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Votre avis sur When Evil Lurks ?
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Ce petit film argentin aura eu au moins le mérite de tenter de renouveler le genre "possessions" codifié depuis des années dans un certain style, et des quelques scènes réussies, sorties de ces deux détails il ne reste plus grand-chose. Le scénario est nébuleux, et n'est même pas vraiment cohérent dans son propre univers et ce qu'il tente d'instaurer, les personnages font souvent preuve de bêtises et ont l'air constamment ahuris, et la mise en scène laisse franchement à désirer. Une déception malgré quelques idées prometteuses.
Film d'horreur argentin (possession / incarnation) assez original, quoi qu'un peu confus, mais qui n'est pas franchement mauvais. Il a le mérite d'exister. Ce film a trouvé le chemin jusqu'en Europe parce qu'il a un niveau correct, sans plus. On a envie de voir l'évolution de cette histoire, ça c'est positif, par contre ça reste assez plat et sans aucune frayeur. C'est relativement divertissant, mais je ne le visionnerai pas une deuxième fois.
elriad
A l'heure où les films de possession devenus légion sont plus indigestes les uns que les autres, " When Evil lurks", venu d'Argentine, se révèle aussi surprenant que diablement efficace. Pas de têtes qui tournent, de voix d'outre-tombe ou de gelée verte qui dégouline, mais une tension permanente avec des effets gores ponctuels et très réussis.
Une excellente surprise qui prouve que le sujet peut offrir encore un terrain de jeu à condition de sortir du schéma balisé.
Une excellente surprise qui prouve que le sujet peut offrir encore un terrain de jeu à condition de sortir du schéma balisé.
un film d'horreur qui manque cruellement de budget, les acteurs sont pas exceptionnel, la mis en scène est mauvaise, les effets spéciaux moyen, bref......ce film n'est pas terrible, à éviter
Cette histoire de possession est en soi une idée originale. Et l'on découvre peu à peu ce mal qui ronge une ville. Mais il y a trop de comportements bizarres, impulsifs, non cohérents avec la dramaturgie des scènes : un cri succèdera à un chut, une hâche officiera suite à la suppression d'une chèvre, des enfants sont menaçants puis protecteurs, elle aime son fils mais le dépècera dans la minute, la femme qui ne sait rien s'avèrera la femme d'un "nettoyeur",... Le Mal e des effets dévastateurs multiforme et cela part dans tous les sens. La belle trouvaille sera l'idée que
spoiler:
le Mal est coincé dans un corps d'autiste, car il ne comprend pas les réactions du cerveau
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Les acteurs sont anodins et peu sympathiques... Et le pot de concentré de tomate a été exagérément utilisé!
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Les acteurs sont anodins et peu sympathiques... Et le pot de concentré de tomate a été exagérément utilisé!
Nul! Archi nul. Un vrai navet. Doublage en français catastrophique. Certaines scènes a la limite du comique. Je pense que beaucoup de personnes aiment regarder des navets quand je vois les super notes de films totalement nuls comme "late night with the devil" ou encore "midsommar".
Je reste bouche bée....
Je reste bouche bée....
Il n'y a pratiquement rien à sauver de ce film. le scénario ne tient pas la route, les images sont dégueulasses ( sauf quand c'est Gore ), les acteurs sont mauvais, tout comme le film en général !
Film plutôt original dans son exécution. De prime abord on s'attend à un énième film de possession basique, mais en fait c'est beaucoup plus profond que ça. A voir en VO absolument, tant l'ambiance de l'Amérique du Sud est une partie intégrante du film. On navigue entre le dégoût à la manière de l'Exorciste et le violent ultra trash sur des enfants. Les personnages principaux sont complètement paumés et jouent très bien leurs rôles. Certains critiquent la fin, perso je la trouve parfaite. Une très bonne surprise.
La post synchro est abjecte et le film est répugnant, anxiogène à souhait et ça, par contre, j'ai adoré.
Une œuvre d'une intelligence rare.
Une œuvre d'une intelligence rare.
plus de films de ce genre ce ce continent de ce pays, c'est glauque, c'est sale, ça en donne , ça envoie, c'est bien, à voir
Extrêmement violent ce film avec de bonnes scènes gores mais scénario trop bancal pourtant y avait une bonne idée de départ ça reste néanmoins pas si mal.
Film décevant par-rapport à ce qu'on m'a vendu même si le concept est original. Quelques scènes choquantes
spoiler:
comme la scène du chien ou de la hache
mais l'angoisse n'est pas présente et la fin est peu crédible. Heureusement, le côté gore et tordu sauve le film.
Film Oubliable
Je ne vous le conseille pas mais ne le déconseille pas non plus !!
mais l'angoisse n'est pas présente et la fin est peu crédible. Heureusement, le côté gore et tordu sauve le film.
Film Oubliable
Je ne vous le conseille pas mais ne le déconseille pas non plus !!
Annoncé comme une claque dans le cinéma de possession , je m’attendais , non pas au chef d’œuvre ultime mais à un film surprenant et sortant des codes éculés de ce type d’œuvres. Alors certes il y a un climax , une ambiance qui change un peu . Mais par contre à aucun moment ce film m’a suscité un réel enjouement et de réelles sensations de malaise ou d angoisses.certes pas un mauvais film mais qui ne restera pas gravé dans ma mémoire . Mais reconnaissons lui une volonté d’aborder le sujet de la possession différemment . C’était une prise de risque réelle .
When Evil Lurks : Quand Satan décide de sortir de sa retraite pour semer le chaos
Imagine : deux frères tranquilles, un matin comme les autres, décident de se balader sur leurs terres après avoir entendu des bruits bizarres. Le petit-déjeuner passe vite à l’oubli quand ils tombent sur un cadavre bien déglingué et un appareil qui aurait sa place dans un épisode de Saw. Voilà, le décor est planté. On se dit direct que ces mecs auraient mieux fait de rester au lit, parce que ce qu’ils viennent de découvrir, c’est le début d’un joyeux bordel. Bienvenue dans When Evil Lurks, où chaque découverte te donne envie de crier "mais pourquoi vous faites ça, bande d'idiots !?".
On pourrait croire que le sous-genre du film de possession est mort et enterré, vu le nombre de fois où il a été ressuscité à coup de croix et d’eau bénite. Sauf que When Evil Lurks arrive avec une pelle pour déterrer tout ça et te le balancer en pleine face. Ici, pas de prêtres musclés ni de rituels foireux. Non, on te sert du démon en mode rural, à la sauce sauce sanglante, avec une ambiance poisseuse à faire pâlir un épisode de Supernatural. Démian Rugna réussit à faire du neuf avec du vieux en redonnant du peps à un genre qui avait un pied dans la tombe.
Sous ses airs de film d’horreur, When Evil Lurks te balance quelques piques bien senties sur notre société. Les deux frères découvrent que, pendant qu’ils galèrent à combattre le mal à mains nues, ceux qui sont censés protéger les gens sont trop occupés à compter leur pognon. Mais Rugna ne s'arrête pas là, il plonge tête la première dans les traumas du personnage principal, et te montre qu’avant d’affronter un démon, il faut d’abord se battre contre ses propres fantômes. Le mal, ici, n’est pas seulement une créature à abattre, mais une ombre qui te ronge de l’intérieur.
Si t’es du genre à regarder des films d’horreur la lumière allumée, prépare-toi à flipper ta race. When Evil Lurks, c’est du gore bien dosé, des moments de tension à te faire sauter du canapé, et une ambiance qui te laisse pas une seconde de répit. Rugna sait comment te maintenir sur le qui-vive, à chaque scène tu te dis que ça peut pas être pire, mais si, ça l’est. La violence te saute à la gorge et ne te lâche plus, comme une bête sauvage qui a senti l’odeur du sang.
Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, When Evil Lurks te dévoile les pièces d’un puzzle infernal. Chaque élément qui s’ajoute te fait comprendre un peu plus la profondeur du désespoir qui habite les personnages. Ce film, c’est une spirale descendante, une descente aux enfers qui t’aspire et ne te laisse pas respirer. Et quand tu crois enfin voir la lumière au bout du tunnel, Rugna te rappelle que dans ce film, le mal ne se contente pas de rôder, il te prend aux tripes et ne lâche pas prise.
When Evil Lurks, c’est un film qui te réconcilie avec le genre de la possession en te le balançant à la tronche avec une brutalité et une intelligence rare. Rugna ne te laisse aucune porte de sortie, il t’embarque dans une course contre la montre où chaque minute compte, chaque décision peut te coûter la vie. Ce film est un incontournable pour tout fan de cinéma horrifique qui se respecte. Mais attention, après ça, tu vas peut-être revoir ta déco à base de crucifix.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Imagine : deux frères tranquilles, un matin comme les autres, décident de se balader sur leurs terres après avoir entendu des bruits bizarres. Le petit-déjeuner passe vite à l’oubli quand ils tombent sur un cadavre bien déglingué et un appareil qui aurait sa place dans un épisode de Saw. Voilà, le décor est planté. On se dit direct que ces mecs auraient mieux fait de rester au lit, parce que ce qu’ils viennent de découvrir, c’est le début d’un joyeux bordel. Bienvenue dans When Evil Lurks, où chaque découverte te donne envie de crier "mais pourquoi vous faites ça, bande d'idiots !?".
On pourrait croire que le sous-genre du film de possession est mort et enterré, vu le nombre de fois où il a été ressuscité à coup de croix et d’eau bénite. Sauf que When Evil Lurks arrive avec une pelle pour déterrer tout ça et te le balancer en pleine face. Ici, pas de prêtres musclés ni de rituels foireux. Non, on te sert du démon en mode rural, à la sauce sauce sanglante, avec une ambiance poisseuse à faire pâlir un épisode de Supernatural. Démian Rugna réussit à faire du neuf avec du vieux en redonnant du peps à un genre qui avait un pied dans la tombe.
Sous ses airs de film d’horreur, When Evil Lurks te balance quelques piques bien senties sur notre société. Les deux frères découvrent que, pendant qu’ils galèrent à combattre le mal à mains nues, ceux qui sont censés protéger les gens sont trop occupés à compter leur pognon. Mais Rugna ne s'arrête pas là, il plonge tête la première dans les traumas du personnage principal, et te montre qu’avant d’affronter un démon, il faut d’abord se battre contre ses propres fantômes. Le mal, ici, n’est pas seulement une créature à abattre, mais une ombre qui te ronge de l’intérieur.
Si t’es du genre à regarder des films d’horreur la lumière allumée, prépare-toi à flipper ta race. When Evil Lurks, c’est du gore bien dosé, des moments de tension à te faire sauter du canapé, et une ambiance qui te laisse pas une seconde de répit. Rugna sait comment te maintenir sur le qui-vive, à chaque scène tu te dis que ça peut pas être pire, mais si, ça l’est. La violence te saute à la gorge et ne te lâche plus, comme une bête sauvage qui a senti l’odeur du sang.
Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, When Evil Lurks te dévoile les pièces d’un puzzle infernal. Chaque élément qui s’ajoute te fait comprendre un peu plus la profondeur du désespoir qui habite les personnages. Ce film, c’est une spirale descendante, une descente aux enfers qui t’aspire et ne te laisse pas respirer. Et quand tu crois enfin voir la lumière au bout du tunnel, Rugna te rappelle que dans ce film, le mal ne se contente pas de rôder, il te prend aux tripes et ne lâche pas prise.
When Evil Lurks, c’est un film qui te réconcilie avec le genre de la possession en te le balançant à la tronche avec une brutalité et une intelligence rare. Rugna ne te laisse aucune porte de sortie, il t’embarque dans une course contre la montre où chaque minute compte, chaque décision peut te coûter la vie. Ce film est un incontournable pour tout fan de cinéma horrifique qui se respecte. Mais attention, après ça, tu vas peut-être revoir ta déco à base de crucifix.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
On pensait avoir tout vu en matière de films de possession mais ce "When Evil Lurks" réussit à se démarquer de la masse.
Déjà par son absence de limites qui rend l'intrigue imprévisible. Le cinéaste n'hésite pas à s'en prendre aux enfants et ça fait plaisir (?!). On peut saluer les effets gores plutôt réussis et bien amenés. idem pour l'ambiance qui se fait pesante dès les premières secondes.
Quelques défauts de rythme et d'écriture de dialogues mais, à part cela, "When Evil Lurks" est une bonne surprise.
Déjà par son absence de limites qui rend l'intrigue imprévisible. Le cinéaste n'hésite pas à s'en prendre aux enfants et ça fait plaisir (?!). On peut saluer les effets gores plutôt réussis et bien amenés. idem pour l'ambiance qui se fait pesante dès les premières secondes.
Quelques défauts de rythme et d'écriture de dialogues mais, à part cela, "When Evil Lurks" est une bonne surprise.
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