Nous nous retrouvons dans un film compliqué, avec un homme assez simple qui est choisi au hasard pour régler des comptes entre des brigands. Son copain, Mauriceest le seul à voir les cadavres et devient fou car ceux-ci disparaîssent. Le chef des brigands engage une femme à draguer et à coucher avec l'homme choisi au hasard mais elle tombe vraiment amoureuse. "Le Grand Blond avec la Chaussure Noire", surnom de l'homme choisi au hasard, découvre la supercherie et part avec sa copine en vacances.
Un film culte et totalement divertissant ! Le pitch est excellent et donne une bonne basd au film. On y observe de bons moments de comédie et aussi un peu de suspens ! Un joli mélange
Une comédie culte des années 70, l'age d'or de ce genre, co-écrit et dialogues par Francis Veber et réalisé par Yves Robert !! Ce film a plus la patte de Francis Veber qui se fera sa marque de fabrique avec des personnages issus de son imagination qui le suivront comme François Perrin, maladroit et naif , mais aussi Milan, l'homme serieux qui subit joué par exemple par Lino Ventura dans "L'emmerdeur" d'Edouard Molinaro. "Le grand blond avec une chaussure noire" commence comme un film d'espionnage avec un homme suivi et mis sur écoute par des espions qui s'invente un bouquet-émissaire dans un aéroport devant trouver un homme qui a une particularité singulière comme le titre l'indique. Le type va ètre suivi par les espions et les gaffes vont commencer avec des situations cocasses et hilarantes. Film que je connais un peu par coeur avec de multiples diffusions à la télé dans les années 80/90, je me marre toujours autant , c'est drole, bien travaillé, bien synchronisé, c'est mieux que la comédie Française d'aujourd'hui. Pierre Richard est à son meilleur niveau talent entouré d'excellents comédiens comme Bernard Blier, Mireille Darc, Jean Carmet et ses hallucinations ou Jean Rochefort. Un classique de la comédie Française.
Avec cette comédie d'espionnage sans prétentions, Pierre Richard rend populaire son personnage de distrait qu'il avait déjà créé précédemment et endosse le costume de François Perrin, rôle qui lui collera à la peau dans d'autres films. Ici, le pauvre Perrin sert de piège à con pour que le chef des services secrets soit débarrassé de son adjoint Milan qu'il soupçonne de vouloir le doubler. Parce qu'il portait une chaussure marron et une chaussure noire, Perrin se retrouve, sans s'en rendre compte, au milieu d'un règlement de comptes. Dès lors, il arrive forcément de nombreuses péripéties, plus ou moins réussies mais menées avec rythme par une pléiade d'acteurs en forme. Quelques moments d'anthologie resteront : la scène de concert où Perrin se laisse distraire et celle où il découvre le dos de la robe de Mireille Darc. C'est inégal mais ça se voit encore avec plaisir.
Classique indémodable de la comédie française des années 70,"Le grand blond avec une chaussure noire" est une désopilante parodie des films d'espionnage,un peu dans la veine des "Barbouzes" ou des "Tontons Flingueurs",révélant au grand jour le talent comique de Pierre Richard,dans son personnage bientôt habituel d'homme lambda lunaire,gaffeur et romantique.Le rire naît des quiproquos entre ce naïf au grand coeur,et les services secrets de contre-espionnage qui le suivent à la trace,le prenant pour un agent surentraîné!Mariage très harmonieux de 2 genres,grâce au scénario astucieux de Francis Veber,qui ne tardera pas à confirmer son don pour l'écriture ciselée dans la comédie.Yves Robert convie sa bande de potes,qui s'amusent tous dans le pince sans rire,tels Jean Rochefort,Bernard Blier ou Jean Carmet énorme en beauf en survet cocu et qui pense halluciner!N'oublions pas l'incroyable beauté de Mireille Darc,et son inoubliable robe longue noire,au dos nu échancrée jusqu'aux fesses!Les gags au millimètres s'enchaînent,de même que les situations vaudevillesques.Thème musical archi-culte de Vladimir Cosma.Un plaisir de le revoir de temps à autre.
Une comédie qui est bien restée "dans son jus" et dont les gags sont typiques du cinéma français de cette époque : c'est gentil, bon-enfant, légèrement dans la lune et au grand jamais graveleux ! Cela laisse au moins les enfants voir le film en même temps que leurs parents qui connaissent très certainement déjà Le Grand Blond à la chaussure noire. L'histoire de François Perrin (et non Pignon, la confusion est courante) le grand dadais qui trompe son meilleur ami Henry avec sa femme Paulette mais est pris pour un homme plus ou moins mafieux par un Bernard Blier rêvant de liquider Jean Rochefort... Une bonne idée ! Beaucoup de rebondissements, mais j'avoue ne pas avoir ri une seule fois, à la limite souri grâce à l'ami Henry qui oscille entre les hallucinations et sa situation de mari trompé ! Les gags sont assez datés et trop "gentillets" pour moi (la cornemuse qui bouge toute seule à l'approche de François... Assez cartoonesque voire enfantin...). Pas hilarant mais plaisant à regarder, daté mais devenu culte ne serait-ce que par sa musique de Vladimir Cosma très inspiré sur l'instant !
Un exemple de film quasiment culte pourtant comédie légère au début, satire des films d'espionnage, le genre de film que l'on adore presque honteusement tant il est loin des références cinématographiques, des exigences intellectuelles de certains, et très évidemment populaire. Un film vu et revu mille fois mais toujours avec la même délectation, le même rire sur les mêmes scènes, répliques cultes, situations. Du Yves Robert mais aussi et surtout du Lautner aux dialogues et un film qui a gagné ses lettres de noblesse sur le tard, un peu comme les tontons flingueurs à un niveau encore supérieur. La révélation, le film référence de Pierre Richard dans son rôle de distrait, original, maladroit, qui fait qu'il a été l'acteur bankable sur une bonne dizaine d'années. On peut ajouter aussi la bo inoubliable de Vladimir Cosma avec ce thème à la flûte de pan. Un premier rôle formidable et des seconds rôles exceptionnels aussi, Carmet, Rochefort, Blier et Mireille Darc à jamais moulée dans sa robe hyper sexy au dos nu interminable très osé. On peut presque rajouter une foultitude de 3 ème rôles si ce terme là existe eux aussi indispensables, avec une vraie profondeur et identité et surtout formant un délicieux cocktail final qui fait de ce grand blond une des meilleures et plus drôles comédie française de tous les temps.
Il ne se passe pas grand chose dans ce film qui brille surtout par un étrange manque d'humour et d'écriture. Le scénario est tellement simpliste que ce sont même deux costumes qui retiennent le plus l'attention, l’improbable survêtement bleu avec bonnet à pompon de Jean Carmet, et surtout la célèbre robe décolletée du dos et ultrasexy de Mireille Darc.
Un jeu de dupes s'instaure où un grand blond avec une chaussure noire va s'avérer être un "piège à cons" - Veber renvoie ainsi au futur "Diner de Cons" (1998)... Le scénario oscille entre les coulisses et le jeu des secrets entre les deux pontes d'un service d'espionnage puis le quotidien du violoniste pantin à son insu des espions et d'une espionne en particulier. Cette espionne est évidemment incarnée par Mireille Darc dont la robe décolletée sur le haut des fesses (Pierre Richard n'avait pas été prévenu afin de garder l'effet de surprise !) est définitivement devenue culte. L'osmose entre les acteurs et des personnages bien croqués offrent une comédie d'espionnage drôle qui a connu un succès international. Site : Selenie
Je l avais vu gamin et dans mon souvenir cette comédie d espionnage m avait fait plus rire qu en le revoyant. Mais le film a tout de même une ambiance ultra sympa qui le rend super agréable à regarder. Pierre Richard joue une une nouvelle fois le gaffeur en série et autour de lui on a un duel entre Jean Rochefort plus dandy que jamais et Bernard Blier qui s enfonce de plus en plus dans le piège qu on lui a tendu. Dans les seconds rôles on trouve Mireille Darc et son inoubliable robe ainsi que Jean Carmet irrésistible en mari trompé. Plus un thème musical qui a traversé le temps le grand blond reste un super moment à passer.
Ce film est une perle. Qu’est-ce que j’ai pu rigoler en le regardant. C’est une pure comédie. Pas de fioriture, on est là pour se marrer. L’histoire est totalement absurde mais tellement drôle dans sa mise en œuvre. Ce pseudo guerre entre responsables du renseignement est terriblement bien trouvé. Tout va tourner autour du personnage joué par Pierre Richard. Cet acteur est vraiment fantastique. Il a le petit truc qui fait la différence. Ce n’est pas pour rien qu’il deviendra une des figures de « François Perrin », un personnage devenu mythique dans la comédie française. Il est un gaffeur qui déjoue tous les plans qui sont mis sur lui, sans même le savoir ! ça part dans tous les sens pour notre plus grand plaisir. Il est tellement à la ramasse, que ceux qui le surveillent pensent que c’est fait exprès. J’adore ! Pour ne rien gâcher au plaisir, les rôles secondaires seront fantastiques. Je peux citer par exemple Jean Rochefort et Bernard Blier.
Bien qu'il ait quelque peu vieilli - normal ! - je suis toujours partante pour regarder ce film à la télé lorsqu'il est rediffusé. Pour son humour, son comique de situation et sa fine équipe de comiques : Pierre Richard, lunaire, Jean Rochefort, snob, Bertrand Blier méfiant et bougon, Mireille Darc sexy et drôle, Jean Carmet, cocu magnifique !
Film madeleine de Proust... Mécanique du film d'espionnage détournée au profit d'une comédie familiale aux gags usés mais plaisants... Enfin, film qui permet de distinguer le gentleman du gros lourd... Les plus téméraires parleront d'une robe cultisme sans parvenir à vous faire oublier qu'ils bavent sur leur clavier au moment de décrire ce qui mérite bien d'être vu... Et ce n'est sans doute pas à cause de la qualité du tissu...
Jean Carmet excellent en ami bas du front. Pierre Richard qui commence à incarner le personnage qui fera de François Pinon la référence de la comédie française...