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Un visiteur
4,0
Publiée le 16 janvier 2011
Death Wish nous présente une ville de New York rongée par le vice et la violence où Paul (Charles Bronson , excellent dans son rôle) , un architecte dont la femme a été battu à mort et la fille violentée , décide d'affronter seul la criminalité n'ayant pas confiance dans les institutions en place , ses actes vont alors avoir des repercussions sur la société qui l'entoure . Ce film américain 100% républicain se permet l'ironie de transformer un démocrate convaincu en justicier sanguinaire . C'est une oeuvre qui fait réfléchir et un très bon polar noir que les bien-pensants trouveront moralement odieux .
Un excellent film sur l'auto-defense. Bronson est tres convaincant en justicier solitaire. Pas de préjugés racistes, il tue simplement par vengeance. Le désir de vengeance aurait pu aller plus loin si le justicier retrouvait les véritables auteurs du viol comme dans le deuxieme volet. Bref. Un bon film quand même.
Ce film abordant plusieurs thèmes comme la délinquance en milieu urbain, l'autodéfense ou encore l'irresponsabilité d'un Maire face à un tueur devenu le vengeur de toute une partie de la population demeure fort bien réalisé par Michael Winner. Pas de temps morts, beaucoup d'action mais aussi certains passages dramatiques (le viol, la solitude de Kersey et l'handicap de sa fille)donnent à ce thriller une qualité supérieur à la moyenne, Charles Bronson est performant en simple citoyen tombant dans la dépression puis devenant un tueur très crédible et humain. Au final, on obtient un bon film des années 70 renforcé par une intrigue bien menée et une interprétation sans faille.
Le thème de la vengeance est assez jouissif. Il est ici transcendé car il dépasse le cas personnel. L'inefficacité de l'Etat dans ses tâches régaliennes dépasse les frontières et voyage le temps.
"Un justicier dans la ville" était dans les années 70, ce qu' est "le punisher" aujourd'hui pour nous. Le film montre comment un homme peut changer quand tout son monde s'effondre.Charles bronson est trés convaincant dans le rôle du justicier impitoyable.
Michael Winner a influencé un grand nombre de réalisateur avec ce film culte d'auto-défense. Charles Bronson, après avoir joué dans les westerns et les films de guerre auparavant, s'investit énormément aussi dans ce thriller urbain. Ce rôle de justicier était fait pour lui, il y a beaucoup de psychologie mais ce n'est pas l'histoire de vengeance que j'attendais...
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
Culte OK mais nase. Comment peut on faire des scènes aussi traumatisantes et malsaines pour les besoins d'un film...Le producteur s'essuiera les déprimes de téléspectatrices éplorées. Bref un viol pour faire monter le box office, je suis contre. La qualité du film : merdique, mais bien pour son époque. Mais je reste convaincu qu'il y a d'autres moyens plus élégant et respectueux d'éveiller la curiosité du public. Néanmoins, je ne critique pas Charles Branson, qui lui, est tout bonnement un acteur talentueux qui ne fait que le démontrer une fois de plus.
Un film cultissime. Certes ce n'est pas fait dans la dentelle, mais ultra-efficace. Il a très bien vieilli. L'influence d'Orange mécanique, alors encore tout frais dans les mémoires, est évidente, notamment dans la scène de l'agression. Kubrick est loin au dessus, mais la critique sociale n'est pas absente, les tergiversations complices des autorités, assez crédibles, donnant à réfléchir.
Excellents acteurs, mise en scène sans temps mort, montage précis. Noter les débuts de Jeff Goldblum, notre chouchou à nous autres amateurs de film d'horreur et de SF, en racaille sans cervelle. La BO signée Herbie Hancock est une merveille.
Comme tout les films cultes, on ne s'en lasse pas. Bronson fait ce que beaucoup rêvent de faire, "nettoyer" la ville tout seul avec son colt. La gauche a critiqué ce côté manichéen et réactionnaire, qui est évident, mais après tout il y a aussi des films manichéens de gauche qui sont excellents, Cayatte ou Costa-Gavras par exemple.