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Un visiteur
3,5
Publiée le 23 mai 2013
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
Il manque un élément pour rendre ce film plus fort. La réalisation tient la route, et le scénario n'est pas si mal. Bronson est charismatique mais je trouve qu'il lui manque une touche de sensibilité. Il paraît complètement stoïque après la perte de sa femme, et la longue convalescence de sa fille. C'est probablement le rythme du film qui demeure trop mou et qui fait qu'on ne passe pas à la vitesse supérieure.
Premier épisode d'une longue lignée de films nauséabonds sur le 'self-defence'. Le pire ce n'est pas que ce film est mauvais, le pire c'est que c'est à cause de ce genre de film que l'image de Charles Bronson, qui jusqu'alors jouait dans des grands films, s'est terni et a chuté !
probalement le meilleur de la saga, un justicier dans la ville reste un polar noire de bonne qualite, on a le droit a un suspens bien maitriser et le film s'installe progressivement, c'est vrai la scene d'agression de la femem et de la vilel de charles bronson reste cependant moins explicit que celle du second volet,mais au final charles bronson est bon du debut a la fin dans son meilleur role de " justicier"
Un plaidoyer décomplexé , violent et choc pour l' autodéfense . " Un justicier dans la ville " est un film typiquement 70' s , bien mis en scène ( Michael Winner , cinéaste malheureusement trop sous estimé ) , bénéficiant d' une bonne B.O. ( Herbie Hancock ) et d' un interprété charismatique ( c' est Charles Bronson quand même ! ) ... Ce film est a 1000 lieux des suites déplorables faites pendants les années 80 et 90 . Bref , ce très bon " vigilante movie" , apologie de l' auto défense , est la meilleur collaboration de Michael Winner et Charles Bronson ( 6 films en commun) et l' un des meilleurs films des années 70 ....Efficace ! Un film que je place sans hésitation dans mon top 10 !
Dans le justicier 1, la femme de Bronson est tuée et sa fille violée, il sort son flingue et bute du malfaisant au hasard, dans le justicier 2, la fille de Bronson, malgré qu'elle soit un légume, se fait enlever et sert de poupée gonflable aux voyous, elle se jette par la fenêtre et s'empale sur des grilles de fer, Bronson sort sa mitrailleuse lourde, dans le justicier 3, ce sont ses potes qui se font buter, il sort son lance roquette, le justicier 4 n'est jamais sorti, on lisait sur le synopsis prévu que toutes personnes s'approchant de Bronson à moins de 10m mouraient, et il sortait son lance flamme.
Un conseil, si vous avez dans vos connaissance une personne du nom de Paul Kersey, déménagez.
Super film, vraiment! Il est trés sympathique avec son coté "western urbain" et il est trés interessant de voir progressivement la méthamorphose d'un homme plutôt tranquille en redoutable justicier mais au fond, ce film est à prendre au 2nd degré.
Si on le prends au premier degrés,ce film peut être très dangereux car il prône l'auto-défense ce qui est strictement impensable et imbécile.Si on le prends au second degrés c'est un bon film d'action et de suspens à mettre à côté de "l'inspecteur Harry". A noter que c'était le retour sur les écrans de Charles Bronson après multitude de western dans les années 50 et 60.
L’autodéfense a toujours été un sujet de prédilection pour les USA. Surtout dans les années 70, années record concernant la criminalité délinquante à New York. Ce film que l’´on peut catégoriser comme de propagande nous montre comment un cadre supérieur se transforme en machine à tuer pour venger la mort de sa femme et le viol de sa fille. Pour bien nous faire comprendre que cela peut arriver à vraiment tout le monde et que la société doit réagir face a la pourriture on prend un ancien objecteur de conscience ! La scène d’agression du début est l’une des plus dérangeantes que j’ai vu même 50 ans après sa réalisation (Jeff Goldblum est déchaîné en voyou dégénéré violeur) Passe ces critiques idéologiques force est de constater que le film a gardé son efficacité. Je n’ai jamais vu Charles Bronson aussi humain dans son interprétation et Winner nous plonge dans un New York crade et violent ou même dans leurs beaux immeubles la classe supérieure n’est pas à l’abri.
Dire que ce film a mal vieilli est un doux euphémisme. Une immersion dans le New York des années 70 incarné par ses gangs mafieux et son taux de criminalité, vu au travers d’un "justicier" qui pour se venger de l’agression sauvage dont sa femme et sa fille ont été victimes, tue au hasard de ses rencontres, sans jamais se préoccuper de retrouver les vrais auteurs du crime. Charles Bronson reste fidèle à sa nonchalance et à son étiquette d’acteur hautain et anti-charismatique. Que ce soit pour une fête d’anniversaire ou un enterrement, ce vieux chnoque mono-expressif est absolument incapable de laisser transparaître une quelconque sorte d’émotion.
Amis des nanars, bonsoir! On tient là un gros morceau : La naissance du vigilante movie! Où comment M. Tout-le-Monde, démocrate et objecteur de conscience, se transforme en machine à tuer implacable après le meurtre de sa femme et le viol de sa fille (on reconnaitra le jeune Jeff Goldblum parmi les agresseurs). On est d'accord, la morale de ce film est puante : Auto-défense et vengeance aveugle, vive la NRA. Mais bon, le film est tellement réac' qu'il en devient drôle, et au final n'est pas si bête que ça : Tous les voyous exécutés ne permettrons pas à notre héros de retrouver les agresseurs de sa femme, et sa fille ne guérira pas de son traumatisme. Et finalement ils deviendra comme eux, seul, rempli de haine et de violence... On est en 74, et c'est le grand retour de Charles Bronson à l'écran. Tout en émotion contenue, il créé le personnage du vigilante, rôle qui lui collera à la peau jusqu'à sa mort, et inspirera nombre de personnages et d'acteurs au charme monolithique et aux méthodes expéditives, tels Stallone, Steven Seagal, Dolph Lundgren, le héros de comics le Punisher et bien sûr le film Death Sentence. Bref, un film culte, père de tous les nanars sécuritaires... Tremblez voyous, le vigilante et son calibre .32 sont dans les rues ce soir!
Michael Winner a réalisé un bon polar, en présentant la ville de New York rongée par la criminalité. Beaucoup de psychologie, Charles Bronson a le profil idéal pour ce genre de rôle. Le côté justicier du personnage aurait pu être plus approfondi si il menait sa propre enquête pour retrouver les auteurs du meurtre de sa femme et du viol de sa fille.
CHARLES BRONSON dans le rôle qui a fait de lui une légende, un polar musclé et expéditif sur le thème de l'auto-défense, un film tout simplement culte!!!!
Cela montre l'évolution de la pensée d'un homme un peu trop laxiste au départ, un peu trop consensuel du genre à penser tout le monde il est beau il est gentil tant qu'on lui donne les allocations pour...et puis qui soudain se retrouve vicitme de ces mêmes personnes qu'il avait tendance à excuser un peu trop souvent au nom de leur précarité...un film qui fait réflechir sur la victimisation constante des délinquants et sur la peine a appliquer si on veut éviter la loi du Talion...les juges un peu faiblards devraient en prendre de la graine!