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Synopsis
Rencontre entre le cinéaste français Pierre Coulibeuf et le chorégraphe flamand Jan Fabre. Ce dernier a revisité son univers et proposé au réalisateur toute une fantasmagorie inspirée par ses propres créations chorégraphiques et théâtrales. Il en a résulté un film labyrinthe à entrées multiples où une improbable Ariane en robe de mariée guide et perd le spectateur dans un monde étrange marqué par la métamorphose, le jeu des pulsions, le dédoublement, la parodie, la ritualisation et la surréalité...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Les cadres, la lumière, les sons et le montage du film Les Guerriers de la beauté ont été étudié par Pierre Coulibeuf pour "interpréter" l'univers mental de Jan Fabre. L'oeuvre est ainsi, selon le cinéaste, une version "autonome" qui a pour objet de saisir "dans l'univers du chorégraphe une disparité essentielle qu'il répète, infiniment. Le film est une "reprise" de cet univers (et) par là, réinvente, actualise des mondes virtuels qui chevauchen
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D'une forme à l'autre
Les Guerriers de la beauté correspond aux fruits de la rencontre entre le cinéaste français Pierre Coulibeuf et le chorégraphe flamand Jan Fabre. L'écriture cinématographique s'essaye donc ici à retranscrir les perspectives induites par l'univers de la danse contemporaine, le film étant conçu comme un passage entre deux formes artistiques différentes et complémentaires.
Fusion et métamorphose
D'après Pierre Coulibeuf, le film épouse un mouvement transversal, "de nature fictionnelle", qui en fait "un double où l'univers prétexte disparaît, métamorphosé". Les Guerriers de la beauté propose ainsi l'un des "devenirs possibles" de l'univers de Jan Fabre.