Mon compte
    Patton
    Note moyenne
    3,9
    1126 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Patton ?

    100 critiques spectateurs

    5
    27 critiques
    4
    43 critiques
    3
    17 critiques
    2
    9 critiques
    1
    1 critique
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    fred c
    fred c

    2 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2024
    La seconde guerre mondiale vue a travers le prisme d'un personnage au caractère pittoresque (voir antipathique), ça se marie de mon point de vue mal avec la gravité du sujet, et ça ne m'a pas fait aimer le film.
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    8 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2024
    D'abord, ce n'est absolument pas un biopic. C'est la vie d'un général américain en Europe pendant 2 ans, de 1943 à 1945. Ensuite, malgré un acteur excellent dans le rôle principal et quelques bonnes scènes, j'ai eu du mal à accrocher. Le film est long, on ressent bien la singularité du personnage, mais il reste 1 general ayant exercé loin du front principal... le film gagne en intérêt quand paradoxalement le personnage en perd ! il mérite d'être vu pour l'histoire de ce général mais pour moi, dans l'ensemble c'est pas terrible.
    obligeance française
    obligeance française

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2024
    Malgré un acteur charismatique, ce film est profondément ennuyeux avec ce personnage principal détestable à souhait. Trop de longueurs et un un personnage complètement "fou" dans sa conception du patriotisme qui apparaît comme un homme sans âme à la fierté et l'honneur mal placés.
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2024
    Un film de guerre qui consiste à l'étude de la psychologie du général Patton durant la Seconde Guerre Mondiale, le sujet est interessant mais le film souffre de sa longueur.
    vincent lefevre
    vincent lefevre

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Biographie qui se consacre seulement dans la période guerrière de PATTON. Tout au long du long métrage on voit très bien le caractère de la personnalité de ce générale qui n'a rien a voire avec d'autre. Il a de l'audace, parle droit au but et insulte tout le monde quand celui ci est en désaccord.
    George s scoot est exellent dans la peau du générale.
    La réalisation date de cette époque ni bon, ni mauvais, regardable mais sans guère d'originalité.
    Oscar du meilleurs film.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2023
    Film à la réalisation très académique un tantinet viellotte qui du coup gâche un peu le plaisir de cette biopic hollywoodienne sur ce personnage de l'armée américaine très controversé. La bonne idee là-dedans c'est de ne pas auréolér le héros mais de le dépeindre avec ses forces et ses failles. Mais film un peu long  (3h tout de meme) même  si la performance de l'acteur principal est parfaite.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    156 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    "Patton", film de guerre américain réalisé par Franklin J. Schaffner sorti en 1970.
    Une biographie du général Patton durant la période où il s'illustra pendant la deuxième guerre mondiale, entre 1943 et 1945. De sa prise de commandement en Tunisie pour chasser définitivement Rommel D'Afrique du nord jusqu'à l'invasion de l'Allemagne en passant par le débarquement en Sicile, puis en Normandie, le film suit ce personnage haut en couleur.
    Un film généreux, une réalisation de grande qualité, une durée généreuse, de bon acteurs avec George C. Scott et Karl Malden. Un film qui est aussi bien documenté et ne s'éloigne pas trop de la réalité historique (mis à part quelques détails).
    Un aspect de la guerre peu exploré qui met en lumière la concurrence entre les généraux alliés et le désir de chacun d'arriver le premier. L'ambition de Patton en fait un personnage atypique, guerrier romantique, cabotin, terriblement à l'aise sur le champs de bataille et déprimé lorsqu'il est tenu loin de l'action, de la gloire et de l'Histoire.
    Un cinéma à l'ancienne, épique, généreux et de très bonne facture.
    Janus
    Janus

    16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2023
    Le film est assez remarquable a bien des égards. L'acteur principal joue à la perfection le rôle de Patton, les prises de vues sont superbes et la musique remarquable. J'ai pu lire ici ou là que le film était trop long. Je pense au contraire qu'il n'aurait pas été possible d'en réduire la durée sans nuire à la compréhension du personnage. Beaucoup de soin a été apporté dans la reprise de faits et de propos ayant trait à Patton. Jusqu'à la taille de Georges C Scott : 1,85m et Patton 1,87m... Seul bémol dans ce film, les chars utilisés lors de la bataille dans le désert. Tous les chars sont américains et postérieurs à la seconde guerre mondiale !
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juin 2023
    Portrait à la fois fascinant et ambiguë du célèbre général américain de la Seconde Guerre mondiale, porté par l’interprétation magistrale (et Oscarisée) de George C. Scott.
    Récompensé par 7 Oscars, dont celui du meilleur film.
    gerard stevenson
    gerard stevenson

    18 abonnés 793 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2023
    Bon film de guerre. A voir rien que pour la superbe interprétation de George C.Scott qui remporta un oscar refusé pour ce rôle.
    Isodécaèdre
    Isodécaèdre

    9 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    Le cinéma hollywoodien a puisé dans les guerres menées par les États-Unis durant le demi-siècle écoulé une inspiration à la hauteur de ce que furent ces immenses tragédies.

    Depuis l’attaque-éclair du Japon sur Pearl Harbor en décembre 1941 et l’entrée en lice consécutive du « géant endormi » dans la seconde guerre mondiale (épisode retracé dans « Tora, Tora, Tora », paru en 1970 et coréalisé par Richard Fleischer et deux metteurs en scène japonais), jusqu’au débarquement allié du 6 Juin 1944 en Normandie (reconstitué dans la célébrissime super-production zanuckienne de 1962 « Le jour le plus long » ou, plus récemment, en 1998, dans « Il faut sauver le soldat Ryan » de Steven Spielberg), la seconde guerre mondiale a fourni les gros bataillons de ces « films de guerre », créant l’archétype d’un genre qui allait connaitre, avec la guerre de Corée puis celle du Vietnam, de nombreux développements.

    Peut-on considérer « Patton » comme un échantillon représentatif de ces « films de guerre » à gros budget et à message positif ? A première vue, la question parait saugrenue du fait que l’action du film se déroule bel et bien sur des théâtres d’opération emblématiques de la seconde guerre mondiale, que les protagonistes de l’époque (Bradley, Montgomery, Rommel) y sont présents et fidèlement campés et que l’exactitude des faits historiques s’y trouve globalement respectée. Pourtant, il apparait très vite que le réalisateur s’intéresse moins aux différents épisodes de batailles (il y en peu) qu’au personnage bariolé, excessif, mégalomaniaque, admiré et controversé qu’est le général Patton. En ce sens, « Patton » est davantage un film d’auteur qu’un film de genre.

    Ce constat n’est pas sans conséquence. Bien que Franklin Schaffner soit crédité au générique comme réalisateur, le film ne porte-t-il pas avant tout la marque de son scénariste, Francis Ford Coppola ? La démesure du personnage de Patton n’annonce-t-elle pas de manière étonnante ces autres figures d’exception que seront Vito Corleone dans « The Godfather I », le lieutenant-colonel Kilmore ou, plus encore, le colonel Kurtz dans « Apocalypse now » ? Quand on sait les conditions difficiles, sinon parfois dantesques, dans lesquelles ces films allaient être tournés, ne peut-on penser que Coppola s’était lui-même, avant de les affronter, totalement identifié à Patton, qu’il concevait son art comme un combat et sa victoire contre les producteurs comme un accomplissement ? Singulièrement d’ailleurs, la version Blu-ray de « Patton » s’ouvre sur un commentaire de Coppola évoquant le film comme s’il était le sien…

    Vue dans cette perspective, la croyance de Patton en la réincarnation prend un relief saisissant. Elle apparait d’abord dans la scène où il se rêve (ou prétend se revoir) tel Hannibal affrontant les légions romaines : « C’est ici que la bataille s’est tenue. Les Carthaginois défendant leur cité ont été attaqués par trois légions romaines. Les Carthaginois étaient fiers et courageux mais ils ne pouvaient résister. Ils furent massacrés. […] Il y a deux mille ans, les corps des soldats gisaient nus au soleil ici-même. J’y étais. ». Puis, plus tard dans le film, quand Patton s’entendant dire par l’un des officiers anglais auprès desquels il évoque son plan de reconquête de la Sicile : « Vous savez George, si vous aviez vécu au dix-huitième siècle, vous auriez fait un grand maréchal pour Napoléon ! », il a cette réplique : « Mais je l’ai été Sir Harold, je l’ai été ». Hannibal, un maréchal d'Empire (on pense à Ney), Patton, Coppola, une seule et même figure toujours réincarnée ?

    Si tel est le cas, c’est évidemment celle de l’Hubris, ce sentiment d’exaltation et de démesure qui, pour les anciens grecs, conduit les Hommes à commettre les actes de bravoure ou de barbarie les plus insensés et les exposent en retour à la juste colère des dieux, la Nemesis. Une colère qui s’abat sur Patton quand le président Eisenhower choisit de confier le commandement de la 1ère armée à Bradley, son ancien adjoint, ou quand, après la défaite de l’Allemagne, il le destitue de ses fonctions de gouverneur militaire de Bavière. Et lorsqu’une mort sans gloire (une « mort à la con » dira-t-il lui-même avant de trépasser) l’emporte prématurément au soir de sa vie, on est naturellement tenté d’y voir une ultime punition du destin. Injuste fin de partie pour Coppola qui, rompant avec la vérité historique, imagine que son héros survit et rejoint l'Olympe de la rédemption.

    Mettant en scène avec brio l’expression de cette Hubris, le film se montre plus discret sur les ambigüités du personnage. Certes, on y voit Patton exalter le courage et la force physique - allant jusqu’à considérer la mort au combat comme une forme de dérobade, tout en faisant preuve d’une compassion extrême à l’égard de ses blessés. En revanche, les aspects de sa personnalité les plus contestables, ses préjugés de « White Anglo-Saxon Protestant » issu de la classe aisée, son racisme latent à l’égard des Noirs, son mépris des juifs, sa sympathie pour les allemands - de bons chrétiens après tout - et sa réluctance à « dénazifier » le territoire sur lequel s’exerce son commandement après guerre sont largement passés sous silence. Nul doute que cet escamotage porte la marque de l’orgueil aveugle et démesuré qui poussait alors Coppola à s’identifier à Patton.

    Tout autant que l’hagiographie d’un personnage hors du commun, « Patton » apparait en fin de compte comme l’autoportrait magnifié d’un réalisateur visionnaire. C’est là sans conteste ce qui permet au film d’échapper aux conventions du genre et, par une célébration fervente des vertus du chef, de faire oublier sa part d’ombre.
    Fun Hobbies
    Fun Hobbies

    9 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    Pour moi ce film est un chef d'oeuvre et un incontournable du septième art. On ne peut qu'admirer la performance de l'acteur George C. Scott qui incarne Patton.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2022
    Malgré quelques redites inévitables au sein de ce biopic militaire, le récit nous happe grâce à sa tonalité sarcastique fort amusante au sein de dialogues percutants rehaussés par l'interprétation magistrale de George C Scott ainsi que par une réalisation à l'élégance épurée. Mettant en scène un émérite général cultivé, l'intrigue n'en cache pas pour autant son ambition glorieuse, son irritabilité véhémente ou son manque d'empathie, créant un portrait fort ambivalent puisqu'il révèle les failles d'un système tout en dénonçant l'essence même de la guerre corruptrice. Quant à la multiplicité des points de vue elle vise à questionner le rapport à la vérité et à la moralité nationale. Une œuvre d'une belle densité réflexive!
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 décembre 2021
    Le portrait d’un condottiere, du plus légendaire des chefs de l’armée américaine lors de la Seconde Guerre mondiale, général couillu mais psychotique. Mais un portrait à l’américaine, manichéen, sans nuances, comme le sujet, avec des moyens énormes pour peu d’émotion et pas mal de lourdeur. George C. Scott est remarquable, paraissant possédé par son personnage.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2021
    L’attachement à la figure de Patton saisie dans sa complexité et sa folie fondamentales – le personnage se caractérisant par son langage cru, sa rigueur morale et son sens inébranlable du sacrifice –, le refus du spectaculaire au profit de l’intime, la partition notable de Jerry Goldsmith, tout cela confère certes au long métrage de Franklin J. Schaffner un intérêt qui le distingue des biopics conventionnels. Tairons-nous cependant les longueurs à foison, les nombreuses répétitions et le ventre mou à mi-parcours ? Près de trois heures pour voir s’agiter un acteur au demeurant talentueux, George C. Scott, bluffant dans le rôle-titre mais contraint d’appliquer une série de poses et d’attitudes figées. Le cinéaste fait alterner les séquences de dialogues opposant à des soldats tantôt peu ambitieux tantôt lâches un général fidèle à ses idéaux avec des séquences de combat qui bénéficient d’une mise en scène efficace et soignée : l’esthétisation du protagoniste principal, d’abord volontairement outrancière, devient plus subtile à mesure que la solitude prend le pas sur le leadership, jusqu’à l’errance ultime en compagnie d’un chien. Mieux, elle revendique une grandiloquence initiale pour mieux interroger son origine et se raccorder aux rêves de grandeur et de gloire du protagoniste lui-même. Les élans patriotiques, l’importance accordée aux symboles, la musique entraînante ne seraient ainsi que les projections mentales d’un fou de guerre soucieux d’imposer à autrui sa vision du monde et de l’honneur ; cette lecture critique du personnage nous invite alors à interpréter l’ouverture du long métrage comme l’exhorte d’un fanatique devant le drapeau. C’est dire que la dernière partie du film s’avère la plus intéressante car la plus surprenante ; dommage qu’il faille, pour y parvenir enfin, supporter deux heures assez molles.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top