informant en est un honorable, s'appuyant uniquement sur la performance de son acteur principal , comme c'était déja le cas avec del toro pour che guevara . The informant n'apporte rien de nouveau ou de bien folichon, mais ne s'avère pas non plus abominable et se regarde comme l'on dit. 2 étoiles et demi généreuse en souvenir des traffic et autres sexe mensonges et vidéo , une époque ou soderbergh etait encore considéré comme un grand réalisateur...
« The Informant ! » a eu un effet totalement soporifique sur moi, je me suis ennuyée et j’ai vraiment trouvé cette histoire sans intérêt … Je n’ai pas du tout sourit pendant cette « comédie » et en suis ressortie très déçue. Le personnage principal est incohérent et mythomane… Dommage d’avoir pris 15 kg pour un film aussi nul ! A fuir !!!
Soderbergh signe un film sympathique, souvent drôle mais aussi déroutant, presque à l'image de son héros : pour le moins confus... La composition de Matt Damon est étonante.
Un film sur lequel je n'avais rien lu, et par lequelle j'ai été surprise. Agréablement par la prestation de Matt Damon, et par l'ironie constante qui se dégage du film. Désagréablement par une histoire à rallonge marlgrès sa courte durée. Dommage que l'on s'ennuie un peu...
Une déception. Une musique atroce pour faire comédie, un scénario alambiqué pour faire tendance, une voix off inintéressante, des rebondissements qui finissent par être assomants... Ce nouveau Soderbergh aurait pu être très bien (l'histoire à la base du film est excellente), mais tel quel, il se perd dans d'interminables scènes inutiles.
Dans l'ensemble, j'ai trouvé ce film sans grand intérêt. Il y a certes une grosse performance d'acteur de Matt Damon, méconnaissable, mais l'histoire en elle-même peine à retenir l'attention. On a l'impression de tourner en rond et d'assister à des évènements qui n'ont pas un réel enjeu, et le tout avance trop lentement, malgré quelques scènes vraiment inspirées. De plus, la musique, particulière, fait assez tache, alors que l'idée aurait pu s'avérer sympa si on n'en avait pas abusé. On a tout de même envie de connaître le fin mot de l'histoire (qui s'avère intéressant malgré tout) et le rythme est heureusement entretenu par un humour subtil omniprésent dans les dialogues, mais en gros, un film mineur qui manque de consistance, et qui ne gagnera sûrement pas à être revu. Soderbergh a déjà fait beaucoup mieux selon moi, même si ce n'est pas réellement mauvais.
Film au scénario interessant mais traité avec trop de simplicité, sans pour autant véritablement y comprendre grand chose, le personnage principal part souvent dans des sortes de délires qui cassent un peu les messages que les scènes nous font passer.. on a du mal à rentrer dans le film, dommage, l'interprétation, avec beaucoup de talent et de sincérité, de Matt Damon est remarquable.
Dans un élan productif sans fin, Steven Soderbergh se perd parfois dans des abîmes du vide ou de "sur-production", nous repenserons ici à The Good German non dénué d'intentions mais habité d'inutilité et mise en scène trop éparpillée. Après le belle essai Girlfriend Experience, Soderbergh revient donc à un film plus conventionnel sur le papier, plus rentable d'une certaine manière. Si la bande annonce pouvait présager le pire, le résultat est quelque peu différent sur la toile. Après une douloureuse demi heure de mise en place où seul Matt Damon fait office d'intérêt, le film prend un bel élan et une mise en scène relevée (sans être dantesque) et l'histoire permet de jolies péripéties et situations cocasses. On retrouve alors un Matt Damon virevoltant, s'amusant de la moindre occasion "mythomaniaque" pour faire vivre son personnage. On retrouve alors un doux mélange de Erin Brokowich et Out of Sight. Le côté biographique relève de manière soulignée l'absurdité de cette histoire, vraie
4ème film de l’année pour Steven Soderbergh, alternant grosses productions et réalisations intimistes (Che : L'Argentin , Che : Guerilla & Girlfriend Experience), brassant différents genres, avec The Informant ! (2009), il adapte le best seller homonyme de Kurt Eichenwald, basé sur une histoire vraie, celui d’un cadre sup’ au sein d’un grand groupe agroalimentaire qui décide sur un coup de tête de balancer aux autorités les pratiques frauduleuses dont sont coupables ses responsables. Annoncé comme un film d’espionnage aux antipodes, le film alterne aussi avec la comédie, grâce à un scénario et un personnage central ambigu. Déroutant et trompeur, il n’aura de cesse de nous désorienter à force de modifier son témoignage. Une intrigue qui est au final loin d’être claire et assez prise de tête.