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Un visiteur
4,0
Publiée le 28 janvier 2014
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
Premier volet de la saga Death Wish, Un Justicier Dans La Ville est une perle tournée en 1974 par Michael Winner qui nous offrait alors un de ses meilleurs films. Grâce à sa mise en scène très riche (les plans symboliques sont nombreux) et à son scénario intelligent (la montée du désir de vengeance de Charles Bronson est très bien rendue), Un Justicier Dans La Ville se regarde comme un film humain où un homme désabusé par la perte de sa femme et le viol de sa fille décide de faire sa propre justice de manière expéditive et amorale. Plutôt violent et assez réactionnaire dans le fond (moins que les suivants quand même), ce volet de la saga du « Justicier » est surtout le plus réaliste et le plus émouvant… Et c’est ce qui fait sa force. Un classique dont ma nostalgie me pousse à lui attribuer la note maximale.
Un film culte qui prône l'autodéfense et qui a fait débat à l'époque ,peut être encore plus aujourd'hui, pourtant il est criant de vérité,pour moi c'est le meilleur de Charles bronson la justice par ces propres moyens 👉
Charles Bronson a réussi à se créer une série pour concurrencer Clint Eastwood et son inspecteur Harry. 4 épisodes vont suivre en y rajoutant un bonus avec le justicier de minuit (qui ne fait pas partie de la série). A noter que Bruce Willis essaie de reprendre la série avec déjà un premier épisode en 2019.
Il incarne un homme d affaires, suite à la assassinat de sa femme, décide de faire le ménage parmi les criminels en tuant des voyous dans un New York non sécurisé et délaissé par les forces de Police. La scène de viol / meurtre est violente et filmé de manière brute.
Le scénario manque de consistance malgré la bonne présence de Bronson . Le réalisateur veut positionner clairement son scénario plus sûr la dénonciation de la violence (notamment à New-York) et les faibles moyen de la police que sur une histoire de vengeance. Et sur ce point il n a pas tort . Le New York des années 70-80 est un véritable coupe gorge bien loin de celui actuel ultra sécurisé .
Bon film au final qui aurait du travailler un peu mieux le scénario pour en faire un très bon film .
Un Justicier dans la ville est un très bon film sur l'autodéfense et où Charles Bronson tient là l'un de ses meilleurs rôles sur grand écran. L'histoire débute où une femme et la fille d'un homme d'affaires sont violées et torturées dans leur appartement par des voyous. La mère meurt alors que la fille est traumatisée par ce qu'il lui ait arriver. Le père de famille se transformera alors en justicier. Grâce un solide scénario de Wendell Mayes ( l'Aventure du Poseidon ), nous avons le droit de voir un long métrage vraiment passionnant. La mise en scène de Mickael Winner ( le très bon western l'Homme de la Loi ) est efficace et on se retrouve surpris par certains passages de meurtres qui feront de ce long métrage, un film culte pour certaines personnes. Il s'agit donc d'un film particulièrement violent dans son contenu pour l'époque, et il est d'ailleurs pas difficile de lui trouver des points en commun avec un autre film important des années 70: l'Inspecteur Harry de Don Siegel, film qui à été réaliser quelques années auparavant. Au niveau de l'interprétation, nous retrouvons un Charles Bronson, qui trouve là un rôle à la hauteur de son immense talent, surtout lors des fameuses scènes où il tue de sang froid et par vengeance tout les truand ou voleurs qui essaient de la depouiller. A ses côtés, nous retrouvons notamment Hope Lange ( vu dans Blue Velvet de Lynch ) qui joue le rôle de la fille traumatisée d'une bien belle façon. Nous pouvons également apprécier la présence de Jeff Goldblum ( qui deviendra célèbre pour son rôle dans la Mouche de Cronenberg ) qui joue ici l'un des rôles des voyoux. Précisons également la musique très accrocheur de Herbie Hancock, qui reste un autre atout du film. Voilà donc un long métrage que je trouve particulièrement réussi et que je conseil à tous les fans de Charles Bronson.
Architecte sans histoire, Paul Kersey est un libéral qui vit tranquillement à New York. Jusqu'au jour où sa femme et sa fille sont sauvagement agressées. Notre homme va alors se mettre à chasser les voyous. "Death Wish" est un film pleinement ancré dans son époque, mettant le doigt sur les problèmes de sécurité des grandes villes, en particulier New York (si la ville est aujourd'hui l'une des plus sûres des USA, elle était auparavant un vrai coupe-gorge). Il dépeint la Grande Pomme de manière assez glauque, mais se veut nuancé avec son protagoniste. Charles Bronson campe ainsi de manière touchante un homme non violent et paisible, que le malheur va faire basculer petit à petit. Le scénario est également intéressant, montrant comment ses actions sont perçues par le public ou les forces de l'ordre, et délaissant complètement l'histoire de vengeance à laquelle on s'attendait. En revanche, si la mise en scène tient la route, le fond est assez douteux, faisant doucement l'apologie de l'auto-justice. Le film connu par ailleurs un gros succès à l'époque, générant plusieurs suites beaucoup moins subtiles, et de nombreux "vigilante movies".
Je ne sais même pas pourquoi j'ai regardé ça. Le vigilante si j'aime bien le concept, j'aime rarement le film parce que je trouve ça trop manichéen, trop gentillet, trop fasciste, trop simple et surtout trop con. Un mec qui va buter tout le monde, ok, mais bon il perd sa santé mentale le pauvre en faisant ça. Bon là on a Bronson qui est un père exemplaire, qui mène une vie bien rangée et magnifique. Genre c'est limite ridicule au début tellement ça fait carte postale. On voit le couple maxi heureux et sans fausse note, sans engueulade, sans rien. Génial. Et puis là, c'est le drame. Femme morte, fille amorphe. Bronson en voyant un spectacle de cow boy va se dire : pourquoi pas moi ? Bon c'est assez ridicule encore au début parce que bon, voir le mec avoir la gastro parce qu'il a tué quelqu'un… et se mettre à crier Jésus, Jésus… mouais… J'avais peur de voir un film où on justifie le fait de tuer gratuitement quelqu'un, mais en fait là c'est l'extrême inverse. Mais heureusement ça ne dure pas, il va prendre son smecta et continuer son massacre sans état d'âme. Alors ouais le film est bien réac, mais ce n'est pas le vrai problème, le vrai problème c'est que Bronson a beau être charismatique je le trouve vide au possible, idem pour tous les perso en fait. ça ne joue pas très bien et à aucun moment je n'ai été impressionné par un truc que je n'aurai pas déjà vu quelque part ou bien qui me semblerait extrêmement bien foutu. Je sais pas trop, je trouve ça plus chiant qu'autre chose. Alors oui vers la fin ça devient mieux parce qu'il se passe des trucs, mais bon 1h pour en arriver là. Et l'enquête de la police me semble bien téléphonée. Sans parler du plan final qui pourrait faire badass, mais je trouve assez ridicule en fait. Bon après c'est pas vraiment mauvais, c'est juste vraiment moyen je dirai car très plat et avec un message vraiment pas top.
Charles Bronson est excellent dans la peau de ce personnage (il sait même être émouvant à certain moment) tombant dans une spirale de violence. La suite de cette saga est peu honorable mais ce 1er épisode est très bon.
Tout a déjà été dit ou presque sur ce film culte. Premier volet (Et de loin le meilleur) de la saga "Death Wish", "Un justicier dans la ville" est un classique. LE film qui a donné naissance au genre "Vigilante movie". Une perle tournée en 1974 par Michael Winner qui nous offrait alors un de ses meilleurs films. Violent, réaliste, sans concession, "Un justicier dans la ville" a marqué et continue de marquer les esprits près de 40 ans après sa sortie. Inoubliable Charles Bronson.
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
Bronson, pour se venger de la mort de sa femme, dézingue les voyous qu'il croise dans ses promenades nocturnes, et, comble de chance, il en rencontre à chaque coin de rue... c'est l'essentiel du scénario de ce film, donc tout cela est d'une grande platitude...
En tant que plaidoyer pour l’auto-défense des braves citoyens américains légitimement armés jusqu’aux dents contre des jeunes voyous sans foi ni loi, Un justicier dans la ville est devenu un modèle scénaristique puisque le schéma de la victime se muant en flic de choc, juge et bourreau continue, plus de quarante ans plus tard, à être réutilisé à foison (si le modèle du rape and revenge est à présent dépassé, il contamine à présent celui du super-héros). Rarement, en 1974, l’ultra violence de la ville New-York a été aussi intense que dans ce film d’action où Michael Winner donne à son acteur fétiche, Charles Bronson ce rôle de père de famille (assez peu crédible en architecte, il faut le reconnaitre). Avec son discours moralement très contestable que l’on aurait aimé ne pas voir étirer dans un franchise de cinq films de piètre qualité, le film reste un film d’action vintage et exutoire, symptomatique de la mode des anti-héros contemporaine au Nouvel Hollywood, auquel on peut au moins reconnaitre d’avoir donné son premier rôle à Jeff Goldblum.
Premier film d'une longue série, ce "Justicier dans la ville" n'est qu'une série B peu inventive et au scénario écrit en une minute montre en main. L'histoire accumule les clichés, les exagérations et l'idéologie véhiculée (se faire justice soit même) manque clairement d'intelligence. Charles Bronson campe un rôle qui lui va comme un gant et dégage toujours ce charisme, cette aura qui lui ai propre. Il cache cependant difficilement les nombreux défauts du film à commencer par une réalisation plate et insipide. Cette faiblesse ne nous enlève heureusement pas le plaisir que nous procure les scènes d'action.