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    Un Flic
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    110 critiques spectateurs

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    NomdeZeus
    NomdeZeus

    93 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 janvier 2015
    L’ultime film de Melville est très loin d’être son meilleur. Le réalisateur semble fatigué tout comme son interprète principal qui livre une performance monolithique peu marquante. Rajoutez à cela une intrigue peu passionnante et une Catherine Deneuve honteusement inexploitée et vous obtenez un des films les moins aboutis de la carrière d’un immense réalisateur.
    this is my movies
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    714 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2014
    Que dire à propos de ce film sinon que j'ai eu envie de la voir en accéléré assez rapidement (ce qui n'était pas possible vu que je le voyais à la télé). Au départ, c'est du très, très haut niveau avec ce braquage de banque au découpage nerveux et d'une intensité folle. Mais après, Melville s'enferme dans des histoires qu'il a déjà raconté 10 fois mais de manière plus créative et plus prenante. Schéma basique, dialogues qui ne servent à rien, mise en scène plate et puis c'est la scène du braquage dans le train où j'ai définitivement lâché l'affaire. C'est long, mais long. Melville détaille toutes les actions du perso là où une poignée de plans auraient suffis. Seulement voilà, en enlevant tout le gras du film, il reste à peine 1h de métrage tellement il ne raconte rien. Les acteurs s'ennuient et le spectateur baille, attendant un dénouement même pas surprenant. A. Delon en fait des caisses en policier ultra-charismatique et efficace (alors qu'il reste monolithique, presque un exploit) tandis que R. Crenna régale. Ça m'a paru duré 4h30 alors que le film fait 1h40 bref, c'est chiant, prétentieux et même pas original. D'autres films sur
    Santu2b
    Santu2b

    255 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2010
    Dernière œuvre de Jean Pierre Melville, "Un flic" fut réalisé en 1972, constituant sa troisième et dernière collaboration avec Alain Delon. Collaboration on ne peut plus anecdotique car "Un flic n'est ni pls ni moins qu'un énorme ratage, et pas seulement pour des raisons de rythme comme on pourrait le penser. En effet "Le Cercle Rouge" ou "Le Samouraï" dégageaient une certaine profondeur ainsi qu'une réelle tension dramatique. Ici, il n'en est rien. Certes la lenteur fait partie intégrante de son style épuré mais cette fois absolument rien n'est à retenir, la photographie est particulièrement laide, l'histoire banale et inintéressante (comment a t-il cru pouvoir tirer un film d'une trame aussi simpliste ?). Quant aux acteurs ils semblent vivre le calvaire avec nous tant leurs prestations sont molles. Ce n'est pas ce rôle là de Delon que l'on retiendra chez le cinéaste. Le film de trop. On s'ennuie du début à la fin ce qui commence à devenir une constante chez Melville...
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 avril 2014
    Ce n’est pas pour faire « genre » comme diraient les jeunes ou « snob » mais « Un flic » est d’un ennui édifiant ! Je sais, je blasphème ! Dire du mal d’un Melville ! Et alors ? Je n’ai trouvé aucune grâce dans ce film : le scénario est banal, passe encore ; mais si des dialogues insipides s’en mêlent, le scénario plonge un peu plus vers le désintérêt ; et si la mise en scène est plate, alors le scénario atteint le degré zéro ; et les acteurs, à part leurs noms n’ont rien d’exceptionnels, et si certaines séquences sonnent faux, où s’étirent inutilement, alors le scénario banal laisse sa place à un scénario pourri ! Mention spéciale à Catherine Deneuve qui ne sert strictement à rien ! « Un flic » fait partie de ces films qui ont vieilli terriblement mal. Un film déjà vieillot à sa sortie, certainement. Et ridicule aujourd’hui... Il y a des films avant, bien avant 1971 (voir aussi après et en noir & blanc ) qui conservent selon moi bien plus de charme que ce déplaisant « Un flic »...
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    22 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2011
    Toute la (vaste) nullité de Melville s'exprime dans ce film minable, mal filmé, mal joué, au scénario nullissime et aux effets spéciaux particulièrement grotesques (l'hélicoptère en plastique sur le train JOUEF) ! On retrouve tous les tics de J.P.M. qui ont fait (un peu) illusion auparavant, les scènes qui montrent une action inutile, les scènes artificiellement silencieuses et la même scène de boite de nuit avec les danseuses invraisemblables que dans tous ses autres films ! Mieux vaut revoir "Le Doulos" avec son plan séquence fabuleux dans le commissariat !
    Y Leca
    Y Leca

    33 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Les films de Melville sont incroyablement surévalués, alors que la plupart sont grotesques et pas crédibles. Le pire étant celui-ci. Son obsession américaine lui fait choisir d'équiper ses gangsters opérant en France de limousines US et de chapeaux excluant toute discrétion, ils enterrent un butin en jetant les pelles sur place et en mettant des pavés au dessous du trou etc. Rajoutez à cela ses obsessions pour les night clubs, les homosexuels, les longueurs interminables de scènes mineures ( la toilette du gangster dans le train) et les prises de vue avec des fonds en carton pâte et vous passez votre visionnage à rire ! Ridicule on vous dit. Et ce cinéaste est encensé par la critique, notamment Télérama. Incompréhensible.
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mars 2014
    dur de noter un tel film
    bien sûre il faut se remettre dans les années 70, mais à cette époque des chefs d'oeuvre ont été créés.
    Ce film là était d'un ennui mortel, couleur grise, pas de dialogues, ou dialogues minimalistes, des scènes à s'endormir (dans le braquage de la banque au tout début, dans le train ...) tous les acteurs jouaient faux idem pour Delon, Deneuve et les autres ....
    un navet avec de bons acteurs en dessous de leur capacité
    Maqroll
    Maqroll

    164 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2011
    Melville se parodie pour son dernier film où manquent cruellement l’humour et l’inventivité de Bob le flambeur. Voilà un auteur qui aura réussi le tour de force de décliner du début à la fin de son œuvre sans rien perdre de son crédit auprès du grand public et des producteurs ! Alain Delon refait le coup du Samouraï (le bar, le piano) et se parodie lui aussi. Quant à Catherine Deneuve, elle est perdue dans cet océan de médiocrité où l’on cultive sa ressemblance diaphane avec celle de l’indic travesti…. Grandeur et décadence ! Le scénario est d’une pauvreté affligeante, l’action se traîne en longueur quand tout pourrait dit en un quart d’heure. Enfin, Melville a le pire des défauts pour un auteur : il se prend au sérieux !
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 décembre 2008
    Un film qui souffre de son âge, ce polar est devenue bien vieillot. Il faut dire que ce film n'a rien pour lui, son scénario est bien faiblard, des scènes sont exagérement longues comme la scène de déshabillage dans le train. De plus, c'est très gros, les bandits qui se servent d'un hélicoptère pour aller au dessus d'un train, c'est du grand n'importe quoi! Alain Delon a la classe c'est sûr mais ça ne suffit pas, Catherine Deneuve passe en plus en coup de vent dans ce film, on ne traite pas du tout son personnage. Déçu pour mon premier Melville
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    330 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2013
    On se demande ce que fout Alain Delon, seul sur l'affiche, et pourquoi Melville a choisit d'appeler son film "Un flic", tant le personnage incarné par Delon est mis en retrait. L'histoire se situant plutôt autour de l'orchestration d'un minutieux braquage par une bande de gangster. A part ça, on pardonne aisément les quelques incohérence du scénario tant l'ambiance qui se dégage du film est délicieuse. De longue scènes sans dialogue, ou chaque geste, chaque détail a son importance, des gangsters charismatiques en imper', et Alain Delon qui, dans sa classe Abitbolienne, joue nonchalamment un petit air de jazz du piano. "Un flic" est ce que l'on pourrait appeler : "un film qui a la classe !"
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 mars 2014
    le dernier melville est raté, les longues scènes où l'on voit des personnages sous 36 angles différents nous fatiguent énormément. le scénario tient sur un confettis. il y avait beaucoup mieux en 1970.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    (VIDEO) Tout est raté dans ce Flic. L'épure confine à la vacuité. Les scènes avec le train et l'hélicoptère miniatures sont carrément indignes. On est tout simplement dans un très mauvais film.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2015
    Des six films policiers que Jean-Pierre Melville a réalisé, « Un flic » devenu son œuvre testamentaire, le réalisateur mourant peu de temps après la sortie du film, est sans doute aujourd’hui le plus mal aimé, jugé comme le témoin de l’épuisement d’une démarche artistique à bout de souffle dont au final il révélerait une certaine vacuité que l’on sentait peut-être déjà poindre selon certains dès « Le cercle rouge » (1970). Ereinté par la critique, le bravache mais aussi très angoissé réalisateur au stetson et aux lunettes noires finira par rendre les armes, le nez dans son assiette un après-midi d’août 1973 terrassé par une attaque cérébrale alors qu’il dînait avec son ami Philippe Labro au restaurant de l’Hôtel PLM Saint-Jacques (Paris XIVème). Jean-Pierre Melville nourri par le travail de ses glorieux aînés américains comme Siodmak, Wilder, Ford ou Huston (il était obsédé par « La lettre du Kremlin ») affirmait vouloir « faire des films américains en France ». Pas sûr que sa démarche ait été réellement comprise dans son propre pays encore sous l’influence gaullienne et toujours enclin à dénigrer ce qui vient d’Outre-Atlantique. Pourtant cette lente digestion de tout un univers cinématographique avait donné au réalisateur un style propre visant à l’épure narrative et visuelle qui est aujourd’hui vénéré et copié par des cinéastes de tous pays se revendiquant de l’héritage melvillien (Alain Corneau, Jim Jarmush, Quentin Tarentino, John Woo, Johnny To). Melville réinvente le film policier français dont des cinéastes comme Jacques Becker, Gilles Grangier, Henri Decoin ou Jean Delannoy avaient dressé les codes à compter du mitan des années 1950. Avec le recours à des dialoguistes au langage fleuri comme Michel Audiard, Albert Simonin ou Alphonse Boudard c’est une vision pittoresque, nostalgique et très fantasmée du milieu qui s’imprime du durablement dans l’esprit du spectateur à travers l’imposante figure tutélaire de Jean Gabin tour à tour flic ou voyou. La psychologie des personnages de ce cinéma très codifié donne presque toujours une justification à leurs actes les plus répréhensibles comme la trahison du fameux code d’honneur des voyous le plus souvent provoquée par le cœur d’artichaut d’un caïd sur le retour d’âge. Rien de tout cela chez Melville dont les ressorts psychologiques des intrigues sont certes présents mais peu mis en avant. Ce qui fascine le réalisateur du « Doulos » et du «Samouraï » c’est la présence constante de la mort auprès de ces hommes qui de quelque côté de la barrière qu’ils se trouvent savent qu’elle les attend à chaque tournant. Cette obsession de la mort provient-elle du fait que Melville se pressentait une fin assez précoce ? Dès lors les intrigues deviennent secondaires et tout le folklore qui enjolive les mœurs du milieu encombrant. C’est pourquoi Melville qui écrit la majeure partie de ses scénarios, nous délivre des films quasi mutiques où l’allure féline et marmoréenne d’Alain Delon fait merveille. Les hommes qui ne sont en réalité que des morts en sursis n’existent qu’à travers leur fonction au sein de cet univers inconnu du commun des mortels où l’on est soit flic soit voyou. Toute l’esthétique choisie par Melville est la déclinaison de ce tropisme, poussé à son paroxysme dans « Un flic » . Par une entame splendide où à la veille de Noël quatre malfrats cambriolent une agence bancaire dans une station estivale désertée et battue par les vents (Saint-Jean-de-Monts), Melville donne le ton. spoiler: La belle américaine qui les ramène sur Paris comporte déjà un mourant. Le compte à rebours est donc commencé
    . Le commissaire Edouard Coleman (Alain Delon) flic désincarné, sorte de copie à front renversé de Jef Costello le tueur à gages solitaire du « Samouraï » par une phrase lourde de sens prononcée dès son apparition nous résume la duplicité de sa fonction : "Ma tâche quotidienne commençait juste avant la nuit. Mais c'était beaucoup plus tard quand la ville s'endormait qu'il m'était donné de pouvoir l'accomplir". Une autre obsession de Melville que l’interchangeabilité des rôles dans ce théâtre nô où les masques sont représentés par la fixité des expressions et des regards que le réalisateur demande à ses comédiens. Du « Doulos » à « Un flic » en passant par « Le deuxième souffle » ou « Le cercle rouge » est disséqué ce rapport trouble, quasi incestueux entre pègre et gendarmes par lequel tout finit immanquablement par se dénouer. C’est bien en misant sur ses fréquentations nocturnes au contact d'un travesti que le commissaire Coleman chez qui Melville laisse entrevoir furtivement une ambivalence sexuelle, pourra finir d’accomplir sa tâche quotidienne comme il l’a dit en décrivant sa fonction dans l'incipit (cf. plus haut). Ce ballet mortuaire somptueusement chorégraphié où la femme (Catherine Deneuve) souvent accessoire chez Melville se mue bizarrement en meurtrière se trouve malheureusement un peu ralenti et altéré par une scène d’action assez maladroite et surtout trop longue où Melville entend montrer qu’il peut rivaliser avec Henri Verneuil le seul adversaire de taille qu’il se reconnaissait dans le cinéma français. « Le Casse » ayant fait un triomphe, spoiler: l’homme de studio qu’était Melville entreprend de filmer un hold-up spectaculaire à bord du Paris-Lisbonne survolé par un hélicoptère. Les maquettes de train trop visibles font piètre figure
    , montrant la vanité qui pouvait parfois emporter le réalisateur sur des sentiers pentus qu’il n’était pas apte à gravir. Cette petite faute de goût mise à part, « Un flic » s’avère la conclusion réussie d’un cycle qui aurait sans doute conduit Melville sur d’autres voies s’il n’avait pas eu la mauvaise idée de déserter si tôt les plateaux. Grand enfant sous le stetson et derrière les lunettes noires, il est amusant de se rappeler que Melville distribuait sur le plateau d’ « Un flic » des bons et des mauvais points selon un code couleur au grand dam des acteurs américains qu’il avait conviés sur le plateau (Richard Crenna et Michael Conrad).
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    Hélas Melville manque sa dernière station avant le terminus, l'histoire est rarement crédible, en tout cas il existe peut de liant entre les divers protagonistes et plus grave les individualités nous laissent sur notre faim. La technique est toujours là mais filmer un téléphone qui sonne pendant de longues secondes ne peut être efficace que si on a créé une véritable tension derrière.
    labadens
    labadens

    17 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    Aie ! Ce fut le dernier film que Melville a tourné avant son déçès mais ce chant du cygne ne comporte que trop de couacs ... 😌
    Certains louent la scène introductive , à savoir le braquage : mais qui va nous faire croire ( même en 1972 ) qu' un simple caissier va jouer au Zorro en déclenchant l' alarme au risque de se faire trouer la peau en présence des trois malfaiteurs ? Qui va nous faire croire que ce même caissier va tirer sur un braqueur en étant certain d' y passer lui- même ?
    Qui va nous faire croire , toujours , que l' on laisse délibérément un sac rempli de billets ( la moitié du butin tout de même ! ) derrière soi, comme ça , pour amuser la galerie ?
    Et que dire de l' interminable ( c'est minable effectivement ) scène du train et de l' hélicoptère ...
    C'est pathétique ! Merci au modélisme ferroviaire et à la maquette de l' hélicoptère , merci au studio pour l' irréalisme de la reconstitution , merci pour les 10 minutes de déshabillage - rhabillage de Richard Crenna ( un pensum ...)
    Le Delon qui nous joue sa partition "visage de marbre inexpressif ": ca va un moment mais on s ' en lasse ; Talleyrand l ' a bien exprimé : " Ce qui est excessif devient insignifiant " .
    Quant a Deneuve son rôle tient sur un ticket de métro. Crenna s' en sort fort bien pour parler en français.
    Dites moi, pour se mettre à table, les truands d il y a 49 ans se montraient bien coopératifs : une gifle suffisait !
    Qui va croire , encore , que l' un des 3 acolytes va balancer ses complices sur une simple demande " appuyée " ? La suggestion Melvillienne est insuffisante , pour ne pas dire bâclée .
    Même la scène finale ne tient pas : en février , en plein jour , il n y a aucune circulation à l' angle de l ' avenue Carnot et de la rue de Tilsitt , pas âme qui vive ? Ca ne choque pas Crenna lorsqu' il sort de l' hôtel ?
    Un navet qui a connu un flop lors de sa sortie, et bien mérité celui-là !
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