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chrischambers86
13 804 abonnés
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4,0
Publiée le 19 juin 2015
Sorti en 1984, "Karatè Kid" est un film culte qui a marquè toute une gènèration et que tout le monde se souvient aujourd'hui! C'est le rèalisateur de "Rocky", John G. Avildsen, qui en assure la mise en scène! L'intrigue est la simplicitè même où un ado, devenu le souffre-douleur de ses congènères, apprend la sagesse des arts-martiaux auprès d'un vieux japonais (la technique de la cigogne sur la plage est devenu mythique). Captant la camèra en grand professionnel, Ralph Macchio est excellent dans le rôle de Daniel LaRusso et son bandeau est restè dans les mèmoires! Ces gestes, ce visage poupin, sa dèmarche, cet air innocent, ce sont les siens, ils semblent nous dire, contentez vous de regarder! Bonheur d'un vrai rôle, solide et fragile, qu'il traverse avec insouciance! De tous les rôles interprètès par Pat Morita, celui du sage Miyagi est sans doute celui qui reflète le mieux sa personnalitè! Homme orchestre de la trilogie "Karatè Kid", il est à jamais ce gentil maître de karatè qui tente d'attraper des mouches avec des baguettes! Dès qu'il fait des mètaphores (« Apprends à marcher avant de voler. »), LaRusso le regarde genre : « De quoi diable parle t-il ? » Main droite, lustrer. Main gauche, frotter. Respire par le nez et souffle par la bouche [...] Le reste de la distribution inclue la charmante Elisabeth Shue et Martin Kove, acteur de seconde zone habituè aux rôles de mèchants! Musicalement, Bill Conti ètait le compositeur rêvè pour ce film initiatique! Plus un tube formidable des Bananarama - « Cruel Summer » que l'on entend au premier quart d'heure passè! Un essentiel des 80's! Un bonheur de film! On en sort heureux et grandi...
« Karaté Kid » premier volet de la saga « Karaté Kid » . C'est l'histoire de Daniel Larusso ( Ralph Macchio ) un adolescent qui vient s'installer avec sa mère en Californie . Très vite Daniel devient le bouc émissaire de ses nouveaux camarades de classe . Un soir alors qu'il est violemment tabasser par ses camarades il est sauver de justesse par le vieux concierge de son immeuble nommer Miyagi ( Pat Morita ) . Miyagi décide de lui enseigner le karaté pour lui apprendre à se défendre . Il décide de l'inscrire à un tournoi de karaté qui aura lieu dans plusieurs mois et ou ses camarades de classes participeront également . Daniel espère remporter le tournoi pour regagner son honneur et gagner le respect de ses camarades ... « Karaté Kid » est un film culte des années 80 signé par le réalisateur Jonh G. Avildsen qui avait réalisé le cultissime « Rocky » avec Sylverster Stalonne rien que ça . Ce film est le premier volet de la sympathique trilogie « Karaté Kid » qui compte trois films sortit entre 1984 et 1989 ( « Karaté Kid , le moment de vérité » , « Karaté Kid , le moment de vérité 2 » et « Karaté Kid 3 » ) . Sans oublier un spin off centrer sur un autre personnage sortit en 1994 ( « Miss Karaté Kid » ) . Ce film a littéralement bercer mon enfance . J'ai du le voir des dizaines de fois quand j'étais gosse . J'ai une énorme nostalgie quand je revoit ce film qui me rappelle l' enfance . Une très belle histoire sur un adolescent devenu le bouc émissaire de ses camarades qui va tenter de reprendre confiance en lui en apprenant le karaté avec un vieux japonais . il va tenter de gagner le respect de ses camarades en tentant de remporter un tournoi de karaté et sa va nous tenir en haleine jusqu’à la fin . Une belle amitié va se nouer entre ce vieux japonais et cette adolescent . Le casting est génial avec Ralph Macchio parfait dans le rôle de ce jeune adolescent martyriser par une bande de voyous mais qui va regagner confiance en lui en apprenant le karaté . Il forme un excellent duo avec Pat Morita dans le rôle du vieux maître de karaté Miyagi . Pat Norita est excellent et hilarant dans le rôle de ce vieux maître de karaté qui va enseigner le karaté à ce jeune garçon . Sa façon d'enseigner le karaté est originale et assez drôle . Un film qui mélange habilement scènes dramatiques , scènes drôles , scènes cultes ( Daniel qui fait la technique de la cigogne ) , répliques cultes hilarantes ( banzaiii !!! ) , scènes de combats et suspense ( le tournoi finale ) . La musique de Bill Conti est géniale et colle à merveille à l'ambiance du film . Dire qu'ils ont oser faire un remake pourrit de ce film en 2010 avec Jackie Chan et le fils de Will Smith . honteux .
Un très bon film populaire, sincère, drole parfois et émouvant. Les personnages sont attachants et on s'intéresse de très près a l'évolution du héros. Interprétation correcte. Bien.
Film culte des années 1980, Karaté Kid raconte la découverte des premiers amours et de la recherche de soi d'un jeune ado adepte du karaté. Il tombe alors sur un Yoda chinois qui va l'entrainer pour se confronter aux castagneurs du lycée. Il lui apprend la technique de la cigogne. Elisabeth Shue est craquante dans un de ses premiers rôles. Un bon souvenir qui n'a pas trop vieilli en le revoyant.
Aujourd’hui ce film a bien mal vieilli et même s’il garde quelques aspects sympathiques, il n’en reste pas moins qu’une de ces nombreuses comédies basées sur un adolescent incompris. En somme, le seul intérêt reposera sur la nostalgie de certains à vouloir revoir ce bon vieux Pat Morita donner ses leçons de karaté et sa philosophie à deux sous. Sinon le reste est quand même assez simpliste et mou du genou. Mais bon, malgré tout, je n’arrive pas à me montrer sévère car au fond, dans le registre « spectacle qui ne prend pas la tête et qui détend », ce "Karaté Kid" sait se défendre aisément… avec une main dans le dos !
Encore une fois un excellent souvenir d'enfance avec ce voyage initiatique d'un jeune garçon découvrant les arts martiaux au côté de son vieux maitre incarné par le mythique Pat Morita qui m'a donné l'envie d'avoir un vieux Japonais comme voisin. D'ailleurs j'ai déjà eu un asiatique comme voisin et mon rêve était presque accompli... mais il était jeune, chinois, n'y connaissais rien en Karaté, en revanche il cuisinait super bien et était fort en informatique donc sa vie n'était pas foutue.
Je le regarde au moins une fois par an et j'adore toujours autant . La relation entre Ralph Macchio et Pat Morita est superbement mise en scène . Des musiques de bill conti superbes. Les seconds rôles sont vraiment pas mal non plus . Le seul bémol c'est qu'au niveau des combats c'est pas très folichon il faut le reconnaitre mais la prestation de nos 2 héros balaye ça très facilement . CULTE pour moi
Soyons franc, Karaté Kid (1984) est dénué d’un quelconque intérêt (et pour cause, il s'avère prévisible avant même d'avoir commencé à le visionner). Une histoire grotesque où un adolescent qui vient de quitter son Texas natal pour la Californie doit faire face à une bande de jeunes qui le persécutent. Il trouve alors secours auprès d’un vieux japonais (stéréotypé au maximum, entre sa culture du karatéka et les Bonsaïs), il lui apprendra à se défendre afin de mettre un terme à cette violence. Sans aucune surprise, on assiste ici à un récit initiatique répétitif et lassant de 120 minutes, durant lequel, le jeune homme (novice en la matière) deviendra un très bon karatéka et parviendra à battre ceux qui l’auront persécuté. Signalons enfin qu’il existe un remake de ce premier volet, sorti sur grand écran en 2010 et mettant en scène Jackie Chan & Jaden Smith (fils de Will Smith).
"Karaté Kid"(1984) en dépit de son avalanche de clichés sur les ethnies,les arts martiaux et la jeunesse et de son parasitage par les bons sentiments,ne peut que parler à l'enfant ayant grandi dans les années 80. Ce qui est mon cas. Un gringalet d'origine italienne débarque avec sa mère en Californie. Persécuté par ses camarades de lycée(des blousons noirs en moto),il relevera la tête au contact d'une fille gâtée(Elizabeth Shue,craquante),et surtout auprès d'un paisible Japonais,gardien d'immeuble et maître du karaté entre autres. Le film vaut surtout pour cette initiation aux valeurs de la vie,où combattre est une manière de se défendre et non d'attaquer,où l'apprentissage commençe par les travaux manuels,où il faut prendre en compte la sagesse et l'expérience des anciens. C'est aussi une relation père/fils détournée qui se noue entre Danny Larusso et . Ce qui est cocasse,c'est que ni Ralph Macchio,ni Pat Morita ne savaient se battre!! Le film est bien ancré dans son époque,mais défend la positivité,l'ouverture d'esprit et se termine à la manière d'un Rocky pour enfants. Toujours sympa.
Un film dont je regarder 1000 fois quand j'etais gamin et qui me lassait jamais le film est bon mais la fin c'est le meilleur avec le tournoi inoubliable.
Une merveille de film à la con, où vous vous sentirez ensevelis sous le pop-corn graisseux (sucré ou salé?) sans faire chauffer la moindre casserole ni le four, et qui, sans ambages, vous révélera l'idée que se font les occidentaux (et particulièrement les ricains) de l'utilité réelle des arts martiaux: 1) Sauter la blonde aux gros seins dont le QI de 12 ne lui permet pas d'apprécier autre chose que les muscles. 2) En foutre plein la gueule à la bande de lourds qui ont pris la mauvaise habitude de bouffer dans votre gamelle à la cantine. Un bonze aussi japonais que moi je suis inuit vient attraper des mouches avec des baguettes et couper des bonzais (mais où sont-ils allé chercher toutes ces brillantes idées à echos culturels?). En l'espace de deux mois, notre tétard efféminé devient plus dangereux qu'un Alien s'étant réveillé du pied gauche à force de lustrage de bagnoles de collections et de cirage de parquet pourtant en bon état déjà. Et surtout, le must, c'est la révélation du coup qui tue, celui de la "mouette". Alors n'ayez pas peur et lors de votre prochaine baston, tentez la "mouette" et gageons que si votre adversaire ne s'écroule pas au sol de douleur, au moins s'écroulera-t-il de rire.
Ce film de 1984 ne mérite en rien sa réputation, il a pu faire effet à sa sortie pour des raisons de mode du moment ( réhabilitation du karaté, prisonniers japonais des américains, déracinement, famille monoparentale, guerre du Vietnam, utilisation des ados, etc...). A le revoir, rien ne va, à commencer par les acteurs qui jouent tous plus mal les uns que les autres (Macchio est trop âgé et trop peu doué), le vieux professeur d’art martiaux n’a aucune crédibilité et son combat initial est affligeant, ses années passées (gestes trop lents) et son inexpérience du Karaté ne pardonnant pas. La maman du héros n’est pas crédible dans un rôle certes difficile, elle ne dégage aucun amour maternel. Rien n’est évoqué sur l’ école et le découpage du temps qui passe. Quant aux jeunes, ils sont trop grands pour faire naître en nous des sentiments d’attachement ou de rejets, ils sonnent faux, de même que le professeur qui est lui grotesque. Je ne vois pas ce qu’il y a à sauver en dehors de quelques séquences isolées assez jolies à regarder. Le combat final qui arrive bien trop vite est si disproportionné que l’on l’impression que l’arbitre est payé pour faire gagner Daniel. Voila ce qu’il se produit lorsque qu'on essaye de filmer avec réalisme une histoire impossible, c’est un ratage cinématographique. Ce récit de fiction éternelle dont ‘’Scaramouche’’ est l’illustration la plus parfaite ne peut se concevoir que dans un cadre romantique réalisé par un excellent metteur en scène sachant nous faire rêver. Avildsen n’aura fait qu’un bon film: le premier Rocky.