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    Barbarella
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    97 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    6 181 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2024
    Le film s'ouvre sur un strip-tease en apesanteur de Barbarella/Fonda qui annonce de fait la dimension erotico-soft mêlé à la mode du plastique c'est fantastique et une suite de l'histoire qui va surfer littéralement sur le slogan Flower Power des hippies soixante-huitard alors en vogue. Alors qu'arrive à grand pas l'année érotique Barbarella/Fonda devient donc un sex symbol idéal tout en rêvant à une conquête de l'Espace riche en imaginaire. La folie visuelle rejoint les fantasmes les plus divers de la ville de Sogo (contraction de Sodome et Gomorrhe) à la machine à jouir en passant par l'expression imprononçable Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch (nom véridique et réelle d'une ville galloise !) ou le sexe à base de pilule qui inspirera sans aucun doute le coquillage du futur "Demolition Man" (1993). Une sensation de m'enfoutisme et de foutage de gueule désagréable au point qu'on oublie l'intrigue, pas aidé par des effets visuels médiocres et d'une autre époque (polystyrène, plexiglas, plastique, carton pâte...) qui fait d'autant plus râté que le film est contemporain de deux monuments de la SF avec "2001 l'Odyssée de l'Espace" (1968) et "La Planète des Singes" (1968).
    Site : Selenie.fr
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    33 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    Ça commence comme la parodie d'un James Bond dont l'héroine serait une femme de l'espace mi-amazone, mi-gravure de mode. Sa mission est d'empêcher que la guerre, définitivement bannie, ne revienne sur Terre. A bord de son vaisseau intergalactique (on dit comme ça?), Barbarella sillonne le coin et rencontre des personnages encore plus à azymutés et étranges qu'elle.
    La déjà vague intrigue n'est plus alors qu'un prétexte à des séquences éparses mettant en scène des créatures psychédéliques, inspirées de la bande dessinée, de la mythologie et de la science-fiction traditionnelle. L'inconsistance du sujet et sa confusion, ou l'on cherche vainement une parabole satirique, nous contraignent à ne voir dans le film de Vadim qu'un reflet de l'esthétique très particulière et très laide des années 60. Le mauvais goût est de rigueur, sans que l'on sache vraiment quelle est la part de dérison ou autodérision. La nature des personnages, les décors exubérants et les couleurs criardes participent d'un cinéma tape-à-l'oeil et désuet, à côté duquel "Star Trek" fait figure d'austère étude de moeurs.
    Jane Fonda est certes jolie -et l'érotisme auquel elle se prête est quand même bien anodin- mais ça ne remplit pas un film.
    ferdinand75
    ferdinand75

    544 abonnés 3 835 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2024
    Un film complétement Kitch, adaptation d’une BD de JC. Forest, assez culte de l’époque. De ce point de vue le film est assez réussi, car on retrouve un esprit « cartoons », et la BD dessinée sur la pellicule. Il n’y avait pas encore tous les effets spéciaux actuels, et donc pas d’autres choix que les dessins et des maquettes cartons. Cela a un certain charme. Le scénario est assez basique : un aventurière / espionne du futur, d’un monde « peace & love » est chargé de retrouver un déserteur , qui a emmené une arme secrète et la propose à la solde de méchants. Beaucoup d’humour et surtout la superbe Jane Fonda sauvent le film. Vadim en est raide dingue, on le sent, et il la filme sous tous les angles, à peine dénudée, mais au corps sublime (voir le strip tease spatial du générique). C’est probablement le principal intérêt du film. Le reste du casting est assez étrange, mélange de français ( Marcel Marceau, Jean Claude Dauphin) , italien ( Ugo Tognazzi) et américain ( John Law) , dû à la production international emmené par Dino de Laurentis.
    CH1218
    CH1218

    196 abonnés 2 861 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 mai 2024
    Terriblement kitch et nanaresque que ça en est presque incontournable (je n’irais pas jusqu’à écrire culte). Et puis, y’a Jane…
    Cinévore
    Cinévore

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2024
    Souvenons nous qu'au départ, Barbarella est une BD de Jean Claude Forest. Cet auteur est connu pour un genre particulier mêlant humour, fiction et avec de belles femmes . Pour ceux qui l auront lu, il me semble que le film est assez fidèle.
    En 1968, j imagine que ce film devait être un OVNI mais la SF n 'avait pas encore la place qu'elle occupe aujourd'hui sur nos écrans. Les effets spéciaux et l imagination n'avaient pas d'empreintes informatiques...
    Si l on essaie de se mettre un peu en situation d un jeune soixante-huitard cela reste un film très sympa.
    Personnellement, je trouve que Jane fonda est tout à fait à sa place dans cette fiction et même si c'est pas un chef d'œuvre, j'ai passé un bon moment a le regarder.
    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Improbable film de science fiction réalisé par Roger Vadim, devenu culte avec Jane Fonda en pin up du futur. Les effets spéciaux apparaissent désuets aujourd’hui mais l intrigue peut encore un peu passer. Sympathique a visionner aujourd’hui si on replace dans le contexte fin années 60. Peut être un incontournable voire un classique désormais ?
    Artriste
    Artriste

    114 abonnés 1 979 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2023
    Comédie de science-fiction, réalisée par Roger Vadim et adaptée de la bande dessinée du même nom de Jean-Claude Forest, Barbarella est une long-métrage totalement déroutant. L'histoire se déroule en l'an 40 000 dans une ère de paix et d'amour ou les armes sont devenues obsolètes et où les gens ont des rapports charnels en absorbant des pilules. Barbarella, une jeune femme, est envoyée en mission par le président de la Terre pour tenter de retrouver le savant Durand Durand, inventeur d'une arme destructrice. Ce scénario nous embarque pendant un peu plus d'une heure et demie, dans une véritable expérience psychédélique et érotique. Le ton de cette aventure galactique est donné dès la scène d'introduction et s'accentue au fil des minutes jusqu'à atteindre l'orgasme. L'ambiance est très spéciale, à la fois envoûtante et hyper sexualisée. Quelles que soient les péripéties, tout se règle toujours, non pas par le combat, mais par l'organe reproducteur. Il faut dire que l'héroïne a des jolis atouts à faire valoir et qu'elle ne s'en prive pas. Elle est en effet interprétée par une Jane Fonda séduisante, multipliant les tenues aguicheuses afin de mettre en valeur sa plastique. Ses poses lascives finissent par faire craquer les moins enclins à céder à ses avances. Le reste de la distribution est complétée par John Phillip Law, Anita Pallenberg, Milo O'Shea, Marcel Marceau, Claude Dauphin ou encore David Hemmings. Mais nos yeux ne retiendront que le visage et le corps de l'aventurière, tant il est examiné sous toutes les coutures et projeté en pleine face. Toutes les relations entretenues par ces individus tournent autour du sexe qui est une véritable obsession, jusqu'aux dialogues ne prenant même pas la peine de faire des sous-entendus. Sur la forme, la réalisation de Roger Vadim s'avère de qualité. De plus, sa mise en scène évolue dans des environnements variés, changeants régulièrement, possédant un certain charme malgré leur aspect en papier mâché. Un véritable travail a été effectué au niveau de l'atmosphère des décors et ceux-ci sont en grande partie responsable de cette allure ensorcelante. De surcroît, les objets futuristes très spéciaux, particulièrement inspirés, collent à merveille avec l'époque à laquelle est censée se passer l'action. Ce visuel enchanteur est accompagné par une b.o. aux airs légers, dénotant avec les situations mais s'avérant très appréciable. Cet étrange voyage dans le fin fond de l'univers s'achève sur une fin tout aussi bizarre que le reste de l'intrigue. En conclusion, Barbarella est un film déconcertant méritant d'être découvert pour les attirantes qualités qu'il a à offrir.
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 juillet 2023
    Aussi culte que kitsch aujourd'hui, ce récit pourtant adapter d'un roman n'à pour moi aucun scénario, d'un bien long générique filmant sur toutes ses formes la vedette d'antan Jane Fonda, là mettant surtout en lumière tel une pin-up érotique jusqu'au visuel respectable pour l'époque ou notre spationaute rencontre une "vie alien" ayant plus l'air d'indigènes et créatures biblique (tel l'ange Pygar incarné par John Phillip Law), des décors imposants sublime qui ne parviennent pas à faire oublier la longueur inutile des scènes. 1h30 que je pensais voir simple qui finalement, aura été longue et ne mettant assurément pas les femmes dans leur meilleures scènes. 1h30 ou le récit fait du sur-place pour ne rien proposer d'intéressant hormis les décors et ce petit duo Fonda / Law plutôt sympas mais sans folie. L'ère de la s.f. n'était clairement pas celle-ci.
    Surfeurfou974
    Surfeurfou974

    10 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2022
    J’ai trouvé ce film qui n’a pas plus d’ambition qu’une série Z de science fiction par beaucoup de petits éléments très divertissant, bien entendu la magnifique Jane Fonda quand on connaît l’histoire de la réalisation du film on sait que cela aurait pu être Brigitte Bardot, derrière l’apparence érotique du film se cache une pate de réalisation très funk avec des décors exubérants, une ambiance de libération sexuelle propre à la période de la sortie du film en tant que film culte je le garderai dans ma collection
    Elunadavilia27
    Elunadavilia27

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Barbarella est un film de science-fiction sorti en 1968 et mettant en vedette Jane Fonda. Avant de commencer ma critique, j'aimerais avancer que je n'ai pas lu les bandes dessinées éponymes donc il me sera impossible de les comparer.

    J'ai aimé ce film. Je ne m'y attendais pas. Partout, j'ai lu que les décors étaient horribles. Moi, je les ai trouvés très créatifs (ce qui me change des films de science-fiction actuels) et loufoques. Evidemment, on voit très bien ce film est des années 60, dû aux décors justement qui ont quand même un petit côté kitsh, mais également au niveau des effets spéciaux (et encore, ça ne me piquait pas trop les yeux) mais également sur le thème du film qui vient de la libération sexuelle de l'époque. Logiquement, on y découvre de l'érotisme dit soft, pas vulgaire.
    Le scénario est intérressant, loufoque. Certains moments auraient gagné à être plus approfondies (la manière dont Pygar retrouve la faculté de voler) tandis que d'autres auraient dû être raccourcies (le moment entre le barbare et Barbarella)
    La musique quant à elle est sympathique, parfois un peu kitsh. L'essentiel étant qu'elle suive le film.

    Du côté des personnages, on est un peu dans un chaos loufoque... parfois un peu flippant. Je pense notamment à ces enfants qui veulent donner Barbarella en pâture à des poupées que je trouve terrifiantes. Certains personnages sont un peu oubliables à mon goût (l'homme à la barbare vêtu d'habits avec poils par exemple).

    Et du côtés des principaux?
    On a Pygar, un ange aveugle qui n'arrive plus à voler, enfin... pendant quelques secondes après son apparition et après s'être fait Barbarella (ou le scénario), il vole à nouveau. Il a été banni de Sogo parce qu'il fait parti Par la suite, le pauvre ange inexpressif se fera enlevé, torturé, harcelé sexuellement puis condamné à mort par la Reine noire.
    La Reine noire, puisqu'on en parle, est le tyran de la ville de Sogo. spoiler: On pense au début qu'elle est l'antagoniste principal, mais elle devient à la fin l'alliée de Barbarella, suite à la trahison de Duran Duran.

    Et Barbarella, notre héroïne. Qualifiée de pilote la plus compétente, elle est envoyée par le président de la Terre pour retrouver Duran Duran. On la voit au début assez passive, lorsqu'elle se fait enlever par les enfants (dû au fait que personne sur Terre ne sait se battre, sans doute et qu'elle ne devait pas s'attrendre à autant d'hostilité de la part d'enfants) mais ses actions s'amplifient légèrement vers la fin (bon, pas au point d'en faire la reine de l'action non plus). Et puis, qui n'a pas louché sur sa plastique?

    Evidemment, ce n'est que mon avis mais ce film sort vraiment des classiques de science-fictions. Et rien que pour ça, il mérite d'être vu.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 474 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 février 2021
    C'est un film extrêmement mauvais avec un jeu des acteurs terrible. Il est difficile d'imaginer que Jane Fonda joue si mal dans un scénario tout aussi terrible. Les effets sont ringards et parfois inutilement longs combien de temps Jane va-t-elle marcher devant des écrans psychédéliques avant que quelque chose n'arrive. L'intrigue de l'histoire est ridicule. Le vaisseau spatial ressemble à quelque chose fabriqué par un élève de troisième année. N'oubliez pas la musique personnellement je pense que les années 60 ont été une époque à la fois extrêmement créative et embarrassante pour la musique je vous laisse deviner dans quelle catégorie se situe la bande sonore de Barbarella. C'est tellement mauvais que c'est vraiment génial quand avez-vous vu pour la dernière fois un film de science-fiction avec une actrice vraiment sexy qui ne semble pas pouvoir garder ces combinaisons spatiales serrées sur son corps. Si vous vous ennuyez entre les plans de poitrine ce qui pourrait facilement arriver essayez de compter les symboles phalliques. Prenez quelques bières réunissez-vous avec vos copains masculins et regardez un film dont Ed Wood serait fier...
    Eselce
    Eselce

    1 378 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 août 2020
    Très kitsch, scénario et décors hasardeux. On le regardera encore pour les beaux yeux de Jane Fonda, le jeu des acteurs, la déco, les costumes, le jeu, le scénario... J'ose dire que l'on peut tout jeter, tant c'est mauvais !
    arkana
    arkana

    25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2020
    film très ancré dans son époque

    on sent vraiment l'influence de la libération sexuelle sur ce long métrage

    si le scénario est assez vite, les acteurs peu convainquant et les effets très vieilli... il reste intéressant à voir pour découvrir l'époque
    Redzing
    Redzing

    1 100 abonnés 4 450 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 avril 2020
    Dans un futur lointain, Barbarella, une astronaute, est chargé par le président de la Terre de retrouver un scientifique porté disparu, créateur d'une arme terrifiante. Roger Vadim signe avec "Barbarella" un OVNI cinématographique, mêlant science fiction à une époque où le genre n'était pas encore aussi populaire, et érotisme. Le problème étant qu'entre des choix artistiques kitschissimes et une intrigue bancale, le film se prend complètement les pieds dans le tapis. Décors moches, éclairages laids, mise en scène statique ne mettant en valeur si les décors, ni les scènes d'action, ni les touches d'humour qui tombent ainsi à plat, sans compter le scénario assez ennuyeux. Peut-être que les quelques scènes érotiques en émoustilleront certains (dont le générique sur fond de strip tease spatial !), mais il faudra passer par une musique pop psychédélique, et des personnages en carton incarnés par des acteurs mous du genou. La palme revenant à Jane Fonda, qui semble aux fraises, et dont ce rôle titre de potiche découvrant les plaisirs du sexe apparait bien éloigné de des convictions politiques de l'actrice ! Bref, "Barbarella" est un joli ratage, sorte de "Star Crash" 10 ans avant, en plus ennuyeux.
    Shawn777
    Shawn777

    574 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2019
    Ce film, réalisé par Roger Vadim et sorti en 1968, est très bon ! Effectivement, malgré les mauvaises critiques générales, j'ai vraiment adoré ce film complètement décalé ! Je n'ai pas lu les bandes dessinées homonymes de Jean-Claude Forest dont le film en est l'adaptation, je ne sais donc pas si ce dernier en est fidèle ou non mais surtout, je ne m'attendais pas à ce genre de chose ! J'ai appris, après avoir regardé le film, que la bande dessinée avait pour héroïne une femme incarnant la libération sexuelle, elle s'inscrit ainsi très bien dans le contexte des années 60. Mais c'est vrai que lorsque j'ai vu le film, ce qui m'a tout de suite sauté aux yeux, c'est que l'histoire est en fait juste un prétexte pour parler de sexe toutes les cinq minutes, tout tourne autour de ça, du début à la fin. Dans la forme, c'est donc l'histoire de Barbarella, aventurière de l'espace, qui est chargée par le président de la Terre de retrouver Durand Durand qui aurait vendu des armes à une planète ennemie. Jusque là tout va bien, c'est le scénario d'un film de science-fiction relativement classique mais très vite et assez régulièrement, nous avons diverses allusions sexuelles, qu'elles soient sous forme de métaphores (pas très fines tout de même) et alors directes. Du fait que je connaisse maintenant l'origine du film, cela me parait normal mais c'est vrai que j'ai été un peu surpris au début. En dehors de ça, l'univers du film est génial, les décors sont superbes et malgré quelques scènes un peu lentes et niaises, on ne s'ennuie pas, enfin si on rentre vraiment dans le film évidemment. Les costumes sont également très bons. Je reconnais malgré tout que le principal problème du film, c'est le fait que l'on rigole plus souvent de lui à la manière d'un nanar, ce qui, je pense, n'était pas son but premier même s'il faut bien-sûr le voir au second degré. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons principalement Jane Fonda, John Phillip Law, David Hemming etc. qui sont à fond dans leur rôle. Nous soulignerons également la B.O. qui est excellente et très kitsch, à l'image du film. "Barbarella" est donc un film un peu loufoque qui est à voir si on aime bien ce genre d'univers.
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