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albancinedvd63
19 abonnés
384 critiques
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3,5
Publiée le 6 janvier 2025
Un film de possession démoniaque qui sort des sentiers battus. C’est parfois dérangeant dans certaines scènes de massacre, les possessions sont bien démoniaques et l’histoire est pas mal. Même les acteurs ne sont pas mauvais. À voir pour les fans d’horreur démoniaque.
La chaîne de transmission du Mal emprunte à It Follows (David Robert Mitchell, 2015), son horreur explicite qui redistribue spoiler: violence et sévices parmi la famille, n’oubliant aucun de ses membres, au cinéma d’Ari Aster – on pense beaucoup à Hereditary sorti en 2018. C’est sous le patronage de ces deux autorités, qui planent sur l’ensemble comme les ombres du démon, que navigue, en terrains connus donc, When Evil Lurks, tout en feignant l’exploration de territoires étrangers. Dès lors, apprécier le long métrage supposerait de pratiquer une docte ignorance, c’est-à-dire de feindre la connaissance des influences préexistantes pour le voir tel qu’il se donne à voir. Entreprise rendue difficile par la construction mécanique d’un scénario qui procède par spoiler: accumulation d’exécutions : la répétition de procédés de mise en scène rend ces dernières rapidement prévisibles, réduit le suspense aux artifices qui le constituent – à savoir la musique, le bruitage, le montage alterné etc. Le plus réussi reste la première demi-heure durant laquelle se met en place une ambiance pesante, aussi malade que le fils en obésité morbide qu’il faut guérir à coups de fusil. Pas de quoi s’extasier, donc, devant cette production qui en digère d’autres.
Une histoire de possession qui se répand comme une épidémie. Ce film argentin a un rythme un peu lent, mais c'est pour mieux installer une ambiance de désespoir. Il n'est pas révolutionnaire, mais assez bien réalisé, il reste un bon film avec une ambiance assez angoissante et oppressante, gore par moment.
j'ai vu un Tik tok qualifiant ce film comme l'un des meilleurs de 2024, je vous laisse imaginer ma déception après l'avoir regardé, c'est tellement brouillon et incompréhensible, certaines scènes sont plus drôles que terrifiantes, peut-être j'ai pas compris ce que le réalisateur a essayé faire passer comme message mais j'ai pas du tout accroché
Entre film de possession et d’infectés, When Evil Lurks, petite prod’ argentine se réserve une belle place au soleil en réussissant l’exploit d’être un minimum originale dans le genre. L’ambiance est belle, la tension palpable et le gore n’est pas en reste. Pour les plus érudits, il y a même moyen de se marrer de temps à autre. Les comédiens ne sont certes pas exceptionnels et le rythme très inégal mais l’atmosphère, la réalisation et la jolie mise en scène l’emportent allègrement sur les quelques défauts du métrage. Une bonne surprise dans le genre, qui risque de vous laisser sur le carreau sur bien des aspects …
La dernière image ? Elle est multiple tant de moments terrifiants reviennent en mémoire. Pour tout dire, ça faisait longtemps que j'espérais voir se déchaîner une telle puissance dévastatrice à l'écran. De la terreur à l'état pur.
Par un propos subversif (notamment sur la famille, ici plus du tout un refuge), le réalisateur franchit ostensiblement toutes les lignes rouges, met en scène l'inpensable (la scène du chien pour ne prendre que cet exemple) et laisse exsangue, aussi désespéré que le personnage principal.
Certes, il y a des défauts, des répétitions malvenues, des moments trop explicatifs, mais l'incroyable audace de ce réalisateur (à suivre assurément) parvient preque à faire oublier ces défauts (d'écriture essentiellement) parfois gênants mais jamais rédhibitoires.
Pour celles et ceux qui le verront, attachez vos ceintures !
Techniquement très bien fait avec peu de moyens. Petit film d'horreur Argentin assez répugnant, gore, nihiliste et pessimiste mais pas très effrayant. Rempli de règles artificielles sorties de nulle part (ne pas utiliser l'électricité, des balles)
Intrigue 1/5 Frissons 0/5 Personnages 1/5 Esthétique 0/5 Intérêt global du film 1/5 musique 0/5 Acteurs 1/5 Réalisation 1/5 Il est tout de même très rare qu'un film n'ai pas un seul point sur lequel se raccrocher
Vu ce film en VF donc peut être est ce le doublage qui rend le jeux des acteurs a la limite de l amateurisme ou de la série z. Si on ajoute à cela, la qualité de l écriture très médiocre des dialogues, on obtient des scènes ou les acteurs passent leur temps à hurler sans raison, même quand ils se disent bonjour ! Et le pire c est que ces scènes se répètent. Bref, ce film est juste nul, je me suis forcé jusqu'à la fin, mais rien ne relèvera le niveau. POur moi c est un navet qui n effraie pas. Je ne comprends pas les notes de certains, presse ou spectateurs confondus ...
Film d horreur argentin qui d après les critiques à fait bonne sensation, alors pour ma part je suis passé à côté, je trouve ça mauvais, gore a souhait, on voit que le réalisateur s est inspiré d évil dead mais alors ce n est Qu une très pale copie. Je me suis ennuyé devant ce navet, je crois que c est le pire film que j ai vu cette année.
Oui il est encore possible de faire des propositions nouvelles avec un genre qui peut paraître aussi usé que le film de possession. When Evil Lurks est un film sale et méchant, qui a une bien piètre vision de l espèce humaine qui transmet plus facilement un mal qu elle ne le combat. Parsemé de plusieurs scènes chocs qui marquent; le film pâtit en revanche de quelques problèmes de rythme et d un final un peu décevant par rapport aux promesses qu il avait fait.
Un petit film de possession démoniaque pas piqué des hannetons, avec une touche argentine de derrière les fagots. Si le film ne révolutionne pas le genre mais apporte une touche violente et fondamentalement méchante. Exit les conventions et les clichés, mais la mise en scène pataude ralentit le rythme de l’ensemble.
Dans un village reculé d’Argentine, deux frères découvrent qu’un homme est possédé par une entité démoniaque. Alors qu’ils tentent de s’en débarrasser sans suivre les rites appropriés, ils déclenchent une chaîne d’événements terrifiants, plongeant leur communauté dans un chaos indescriptible.
Note : ★★☆☆☆ - (2/5) - Décevant
When Evil Lurks démarre sur une note prometteuse avec une atmosphère pesante et crue, soutenue par une esthétique angoissante. Pourtant, le film s’embourbe rapidement dans une narration confuse où les personnages, démunis face à l’horreur, enchaînent des décisions illogiques. Demián Rugna, connu pour son approche viscérale du genre, livre ici un récit brutal mais désordonné. La tension est bien présente, mais la structure manque de cohérence, et les nombreuses scènes de gore, certes saisissantes, finissent par prendre le pas sur l’effroi psychologique.
Point fort : La mise en scène brute et son ambiance poisseuse, qui donnent lieu à quelques séquences marquantes pour les amateurs d’horreur.
When Evil Lurks, film argentin réalisé par Demián Rugna, est une incursion glaçante dans le genre de l’horreur avec son lot de terreur viscérale. Film original et bien inspiré, il suit deux frères ordinaires à qui il arrive des choses tout sauf ordinaires. Les acteurs sont très bons et la direction est maitrisée. Donc un film au top.