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    When Evil Lurks
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    2,8
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    130 critiques spectateurs

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    Eluchi
    Eluchi

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mai 2024
    Très deçu.....je comprend pas les 5 étoiles....aucune tension...mal joué et pourquoi int-16 juste 2 plans dégueu... j'ai quitté la salle avant la fin et aucune emphatique pour les 2 acteurs
    Vinz1
    Vinz1

    191 abonnés 2 462 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2024
    Si ce film aborde le genre dit de « possession » sous un angle différent de tous les ersatz qui ont suivi et pullulé depuis « L’exorciste » de William Friedkin, il n’en demeure pas moins qu’il peut sembler un peu foutraque tant on ne sait pas trop où veut aller le réalisateur. Après, il est vrai que nos deux anti héros ruraux ont l’air bien paumés face aux événements traversés, ce qui fait tout le sel de ce métrage assez haletant tant on ne sait où il nous mènera. Deux bémols pour moi cependant : des pistes scénaristiques sous-exploitées et des protagonistes ne prenant jamais la bonne décision, mais sinon c’est assez original, décalé, trash comme il faut car n’hésitant pas à taper là où ça fait mal et relativement imprévisible pour que l’on tienne tranquillement jusqu’à la fin. Toutefois, je pense l’oublier relativement vite et dans le type de métrages récents détournant les codes habituels propres à leur genre, j’ai largement préféré « Les chambres rouges » qui vous hante encore longtemps après son visionnage !
    Adrien Shoudouz
    Adrien Shoudouz

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Feel good movie qui a sacrément du chien. On en ressort enjayé comme jaja en se disant que c'était pas haché : on en veut engore !
    Crisbon
    Crisbon

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2024
    Le meilleur film d'horreur de l'année sans aucun doute !!! Je sors tout juste de salle, j'ai encore les jambes qui tremblent. Quelle claque !
    Marie Breton
    Marie Breton

    71 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2024
    Vu lors de sa projection dans le célèbre festival Gerardmer, je recommande à tous les amateurs de films « d’horreur/épouvante » d’aller voir « When Evil Lurks », non pas parce que c’est un chef d’œuvre, mais pour l’originalité de son histoire.

    Une histoire si originale qu’elle pourrait presque donner naissance à un nouveau genre de films d’horreur d’ailleurs, tant l’univers imaginé par Demian Rugna s’avère fertile et regorge de ressources pour d’autres futur(e)s scénaristes.

    Pour en revenir au film lui-même, il est donc suffisamment étonnant et original pour éveiller progressivement l’intérêt du spectateur.
    Au départ, on ne comprend pas, et même pire : on se demande si on n’est pas en train de regarder une daube.
    La raison est simple : c’est dans un monde presque parallèle que se déroule cette histoire, et nous aurons besoin de vraiment en comprendre et accepter tous les pré requis avant d’entrer dans le film.

    Une fois cette étape passée, le film argentin remplit pleinement son contrat de divertissement pour amateurs.
    Il y a du rythme, l’histoire est simple, efficace et ne s’égare pas (alors qu’avec une idée pareille, le risque était grand que de trop nombreuses directions soient prises).
    l’écriture d’un scénario si rafraîchissant a dû être un vrai parcours de funambule.
    La réalisation a été parfaitement à la hauteur du projet.

    Cela aurait pu être un très bon film si c’était moins bavard, voire même un excellent film si les dialogues beaucoup moins présents étaient plus évasifs et subtils.

    À voir malgré tout sans hésitation si vous aimez ce genre !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 405 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Prix du public et de la critique au Gérardmer 2024, "When Evil Lurks", littéralement quand le mal se cache, est un film d'épouvante argentin entre possessions et survie liée à une contamination dans un village. En empruntant les codes du cinéma de genre Demián Rugna parvient à insuffler un souffle singulier à son film d'horreur. Toutefois, on n'arrive pas à savoir si on a aimé ou non ce film qui offre de belles séquences d'effrois, mais qui se plante aussi quelques fois dans des explications hasardeuses et avec certains seconds rôles absolument pas crédibles. "When Evil Lurks" a au moins le mérite de ne pas ressembler aux nombreux nanars américains qui sortent chaque mois.
    Véronique B.
    Véronique B.

    4 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Avant première
    Film vraiment décevant.
    Je dirais même ennuyeux et très mal joué ...J'ai tenu 30 minutes.
    Julien Vin-Ramarony
    Julien Vin-Ramarony

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Vu en avant première! Un film d'horreur captivant, When Evil Lurks se révèle être un ajout viscéralement perturbant au canon des films de possession. Un must!
    Fiers R.
    Fiers R.

    116 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2024
    On tient probablement là la claque horrifique de l’année. Et, une fois n’est pas coutume, celle-ci nous arrive d’Argentine, pas forcément une contrée reconnue pour ces productions de genre contrairement à sa cousine espagnole. Durant plus d’une heure et demie, le cinéaste Demian Rugnia, dont c’est seulement le second long-métrage, nous immerge dans un cauchemar éveillé au rythme frénétique, au propos nihiliste et aux visions d’horreur et de violence presque insoutenables. Sur un canevas assez classique du Mal qui se répond entre la possession démoniaque (pour une fois sans connotation ou aspect religieux) et le film apocalyptique de zombies, il tisse un grand huit d’épouvante et de douleur dont on ne ressort pas indemne. On pense à deux autres bombes horrifiques mais bien moins définitif dans l’horreur et le malsain que cette pellicule-là : « It follows » en ce qui concerne cette menace qui s’incarne dans n’importe qui et n’importe quoi et « La Secte sans nom », le premier film sombre et désespéré sur le Mal de Jaume Balaguero. Quant au final ici, il fait froid dans le dos et fait un peu penser à celui de « The Mist » par Franck Darabont pour son défaitisme.

    Bref, aucune lueur d’espoir ici, pas de happy-end et encore moins de moments de répit. « When Evil lurks » est un film d’horreur extrême, jusqu’au-boutiste et cauchemardesque qui pourra en mettre plus d'un mal à l’aise et qui va hanter les nuits de pas mal d’autres. On ne peut qu’être traumatisé par certaines séquences choc, entre gore, saillies de violence inattendues et une ambiance putride, glauque et mortifère comme on en voit peu. Un film d’horreur très intense et véritablement effrayant mais loin d’être bête, qui le courage de ses idées et qui veut faire plaisir à son public de A à Z. Fait très rare, il malmène même des enfants lors d’une séquence proprement incroyable qui vous scotche à votre siège et dont on gardera la surprise pour encore plus de bonds de votre siège.

    Dès les premières minutes, on entre dans le vif du sujet avec la découverte de celui par qui le mal va se répandre : la fratrie composée de ces deux fermiers qui sont les personnages principaux va trouver dans une maisonnette voisine après avoir entendu des coups de feu un « pourri » ou un « infecté » comme ils le disent dans cette région rurale. Quelqu’un d’infecté par le Mal ou le Démon ou Satan, on n’aura pas plus de précisions. Sa représentation est un véritable tour de force technique en plus de nous horrifier : une espèce d’obèse fait de tumeurs géantes et suintantes rongé par la putréfaction jusque dans ses entrailles. Plusieurs séquences avec cette abomination presque plus humaine vont nous retourner le cœur. On peut donc dire que cela commence sur les chapeaux de roue surtout que deux autres scènes du même acabit avec des animaux, des femmes (celle de l’affiche) et des enfants vont nous faire ressentir la même chose.

    Et peut-être que c’est l’un des petits défauts de « When Evil lurks » : Rugnia y va à fond et nous en envoie plein le visage en nous mettant KO dès le départ avec une succession de séquences génialement éprouvantes, aussi terrifiantes que malaisantes. Cela rend donc la seconde partie un peu moins surprenante bien qu’elle soit très bien également. On a l’impression qu’il livre ses meilleures cartouches trop vite même si la fin est, plus moralement que visuellement d’ailleurs, dérangeante. Attention, pas que la seconde partie soit radine dans l’horreur et le gore, il y en a encore mais de manière moins radicale, frontale et impressionnante. Et il manque peut-être aussi de moments pour souffler tant on s’en prend plein les yeux et les oreilles non-stop (mais difficile de se plaindre d’un film qui ne nous laisse aucun répit).

    Enfin, certaines zones d’ombre sont salutaires et quelques questions ouvertes laissent place à l’imagination (comme le devenir d’un rejeton du Mal dont on n’a pas su empêcher la naissance). Le film a, en outre, le mérite de se dérouler dans un cadre rural rare (la pampa argentine) et de montrer comment vivent les paysans. Quant en plus les maquillages et les effets sont impeccables, on peut donc clairement affirmer qu’on a affaire à une petite bombe de l’horreur et du fantastique. Peut-être même le meilleur avatar du genre depuis longtemps, loin des bêtises de la plupart des films de genre actuels (coucou Blumhouse ou le Conjuringverse) mais pas aussi réflexif et parfois ennuyant que les prestigieux rejetons issus de la mouvance « elevated horror » (« Midsommar » ou encore « It follows » justement). Une claque à tous niveaux qui sait instaurer une ambiance délétère et gênante en plus de mettre en scène l’horreur comme un vieux routard, l’énergie en plus. Une petite pellicule à découvrir de toute urgence pour avoir une sacrée dose de frissons mais à éviter si on est sensible ou si on veut éviter tout malaise, vraiment.

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    André Guerrini
    André Guerrini

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2024
    Pas mal franchement pas mal, malgré des défauts évidents que ça soit dans l'écriture, dans la réalisation et surtout dans le jeu d'acteur, par moment c'est franchement limite, mais il n'empêche que malgré que le film soit fauché, il y a des idées folles, et le film pourrait franchement faire flippé, j'espère que ce petit film marchera, mais qu'il y aura un remake (pas Blumhouse), ce film ne doit surtout pas être tout public. Et que ça soit réalisé par le réalisateur actuel, avec un peu plus de moyen et beaucoup plus de développement, que le film s'aventure encore plus loin, sans forcément trop en faire, que ce soit dans le gore ou dans l'histoire du film, je veux en savoir plus je veux en voir plus.
    ED.SALIN
    ED.SALIN

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2024
    Un véritable bijou parmi les films d'horreur récents, ce film offre un jeu d'acteur remarquable et une histoire apparemment ordinaire qui se révèle être orchestrée de manière magistrale. C'est un incontournable pour les amateurs de frissons, car il incarne véritablement l'essence même du genre d'horreur. Une expérience cinématographique captivante qui vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière minute.
    Julien Loeki
    Julien Loeki

    135 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 avril 2024
    Nouveau concept au Gaumont Aquaboulevard (alors que ce dernier doit fermer prochainement pour réfection) : "Le Rendez-vous de l'Horreur" avec cette promesse : tout au long de l'année, une programmation de films de genre pour satisfaire les amateurs de sensations fortes ! Pour cette première édition, ESC Films, qui est plutôt spécialisé dans l'édition "physique", est venu nous présenter ce film interdit aux moins de 16 ans, assez dégoûtant mais pas très bien joué. Le manque de moyens se fait clairement ressentir à tous niveaux, à l'exception des effets "gores" qui sont, pour le coup, assez bien maîtrisés ! Difficile en revanche de vous le conseiller : c'est une purge !
    eZula
    eZula

    1 abonné 49 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2024
    Le cadre et la propagation du fléau apportent quelque chose de nouveau dans le genre. Le dénouement est cependant un peu plus convenu.
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    89 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2024
    Dans son dernier opus, Demián Rugna nous plonge dans une atmosphère sombre et oppressante qui caractérise si bien son univers cinématographique. "When Evil Lurks" se distingue par son habileté à mêler horreur viscérale et critique sociale, une marque de fabrique de Rugna qui s'affirme film après film.

    L'histoire nous entraîne dans les tréfonds d'un village apparemment paisible, à travers les yeux de deux frères confrontés à l'inimaginable. La découverte macabre d'un cadavre mutilé n'est que la préface d'une série d'événements surnaturels qui viendront ébranler leur réalité. Le récit prend une tournure encore plus sombre lorsque l'origine de ces perturbations est révélée : un esprit démoniaque ayant pris possession d'un corps en décomposition.

    La performance des acteurs, en particulier celle d'Ezequiel Rodríguez, Silvina Sabater et Luis Ziembrowski, est remarquable. Ils parviennent à transmettre avec justesse l'angoisse et la détresse de leurs personnages, piégés dans une spirale infernale qui dépasse l'entendement humain. La direction de Rugna, quant à elle, est impeccable, orchestrant une montée en tension qui maintient le spectateur en haleine jusqu'au dénouement tragique.

    La photographie du film, mélange de teintes sombres et de contrastes saisissants, accentue l'atmosphère lugubre et la sensation d'isolement. La bande son, discrète mais efficace, renforce cette ambiance, contribuant à immerger le spectateur dans cet univers où le mal se dissimule derrière chaque ombre.
    EKWA
    EKWA

    105 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2024
    Très sympa comme film d horreur. Pour les défauts l histoire est un peu expédiée par moment (c est pas vraiment un defaut plus un choix artistique) et certains acteur ne sont pas terrible. A côté de ca l image est belle l embiance est maîtrisée et plusieurs scènes sont marquantes et bien méchantes. Le traitement de la pocession est originale et l ensemble de l œuvre est bien viscéral. Malgres ses défauts on se laisse embarquer et au final le film passe très vite tout en captivant tout du long. A voir et revoir !
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