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Votre avis sur Shaolin Soccer ?
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Une comédie loufoque et énergique qui allie kung-fu et football à la sauce Olive et Tom, mais qui fatigue assez vite. 2,25
Shaolin Soccer est tout bonnement un ovni cinématographique qui ne devrait pas exister dans un monde rationnel. À quelle heure on se dit que c'est une bonne idée de mélanger le Kung Fu et football. Déjà que le cinéma et le football ne font pas bon ménage en dehors de l'animation japonaise tel que Captain Tsubasa ou Inazuma Eleven.
Pourtant, Shaolin Soccer est une très belle réussite, pas forcément à tous les niveaux, car l'histoire peine quand même à démarrer. On peine à croire au méchant qui est juste là pour exister et qui manque de caractère, et le réalisateur hongkongais, n'est pas forcément la personne la plus subtile au monde. L'aspect comédie très particulier chez Chow parvient vite lassant, le ridicule qu'incarne le coach jusqu'aux joueurs n'a rien à nous attendrir.
Le film fonctionne beaucoup mieux quand le foot arrive. C'est parce que Chow ne se cache pas et fait du Captain Tsubasa que cela fonctionne. Le dernier tiers du long-métrage composé uniquement de foot nous offre ce qu'on attendait de ce film. Des actions délirantes, complètement décalé qui vont servir à la réalisation du réalisateur conscient d'être dans une parodie d'un animé japonais. Franchement, on s'amuse à être surpris d'être à fond dans les actions qui parviennent même à faire rire les spectateurices.
C'est d'ailleurs dans ces matchs, que la narration fonctionne, comme cette finale qui se résumerait à un combat entre les méchants et les gentils. Bien que ce soit écrit avec des sabots d'un cheval. Il y a un aspect dramatique qui fonctionne. Chow en fait un véritable climax. Bien évidemment apprécier le film, c'est accepter l'humour et le cinéma complètement décalé d'un cinéaste de cette trempe.
Bien qu'il y a un plaisir à voir et à revoir le film. Il y a une déception à la place qu'occupe le foot dans le film. Sur ces 1h30, l'exposition, la formation de l'équipe est bien trop longue. Alors que sa force réside dans comment, le réalisateur va filmer ses matchs, qui auraient pu offrir un aspect décadent qui serait à l'image de son auteur.
Pourtant, Shaolin Soccer est une très belle réussite, pas forcément à tous les niveaux, car l'histoire peine quand même à démarrer. On peine à croire au méchant qui est juste là pour exister et qui manque de caractère, et le réalisateur hongkongais, n'est pas forcément la personne la plus subtile au monde. L'aspect comédie très particulier chez Chow parvient vite lassant, le ridicule qu'incarne le coach jusqu'aux joueurs n'a rien à nous attendrir.
Le film fonctionne beaucoup mieux quand le foot arrive. C'est parce que Chow ne se cache pas et fait du Captain Tsubasa que cela fonctionne. Le dernier tiers du long-métrage composé uniquement de foot nous offre ce qu'on attendait de ce film. Des actions délirantes, complètement décalé qui vont servir à la réalisation du réalisateur conscient d'être dans une parodie d'un animé japonais. Franchement, on s'amuse à être surpris d'être à fond dans les actions qui parviennent même à faire rire les spectateurices.
C'est d'ailleurs dans ces matchs, que la narration fonctionne, comme cette finale qui se résumerait à un combat entre les méchants et les gentils. Bien que ce soit écrit avec des sabots d'un cheval. Il y a un aspect dramatique qui fonctionne. Chow en fait un véritable climax. Bien évidemment apprécier le film, c'est accepter l'humour et le cinéma complètement décalé d'un cinéaste de cette trempe.
Bien qu'il y a un plaisir à voir et à revoir le film. Il y a une déception à la place qu'occupe le foot dans le film. Sur ces 1h30, l'exposition, la formation de l'équipe est bien trop longue. Alors que sa force réside dans comment, le réalisateur va filmer ses matchs, qui auraient pu offrir un aspect décadent qui serait à l'image de son auteur.
Un ancienne gloire du foot construit une équipe hétéroclite autour d'un as du kung-fu...à la frappe de balle phénoménale.
C'est un sujet très commun finalement, où on voit une médiocre poignée de sportifs du dimanche atteindre, grâce à des pouvoirs extraordinaires, une quelconque finale de coupe. Et l'improbable victoire est d'autant plus belle qu'elle se fait aux dépens d'un type exécrable. On est vraiment dans le tout-venant de la comédie sportive et le scénario est ennuyeux, en dépit du ton loufoque introduit par les personnages et les inventions visuelles de la réalisation. L'humour est généralement puéril, à moins d'y voir un second degré à la coréenne.
La curiosité que suscite le film, notamment dans la seconde partie, ce sont ces hallucinantes parties de foot, totalement irréalistes (à l'image de ces inénarrables dessins animés japonais inventant une dramaturgie du jeu) dans lesquelles les effets spéciaux déterminent des phases de jeu spectaculaires et des chorégraphies surréalistes...qui n'ont plus qu'un lointain rapport avec le foot.
On peut s'en amuser mais de là à en faire un film...
C'est un sujet très commun finalement, où on voit une médiocre poignée de sportifs du dimanche atteindre, grâce à des pouvoirs extraordinaires, une quelconque finale de coupe. Et l'improbable victoire est d'autant plus belle qu'elle se fait aux dépens d'un type exécrable. On est vraiment dans le tout-venant de la comédie sportive et le scénario est ennuyeux, en dépit du ton loufoque introduit par les personnages et les inventions visuelles de la réalisation. L'humour est généralement puéril, à moins d'y voir un second degré à la coréenne.
La curiosité que suscite le film, notamment dans la seconde partie, ce sont ces hallucinantes parties de foot, totalement irréalistes (à l'image de ces inénarrables dessins animés japonais inventant une dramaturgie du jeu) dans lesquelles les effets spéciaux déterminent des phases de jeu spectaculaires et des chorégraphies surréalistes...qui n'ont plus qu'un lointain rapport avec le foot.
On peut s'en amuser mais de là à en faire un film...
« Shaolin Soccer » est une comédie déjantée qui allie avec brio le kung-fu et le football, offrant un spectacle visuel et humoristique unique. Les effets spéciaux, bien que parfois excessifs, apportent une touche « cartoonesque » qui fait mouche, et les références culturelles enrichissent l'humour burlesque. Malgré un scénario léger, le film réussit à maintenir un rythme effréné grâce à des moments de bravoure spectaculaires et des scènes comiques bien orchestrées. En tant que fan de comédies « originales », j'ai apprécié cette alliance improbable. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
bsalvert
Que dire ce film à part que c'est un ovni ou la mise en images d'un manga avec les mêmes codes et l'absence de limite.
Shaolin Soccer est le film que j'ai le plus regarder en boucle au cours de mon enfance. Mais maintenant, après l'avoir regardé avec un regard d'adulte, le film est vraiment nul, mais je l'aime toujours autant. Je ne me souvenais pas que la première moitié du film etait un supplice à regarder, c'est super long en plus. Mais le film devient génial quand ils commencent à jouer aux foot. Je trouve personnellement cette partie du film vraiment stylé et drôle dans sa stupidité. Le thème principal du film est incroyable et culte et participe grandement à l'ambiance du film. Au final, le film est horrible au début, mais devient incroyable quand le coup d'envoi est lancé.
Shaolin Soccer est un film unique dans l'univers de la comédie. Reprenant certains des codes des films d'art martiaux hong-kongais, le film parvient à les détourner pour un résultat aussi drôle qu'épique. Bien que l'histoire soit un peu simpliste, et que certains effets spéciaux ont mal vieilli, Shaolin Soccer reste aujourd'hui une excellente comédie et un divertissement qui parlera aux petits et aux grands.
Un film Parfait, un vrai chef d'oeuvre d'humour, il mériterait l'Oscar des effets spéciaux ( ou pas ).
C'est moi qui ait mal vieilli ou le film?
Pas revu depuis 20 ans, le revoir me fait comprendre que l'humour nippon ce n'est VRAIMENT pas pour moi.
Pas revu depuis 20 ans, le revoir me fait comprendre que l'humour nippon ce n'est VRAIMENT pas pour moi.
La gue*le du film! Qu'est ce qu'on a pu rire. Nous l'avons regardé en version longue, le début peine a démarré, mais plus le film avance, plus il devient drole. Parodique, cliché, ne se prend pas au sérieux, voila qui pourrait le décrire . Les effets sont pourris a certain moment, il y a une désynchronisation labiale a un autre, pour s'apercevoir que cela est tout à fait voulu par le réalisateur. Un film complétement déjanté et la scène finale est a mourir de rire. Pour passer un bon moment en famille, prenez le au second degrès.
"Shaolin Soccer", comédie d'arts martiaux hong-kongaise co-écrite et réalisée par Stephen Chow, sortie en 2001.
Première véritable réalisation (sans co-réalisation) de Stephen Chow qui a été diffusée à l'international.
Nous retrouvons le style déjanté du réalisateur, s'inscrivant dans un style d'humour typiquement hongkongais nommé "mo lei tau" qui fera son succès à l'étranger, notamment dans son film suivant "Crazy Kung-Fu" en 2004.
Spécialiste du film de kung-fu décalé Stephen Chow s'inspire du manga " Inspiré du manga "Captain Tsubasa" connu en France sous le nom d'Olive et Tom, en mélangeant football et arts martiaux.
Quand d'anciens moines shaolin se reconvertissent en équipe de foot, les matchs prennent une tonalité très "asiatique".
Avec Stephen Chow, Ng Man-tat, Zhao Wei, Patrick Tse et Danny Chan Kwok Kwan, qui une fois de plus rend hommage à Bruce Lee, dont il incarnera le rôle dans 'La Légende de Bruce Lee" en 2008 et "Ip Man 3 et 4", en 2015 et 2019.
Un film bien réalisé, aux effets qui ont un peu vieillit depuis 20 ans. Humour, action, romance, un bon divertissement.
Première véritable réalisation (sans co-réalisation) de Stephen Chow qui a été diffusée à l'international.
Nous retrouvons le style déjanté du réalisateur, s'inscrivant dans un style d'humour typiquement hongkongais nommé "mo lei tau" qui fera son succès à l'étranger, notamment dans son film suivant "Crazy Kung-Fu" en 2004.
Spécialiste du film de kung-fu décalé Stephen Chow s'inspire du manga " Inspiré du manga "Captain Tsubasa" connu en France sous le nom d'Olive et Tom, en mélangeant football et arts martiaux.
Quand d'anciens moines shaolin se reconvertissent en équipe de foot, les matchs prennent une tonalité très "asiatique".
Avec Stephen Chow, Ng Man-tat, Zhao Wei, Patrick Tse et Danny Chan Kwok Kwan, qui une fois de plus rend hommage à Bruce Lee, dont il incarnera le rôle dans 'La Légende de Bruce Lee" en 2008 et "Ip Man 3 et 4", en 2015 et 2019.
Un film bien réalisé, aux effets qui ont un peu vieillit depuis 20 ans. Humour, action, romance, un bon divertissement.
Artriste
Comédie d'action, réalisée par Stephen Chow, Shaolin Soccer est un long-métrage mêlant les disciplines, pour un résultat atypique de bonne facture. L'histoire nous fait suivre Fung, un ancien joueur de football professionnel passé de statut de légende à celui de star déchue, qui va faire la connaissance de Sing, un moine adepte d'arts martiaux. Découvrant que l'art de Shaolin peut être une arme fatale pour jouer au football, les deux hommes décident alors de monter une équipe professionnelle avec d'autres moines Shaolin. Ce scénario nous embarque pendant environ une heure et demie, dans une intrigue globalement plaisante, même si elle comporte quelques faiblesses, à commencer par son récit qui prend du temps avant d'atteindre le cœur du sujet, à savoir les matchs de foot. Ceux-ci ne ressemblent d'ailleurs pas vraiment à ce sport, car la plupart du temps, les joueurs se contentent d'enchaîner des tirs face aux buts, que les gardiens tentent bien que mal d'arrêter. La puissance des frappes est dévastatrice, faisant dans la surenchère à outrance, au point de lasser à la longue. Le ton se veut léger et drôle, parvenant à arracher quelques sourires mais pas autant qu'escompté. Les équipes sont elles composées de personnages agréables, interprétés par une distribution qui l'est tout autant entre Stephen Chow lui-même, Zhao Wei, Ng Man-tat, Patrick Tse, Wong Yut-fei, Danny Chan Kwok Kwan, Lam Chi-chung, Lam Chi-sing, Hui Li, Tsui Kai-man ou encore Tsui Mei Na. On ressent une bonne alchimie entre tous ces rôles, en atteste des relations plaisantes, soutenues par des dialogues très frontaux. Sur la forme, la réalisation du metteur en scène hongkongais jouit d'une grande liberté d'action et s'avère qualitative. Elle est couplée à d'innombrables effets spéciaux exagérés, plus ou moins visibles et réussis. Ces images sont accompagnées pas une b.o. aux compositions convenables mais loin d'être mémorables, restant dans le ton du propos. Cette compétition farfelue s'achève sur une fin sans surprise mais sympathique, venant mettre un terme à Shaolin Soccer, qui, en conclusion, est un divertissement honnête mais un peu décevant par rapport à sa promesse initiale.
Très grosse surprise, je m'attendais à un sh*tpost mais très très drôle, je m'attendais pas du tout à ça (merci Supercon pour m'avoir fait découvrir ce film)
Nicothrash
Débutant comme une parodie idiote de film de kung-fu, Shaolin Soccer dévoile ses enjeux au compte goutte et seuls les étranges effets spéciaux du début donnent envie d'en voir un peu plus. C'est simplement lorsque l'on commence à parler football que le délire prend forme. Ça part dans tous les sens, les effets presque grotesque sont à mourir de rire et, embarqués dans un Olive et Tom sauce piquante, on est presque obligé d'entrer dans cette valse de l'absurde totalement déjantée et hilarante. Stephen Chow est un réalisateur talentueux qui sait ne pas se prendre trop au sérieux et il n'est vraiment pas rare de tomber sur des petites pépites dans sa filmographie. Shaolin Soccer, incontestablement, en est une et pour peu qu'on ne se prenne pas la tête à propos d'un quelconque réalisme, le moment est fort agréable, dans la lignée de Crazy Kung-fu. À voir et revoir.
Un film qui va surtout faire rire les fans de football et de film de kung-fu mais qui, malgré tout, reste très oubliable... Certaines idées sont bonnes mais le reste est surtout basé sur le modèle banal d'un film de sport avec quelques effets spéciaux en plus.
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