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Alain D.
583 abonnés
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4,0
Publiée le 28 décembre 2016
Réalisée par Yves Robert en 1972, cette parodie burlesque de film d'espionnage a pris quelques rides. Néanmoins, cette comédie nous fait bien sourire et il faut avouer qu'elle possède de sérieux atouts : outre le scénario audacieux de Francis Veber et la musique culte de Vladimir Cosma, ce classique du cinéma français dévoile une affiche grandiose : Jean Rochefort, Bernard Blier tout simplement fantastique dans le rôle du cynique Colonel Milan. Pierre Richard toujours éblouissant dans ce genre de rôle fantasque. Jean Carmet est génial dans le personnage de Maurice, l'ami déboussolé du grand blond. Mireille Darc est très belle en blonde fatale, avec la célèbre scène du décolleté vertigineux.
" Le grand blond avec une chaussure noire" comédie culte de Yves Robert . C'est l'histoire de milan ( Bernard blier ) un agent des services secrets qui souhaite prendre la place de directeur des services secrets a la place de l'actuelle directeur Toulouse ( jean Rochefort ) . Pour cela il monte une machination pour le discréditer et lui faire perdre son poste . Mais Toulouse ayant découvert les plans de Milan décide de mettre en place un piège machiavélique pour le faire tomber . Pour cela il décide d'utiliser un inconnu pris au hasard dans la foule et faire croire a milan qu'il est un redoutable agent secret . François perrin ( pierre richard ) un modeste violoniste sans histoire un peu maladroit va être l'inconnu en question qui va être embarquer bien malgré lui dans une guerre des services secrets mener par Toulouse et Milan ... Yves Robert signe une comédie sympathique devenu culte avec un scénario assez originale celui d'un modeste violoniste qui va se retrouver en plein milieu d'une guerre des services secrets . le film est une sympathique parodie d'espionnage . Le casting est excellent a commencer par pierre richard géniale en violoniste un peu maladroit qui va être embarquer bien malgré lui dans une guerre des services secrets ou il va devenir un pion qu'on manipule ce qui va donner lieu à quelques moments assez hilarants . A ses coter jean Carmet excellent dans le rôle du meilleur ami de pierre richard qui croit perdre l'esprit quand il voit plein de choses bizarres se passer autour de lui . Sans oublier jean Rochefort et Bernard blier tout les deux géniaux en chefs des services secrets qui se font la guerre . Et enfin la sublime Mireille d'arc géniale aussi dans le rôle d'une espionne sous les ordres de Bernard blier . Personne n'a oublier sa fameuse robe noire décolleter a l'arrière . La musique de Vladimir cosma devenu culte est géniale et colle a merveille a l'ambiance du film . Une comédie sympa avec quelques scènes cocasse et répliques hilarantes . On regrette juste quelques passages un peu plus longuet et un peu moins drôle . Néanmoins on passe un bon moment . Le film connu un grand succès en salle en 1972 qui lança la carrière de Pierre Richard et en fit une star . Un film culte .
Pierre Richard est inoubliable en violoniste maladroit, simple anonyme, utilisé comme piège à cons le temps d’un règlement de compte entre chefs des services secrets français. Et dire que le talentueux Bernard Blier en adjoint du contre-espionnage, trop ambitieux au goût du grand patron interprété par Jean Rochefort, croit avoir affaire à un super agent... Tous les spectateurs de ma génération ont gardé en mémoire la prestation de Mireille Darc en blonde sexy (ah !, sa robe échancrée). Les premiers et les seconds rôles sont tous des « gueules » de l’époque. De même, la musique rigolote est reconnaissable entre toutes. On découvre dans cette parodie des films d’espionnage le mode opératoire des agents secrets (les filatures, les micros cachés…). Néanmoins, le temps a fait son œuvre. Si les acteurs font toujours plaisir à voir ; le film est poussif malgré la scène du lit pliant, de la cornemuse, des cheveux de Mireille Darc coincés dans la braguette de Pierre Richard, de la tuerie finale aux pistolets silencieux, des cadavres cachés dans le logement du violoniste avec Jean Carmet en voisin cocu qui perd la boule… Attention, ce film est réservé aux nostalgiques des comédies françaises des années 70 tant sa réalisation a vieilli.
Le Grand Blond avec une chaussure noire : Un classique de la comédie française devenu culte comme on en voit plus de nos jours. Avec un personnage culte et hilarant car il lui arrive des tonne de truck malgré lui. Un magistralement bien interprété par l’amusant et unique Pierre Richard qui me fait rire a chaque fois dans ces comédies (La Chèvre, Les Compères, Le Jouet…) et cette comédie ne déroge pas à la règle. Et puis il joue à merveille son rôle de monsieur tout le monde, un peu maladroit, qui lui arrive des trucks incroyables malgré lui. Et avec lui, on a le droit à un casting en or : Mireille Darc (avec sa robe coupée au dos, on s’en souviendra), Jean Rochefort, Bernard Blier… Et ils sont tous très convaincant et drôle. De plus, le scénario est vraiment amusant à suivre : cette personne prit au hasard (car il avait une chaussure noire ^^) par les services secrets français et qui va devenir une véritable piège a con comme il le dise si bien ^^. Et puis la va s’enchaine avec panache une multitude de gags, de scène cocasse, loufoque, drôle et aussi culte. Les dialogues, réplique et situation sont excellent, comme on avait le génie à l’époque de nous faire rire. Enfin voila, tous y est pour que on passe un très bon moment a rigolé. Un classique de la comédie, une comédie d’espionnage a la française vraiment marrant, à voir absolument car il vaut le coup d’œil et c’est un plaisir a regardé. Pour moi, c’est un coup de cœur.
Un grand classique des comédies française qu'on se lasse pas de voir et de revoir. Des pointures du comique, des gags percutants, le thème culte de Vladimir Cosma et l'un des meilleurs rôles de Pierre Richard pour une savoureuse parodie des films d'espionnage signé Yves Robert.
Plaisant mais pas assez délirant, ce film fait passer un bon moment et nous laissera le souvenir du personnage de Pierre Richard et de Mireille Darc en pleine beauté. Il est vraiment dommage qu’il y ait des morts, c’est assez incompréhensible dans un tel film. Pour le reste, c’est une suite de gags dans lesquels on retrouve l’imagination formidable de Veber. Je dois dire que la scène d’amour rediffusée dans la camionnette et écoutée par Jean Carmet est tout à fait jouissive. Le grand blond avec une chaussure noire est un exemple parfait du cinéma comique français des années 70.
Un comble : le film est poussif (et c'est rien de le dire) mais quand vient l'amorce d'un bon gag, il n'est jamais exploité à fond ! Pierre Richard ne convainc pas, Blier, Rocherfort et Carmet ont l'air de s'emmerder et ne parlons pas des seconds rôles… (quoique Colette Castel s'en sort bien). L'intrigue vire en eau de boudin et seule Mireille Darc nous apporte quelques moments troublants. A sauver éventuellement la scène de l'orchestre conduite par le réalisateur.
Grand classique qu’on me disait, tu vas te marrer non stop, pleins de blagues, bien écrit, culte… Bref les superlatifs ne manquent pas pour les vieux films français (enfin vieux c’est relatif, on devient ricain, passé 10 ans c’est old) alors qu’on daube toujours autant sur les nouveaux qu’on va voir au cinéma quand même… Bref vu la note vous vous doutez que le résultat ne m’a pas autant charmé que la majorité de mes contemporains. Bien sur ça a vieilli, pas forcément bien, mais ce n’est rien par rapport au vide qui le compose. En effet, il n’y a rien dans ce film, tout juste un essai de complot alambiqué et irréaliste revisité à la sauce française, manque plus que la crème fraîche. Certes Jean Rochefort et Blier sont bons, leurs stratagèmes pour avoir l’autre sont sympas et font à la limite sourire, mais c’est tout, on est loin d’une comédie, surtout que c’est censé être la partie de Pierre Richard et là… Ben c’est loupé, chiant pour une comédie si son instigateur fait plus pitié que rire. Certes il joue plutôt bien le rôle de paumé, ok les situations dans lesquelles il se retrouve sont ubuesques, et oui Carmet rattrape un peu avec le quiproquo qu’il instaure malgré lui (on l’oublie souvent Jean dans les critiques). Oui mais c’est très maigre, beaucoup trop. Déjà c’est long, mou, chiant en tout, maladroit, le son est mal géré parfois (par contre la musique de Cosma reste géniale et reconnaissable), l’histoire n’a rien d’intéressant, la trame reste classique même pour l’époque, le montage est flou (certains passages zappés qui aurait aidé la narration, d’autres laissés alors qu’ils ne servent à rien, même pas au rythme un peu bancal), les dialogues sont moyens, les acteurs restent bons mais sans être aidé par un scénario qui les sublime… Non au final n’en ressort que l’ennui, et la robe de Mireille Darc, faut avouer, même si elle ne sert à rien juste ce dos nu suffit. Quand on sait qu’une suite a été sortie on se demande pourquoi blâmer les ricains.
Une comédie à la française avec tous les ingrédients du genre : un scénario maniant le second degré avec art, des dialogues savoureux, des situations décalées, des numéros d’acteurs maîtrisés. Côté interprétation d’ailleurs, en plus de Pierre Richard au meilleur de sa forme, difficile d’oublier les nombreux grands noms de la distribution, à commencer par Jean Carmet et Mireille Darc. Malgré tout, force est de constater que les années passant, l’effet de surprise joue de moins en moins, et les moments de franche rigolade se font beaucoup plus rares.
Voici une très bonne comédie burlesque des années 70 qui revèlera le Pierre Richard gaffeur qui casse tout ce qu'il touche et qui possède une scoumoune contagieuse. Accompagné du thème culte de Vladimir Cosma, les gags s'enchaînent bien, on rit beaucoup. La troupe d'acteurs est de très haut niveau avec entre autres Jean Rochefort, Bernard Blier ou la ravissante Mireille Darc et sa robe légèrement échancrée. Mention à l'hilarant Jean Carmet le cocu en jogging. Ce volet est en tout cas largement plus réussi que sa malheureuse suite "Le Retour du Grand Blond". Tout ça il est vrai ne vole pas très haut et ça n'a pas très bien vieilli c'est sûr mais c'est un divertissement tout à fait correct. Je conseille poliment.
Je suis d’accord avec ceux qui considère ce film comme surestimé, et même bien poussif parfois. Le Grand blond avec une chaussure noire est un film laborieux, bien inférieur à d’autres Pierre Richard moins connus et mieux tenus. Ici, le souci c’est que Robert ne parvient pas vraiment à créer une histoire. Rythme aléatoire, humour en berne (vraiment les gags amusants sont rares), dimension parfois sérieuse qui peine à prendre (il y a des morts, un côté « vrai film d’espionnage », mais c’est désamorcé presque à chaque fois), et histoire tout à fait convenue, voilà à peu près le menu scénaristique de ce métrage qui n’arrive jamais à trouver une tonalité prenante. Malgré sa durée courte, le sentiment d’ennui arrive vite, et il en résulte souvent une lassitude problématique dans une comédie de ce genre. Ce n’est pas que le film manque d’atouts pourtant. Il a une certaine élégance formelle, qui reste un des avantages du cinéma de Robert. Mais la mise en scène ne sort guère des sentiers battus, certaines séquences prometteuses (la rencontre Darc – Richard) sont finalement un peu décevante, et le métrage n’a pas grande fantaisie. La bande son reste l’aspect le plus célèbre du film. Une bande son réussie, si toutefois le métrage n’avait pas choisi d’aller volontiers vers le sérieux, elle aurait été plus adéquate, car elle prend franchement le chemin de la musique légère et amusante. Quant au casting, sur le papier il est excellent, dans les faits il est un peu sous-exploité. Jean Rochefort apparait très peu, Bernard Blier a un rôle faiblard, et il n’en fait pas vraiment lourd. Pierre Richard se démène, mais clairement, dans ce registre semi-sérieux je l’ai trouvé moyen. Il y a un décalage entre son personnage, présenté comme très lunaire et maladroit, et la réalité qui démontre un type finalement peu dans cette veine là. Quant à Mireille Darc c’est avant tout un atout charme, notamment lors d’une séquence fameuse. Pour le reste sa présence est anecdotique. En conclusion, Le Grand blond avec une chaussure noire est un métrage faiblard. Je n’ai pas été convaincu par l’ensemble. Le film est élégant, il n’est pas dénué de quelques moments plaisants, les acteurs n’ont pas grand-chose à défendre mais ils sont corrects tout de même. Mais il manque clairement quelque chose, et je ne crains pas de dire que c’est en grand partie dans l’intrigue. 2
En 1972, le grand cinéaste comique français Yves Robert signe "Le Grand blond avec une chaussure noire", porté par des dialogues de Francis Veber. Le film permet surtout le triomphe de Pierre Richard dans son rôle fameux de François Perrin. Mais avec le temps, le long-métrage, malgré l'aura dont il bénéficie, s'avère bien en deçà des attentes. En tout cas, le résultat ne constitue ni le meilleur d'Yves Robert ni celui de Richard d'ailleurs. Certes il y a la musique culte de Vladimir Cosma et la distribution est irréprochable mais l'ensemble accuse assez le coup. Le rythme est très irrégulier et l'on peut passer du plaisir à l'ennui en quelques secondes. L'humour est dans l'ensemble poussif et l'intrigue est quant à elle répétitive de bout en bout. On pourra toujours se délecter grâce à quelques seconds rôles savoureux tels Jean Carmet. Mais pour le reste, Yves Robert nous a habitué à mieux !