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GéDéon
89 abonnés
523 critiques
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2,0
Publiée le 29 septembre 2024
Le quatrième volet de la saga « Die hard », réalisé en 2007 par Len Wiseman, offre une aventure exagérément musclée du lieutenant de police John McClane. Cette fois-ci, il doit déjouer le plan de cybercriminels cherchant à pirater les données financières des Etats-Unis. Le scénario privilégie l’action avec des scènes sur-vitaminées sans véritable réalisme. Quant à l’humour, généralement caractérisé par d’excellents punchlines, il se limite à une simple confrontation générationnelle, Bruce Willis jouant le vieux dinosaure face un jeune surdoué de l’informatique. Bref, un gros blockbuster sans finesse.
Qu'elle parait lointaine la débrouille quasi artisanale et l'efficacité à l'os du premier volet! Update oblige, le John mcClane minimaliste de la fin des 80's laisse sa place à un papa bougon confronté à des hackers et un avion de chasse zigzaguant entre les ponts d'autoroute!!! Propulsé malgré lui dans l'ère Fast and Furious (et nous avec), papa McClane n'a pas perdu son humour, ni sa tendance à s'attirer des ennuis. On alternera donc les vannes entre générations et les effets spéciaux tonitruants pour un résultat divertissant mais malheureusement très oubliable, la franchise ayant définitivement sacrifié son identité alterno-badass afin d'épouser le blockbuster contemporain
Après avoir vu ce quatrième volet de la saga Die Hard, je ne m'attendais pas à voir autant de critiques élogieuses sur le film ! Mise en scène classique, scènes d'action trop présentes pour développer les personnages et en particulier l'antagoniste, très cliché. L'humour lourd tombe souvent à l'eau tout en faisant redescendre la potentielle tension de la scène... et des facilités à en pleuvoir (une chute de 15m de haut sur de la tole et à peine une égratinure, ou de l'eau qui avance à 40 km/h). Oui, on retrouvait ça dnas les autres Die Hard, mais pas aussi flagrant. Du cinéma popcorn qui suit malheureusement la tendance des blockbusters hollywoodiens. Je peux parfois être réceptif à ce genre de divertissement de type "on etient son cerveau" (encore que j'aurais à redire à cette expression), mais là le film m'a apparu complètement oubliable.
Ce volet de la saga Die Hard n'a rien de vraiment nouveau en ce qui concerne les enjeux et les antagonistes.
Après le suspens et la tension présentent dans le film sont toujours aussi efficaces.
Même s'il y a toujours les bonnes scènes d'action au rendez-vous, je commence un peu à me lasser des personnages et de l'histoire plus ou moins la même.
Regarder ce quatrième volet des aventures de John McLane, c'est comme s'amuser devant un jeu vidéo d'action où ça castagne et pétarade de partout. Si l'objectif des producteurs et scénariste était d'aller encore plus loin dans l'invraisemblable et le paroxysme, il est pleinement atteint. Reste qu'on aurait aimé un peu plus d'originalité, moins de clichés et de jeux de mots téléphonés, et une mise en scène moins impersonnelle. N'est pas McTiernan ou John Woo qui veut! Cela étant dit, par rapport à la moyenne des films du genre, celui-ci est plutôt de bonne tenue et se regarde sans ennui, c'est déjà ça.
« Die Hard 4 : Retour en enfer » est une séquelle pleine d'énergie, qui parvient à moderniser la saga sans trahir son essence. Bruce Willis incarne toujours avec brio ce flic tenace et désabusé, et le rythme effréné du film, ponctué de scènes d'action époustouflantes, ne laisse aucun répit. Certes, le scénario n'innove pas outre mesure, mais il est efficace et sert bien l'ensemble. L'aspect technologique apporte une touche contemporaine intéressante, même si l'humanité de John McClane semble parfois diluée dans ce contexte high-tech. Malgré quelques exagérations typiques du genre, le film reste un divertissement de qualité, qui respecte les codes tout en injectant suffisamment de fraîcheur pour captiver. C'est une belle réussite, qui confirme que Bruce Willis et son personnage n'ont rien perdu de leur superbe. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
L'intrigue est un peu toujours la même : John McLane sauve la planète US.
Cette fois ça tourne autour d'une histoire d'informaticiens terroristes, à laquelle on ne peut décemment pas croire une seconde, et pourtant ça marche !
Bruce Willis avait encore une sacrée forme et Justin Long assure dans ce presque Buddy movie.
Incontestablement le meilleur, le plus punchy des quatre ! John Mc Clane revient 12 ans après Die Hard 3, sans cheveux et avec sa voix française bien connue qui avait tristement disparue dans Die Hard 2 ou 3. Une histoire d'actualité : notre monde vit grâce à l'informatique et les hackers sont la pire des menaces...scénario intéressant, actions qui montent toujours crescendo pour arriver à toujours plus de cascades et d'explosions plus spectaculaires les unes que les autres. L'acteur qui donne la réplique au Lieutenant Mc Clane (le jeune hacker) tient parfaitement la route et le duo fait des ravages à l’écran. Rythmes très soutenus, on ne s'ennuie pas, attachez vos ceintures!
Un peu mois bien que ses prédécesseurs : ce quatrième épisode penche trop vers l'action au détriment de l'humour. Le duo de ce troisième épisode est également moins attachant que celui du troisième épisode. Autre aspect qui m'a déplu : comme pour le troisième épisode les méchants du film ont des plans beaucoup trop rocambolesques ! En revanche les scènes d'actions sont toujours très efficaces et Bruce Willis est toujours excellent dans son rôle du lieutenant McClane. Dans l'ensemble bon épisode !
On dira de lui que c'est le dernier de la saga vue la bouse qui a été faite après... Pour ce film on a un bon scénario et une belle mise en scène. Bref la recette Die Hard fonctionne.
Grâce à Bruce Willis, spoiler: nous retrouvons la plupart des ingrédients qui ont fait le succès de la série “Die Hard” .
Mais, même si Bruce Willis est spoiler: entouré d'un casting digne de son retour, douze ans après la conclusion de la trilogie du XXe siècle, et que l'histoire – basée sur le long récit journalistique "A Farewell to Arms" écrit par John Carlin en 1997 – est perspicace et habilement menée, le spectateur des débuts ne peut s'empêcher de penser que "Die Hard 4.0" manque ce petit quelque chose en plus qui a rendu les films des années 1980 et 1990 si spéciaux .
Quoi qu'il en soit, les tactiques de la vieille école de McLane s'avèrent toujours aussi efficaces pour éliminer les techno-terroristes d'aujourd'hui, qui, comme les esprits criminels de l'époque, ne sont finalement que des escrocs avides qui montrent le plus profond mépris pour la sécurité publique et l'État de droit.