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camray54
31 abonnés
1 010 critiques
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1,0
Publiée le 18 août 2009
Un film qui a mal vieillit tant par l'humour que par l'image. Seul un casting assez prestigieux parvient à élevé le film du rang de mauvais à celui de film quelconque.
13 935 abonnés
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4,0
Publiée le 16 octobre 2022
On ne prèsente plus ce classique culte et indèmodable du cinèma français, cette grande comèdie à succès d'Yves Robert dans laquelle l'inoubliable Pierre Richard alias François Perrin vit bien malgrè lui des èvènements peu ordinaires, et qui rèpondent à un certain nombres de règles! A savoir divertir et surtout faire rire! Et ça marche du tonnerre! Notre plaisir provient, avant tout et surtout des acteurs, cette distribution tellement parfaite, de Bernard Blier à Jean Rochefort en passant par Jean Carmet, Paul Le Person et bien èvidemment Mireille Darc en sèduisante espionne...avec une robe noire à rèveiller les morts, dècolletèe du dos excusez du peu! Quant à la musique mythique de Vladimir Cosma, brillante dèmonstration de savoir faire avec une simple flute de pan, elle demeure bien ancrèe dans son èpoque! A suivi deux ans plus tard, "Le retour du grand blond" (1974), avec la même èquipe! Au fait pourquoi diable une chaussure noire ?
Un film plaisant pour la parodie et la façon dont Blier se fait berner par Rochefort. PR trouve un rôle parfait pour la cocasserie et l’innocence de son personnage. Un point faible cependant. Les scènes musicales sont franchement affligeantes.
Cette comédie culte d'Yves Robert repose entièrement sur les épaules de Pierre Richard. Ce dernier se trouve être la seule chose insolite et donc drôle du film. Il s'évertue à enchaîner les gags, plus ou moins inspirés, tandis que tout le monde autour se prend bien trop au sérieux. C'est typiquement le genre de comédie qui, fort de son intrigue de départ originale, se contente de s'appuyer sur cette dernière. Le problème c'est qu'une fois que l'on a compris et que le film est lancé, on se retrouve presque devant un simple polar à peine inspiré. L'ennui se fait vite ressentir et il faudra se contenter des pitreries (efficaces) de Pierre Richard et d'une belle bande originale, signée Cosma évidemment.
via un enchaînement de quiproquos, un habile pastiche d'espionnage avec des situations dignes de grands polar et de scènes d'une grande drôlerie. une galerie de personnages 1ers degrés extravagants idéalement campés (Blier, Rochefort, Carmet...) et orchestrée par l'inénarrable P. Richard en grande forme. et puis, la scène culte de la robe de M.Darc... un grand divertissement d'Y. Robert qui traverse le temps avec bonheur.
"Le grand blond avec une chaussure noire" est une plaisante comédie entrée dans le patrimoine du cinéma français. Pierre Richard y est plus sobre que dans beaucoup de ses autres rôles, on s'amusera des situations cocasses avec le mari trompé et surtout de la lutte de pouvoir entre les deux chefs des services secrets interprétés par les toujours excellents Jean Rochefort et Bernard Blier. De quoi passer un bon moment et redécouvrir avec nostalgie tant de gueules qui occupaient les castings du cinéma français.
Classique de la comédie française parodiant allègrement les films d’espionnage dans cette guerre des services de contre-espionnage français où Pierre Richard se retrouve au milieu de gué. Si quelques gags ont pris un peu d’âge et sont moins percutantes, l’ensemble reste plaisant avec une interprétation précise. Un vrai classique de l’absurde à la française.
Jean Rochefort, Bernard Blier, Jean Carmet, Mireille Darc et sa légendaire robe noire, Pierre Richard et ses pitreries inimitables. Casting exceptionnel pour ce film culte sorti en 1972. Cinquante plus tard, il se regarde avec toujours autant de plaisir, grâce à ses quiproquos en cascade. À commencer par la méprise de Milan, attiré trop facilement dans le piège à con tendu par Toulouse qui sait que, de même que quand on est un marteau, tous les problèmes ressemblent à un cloud, quand on est agent secret, tous les gens sont suspects, même un gars aussi banal que Pierre Richard. À revoir sans modération.
Une excellente comédie qui n'a pas pris une ride. Cette parodie de film d'espionnage est un régal qui suit l'histoire de ce violoniste anonyme désigné comme un agent secret pour servir d'appât pour démasquer un groupe de comploteurs. La grande force du film repose à la fois sur des situations comiques mais aussi sur le talent des comédiens. Pierre Richard maîtrise son personnage de gaffeur à la perfection, Bernard Blier est formidable en chef de service obsédé par la traque du grand blond , Mireille Darc est éblouissante et ultra sexy. A noter encore un Jean Carmet absolument drôle et un Jean Rochefort impeccable en chef de service stoïque en toute circonstance. Yves Robert réussit avec ce film un modèle de parodie et signe une oeuvre intemporelle. A voir et revoir.
Jean Rochefort, Bernard Blier sans oublier Jean Carmet, le réalisateur Yves Robert offre à Pierre Richard un rôle que beaucoup de nostalgique oublieront pas, il mise les cartes sur l'originalité pour l'époque en matière de comédie/espionnage. Tout est réellement fou fou et jusqu'à la fin. Je souligne la présence l'actrice Mireille Darc et que dire de ce passage ou elle porte une robe noire et et l'on aperçoit son dos nu et le début de ses fesses, rien à dire divine. Et le générique avec des cartes dont les mains du prestidigitateur Gérard Majax et il apparait aussi dans le film.
Un classique de comédie où Pierre Richard passe pour un espion international sans en être un. Les dialogues sont idiots et amusants, de nombreux gags où les services d'espionnages vont se faire des noeuds au cerveau pour voir ce que ce "grand blond avec une chaussure noire" a dans le ventre. Ils ne sont pas au bout de leur peine !
Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu ce film, réalisé par Yves Robert et sorti 1972, que je regardai pourtant en boucle étant plus jeune ! Je l'ai donc redécouvert avec plaisir, ce film étant toujours aussi bon ! C'est donc l'histoire de François Perrin, un violoniste à la vie bien rangée, que l'on prend pour une sorte de super-espion. Évidemment, c'est typiquement le genre de scénario qui donne naissance à de très bons quiproquos. Néanmoins, le style du film peut en perturber plus d'un. Tout est en effet très lent, ce qui n'instaure pas de la lourdeur ni des longueurs mais une sorte d’ambiance très particulière, d'ailleurs entretenue pas les acteurs, bien souvent stoïques en toute circonstance, mis-à-part les civils. En plus de parodier le film d'espionnage, les acteurs rendent des scènes de dialogues assez simples, souvent très drôles. Évidemment, cela dénote aussi avec le style très excentrique de Pierre Richard et des maladresses de son personnage, qui ne collent pas vraiment à ce monde froid de l'espionnage. Et puis, en dehors de ça, nous avons également des passages très drôles et très mémorables, notamment lorsque Maurice entend Paulette dans la camionnette de fleuristes. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc Pierre Richard mais également Jean Rochefort, Bernard Blier, Mireille Darc (et sa fameuse robe), Jean Carmet, Colette Castel etc. et tous jouent très bien. "Le Grand Blond avec une chaussure noire" est donc un classique de la comédie française dont on ne se lasse pas !
Film associé à jamais à Pierre Richard, Le Grand Blond avec une chaussure noire est une sympathique comédie dans l’esprit des œuvres d’Yves Robert, à savoir un film léger qui fait constamment sourire. Ainsi, même si le long métrage est coscénarisé par Francis Veber comme le prouve l’utilisation des noms de François Perrin (qui, bien qu’incarné par Pierre Richard, n’est pas si idiot que cela puisqu’il est même un brillant violoniste) et de M. Milan (qui sera porté l’année suivante dans L’Emmerdeur), le film n’est pas un enchaînement de gags hilarants : c’est plutôt une histoire d’espionnage parodique dont le charme est surtout dû à l’ambiance générale et à un sacré casting (Pierre Richard, Bernard Blier, Jean Rochefort, Mireille Darc, Jean Carmet…). Cependant, le film contient de nombreuses séquences mémorables comme celle des cheveux de Christine coincés dans la fermeture-éclair de François ou celles des différentes "hallucinations" de Maurice. De même, pour ce qui est de la sensualité, le film est également resté dans les mémoires françaises avec la robe portée par Mireille Darc laissant voir son dos dénudé. Mais ce qui a réellement fait passer le film à la postérité est l’excellente musique de Vladimir Cosma et surtout son thème principal (illustré notamment par un générique original signé Gérard Majax). Le film d’Yves Robert (qui apparaît également dans le rôle du chef d’orchestre) est donc une comédie agréable à suivre mais toutefois inférieure à ce que sa renommée pourrait laisser espérer.