Votre avis sur Parthenope ?
4,0
Publiée le 13 mars 2025
Certes le scénario pas à la hauteurs des images et des acteurs une vraie poésie sur la vie en fond de Naples magnifique
1,5
Publiée le 19 mars 2025
Quel ennui.. bien trop long, bien trop lent, ...
Un scénario confus, des scènes de sexe inutiles, du nombrilisme... la beauté de l actrice semble être l essentiel du scénario, jusqu'à l overdose.et on oublie Naples... exercice de style, intello.
4,5
Publiée le 7 février 2025
Parthenope telle une déesse est adulée dés sa naissance.
Un parrain pour fée Carrabosse, comblera tous ses désirs entre légèreté et insouciance.
Mais la vulnérabilité de son frère, recherchant plus qu'une affection fraternelle, et des parents absents, la plongeront alors dans une existence débridée.
Ne s’avouant pas vaincue, Pathenope prend son destin en main.
Paolo Sorrentino nous mène dans une Naples qui semble figée dans son passé à travers le regard de son héroïne.
Tantôt les reliefs escarpés de la cité napolitaine, iradiés par le soleil nous laisse croire à une vie faite de "calme, luxe et de volupté".
Dès la nuit tombée, sa part d'ombre nous est révélée.
A voir absolument !

Très belle distribution.
2,5
Publiée le 13 mars 2025
Dans la magnifique Baie de Naples se font et défont les amours de notre superbe héroïne. Sûr font de musiques du top 50 italien, on se demande où on va , et on s’ennuie un peu.
3,5
Publiée le 17 mars 2025
Déçu par ce nouveau film de Sorrentino dont La grande belezza a acquis, pour moi, le statut de film culte. J’avais beaucoup aimé Youth, détesté Silvio et les autres et apprécié This must be The place.
Je ne retrouve pas ce génie dans Parthenope.
Comme souvent chez Sorrentino, il a des fulgurances dans certaines scènes, notamment, celle avec l’évêque dans la chapelle du trésor de San Genaro, celle de la « fusion » dans les bas-fonds de Naples, l’arrivée du carrosse par la mer ou la machine qui vaporise du produit sanitaire, bloquant le corbillard, la découverte du fils du professeur (quoiqu’un peu grand-guignolesque). Mises bout à bout, elles créent un univers baroque, mais l’on a un peu de mal à rentrer dans le propos qui finalement se résume à « j’aime Naples » et dont Parthenope, à juste titre, en est l’allégorie.
La jeune (et très belle) actrice est quasiment de tous les plans, à croire que le réalisateur en est tombé (comme sa ville natale) follement amoureux, si ce n’est de manière excessive.
2,5
Publiée le 16 mars 2025
Un film faussement intellectuel qui s'essouffle à partir de la moitié, malgré un début plaisant et des paysages magnifiques. Le film n'a pas beaucoup de substance et on finit par se perdre dans un déluge de non-sens qui nous sort du film. Dommage, car la première partie du film donnait vraiment envie.
4,5
Publiée le 16 février 2025
Vu en avant-première ! Une claque ! La réalisation de Sorrentino, le magnétisme de l'actrice principale de Celeste Dalla Porta, un film à ne pas manquer en ce début 2025.
5,0
Publiée le 18 mars 2025
Un film-monde.
C'est lent, baroque, imprévisible, blasphématoire, excessif, intelligent, bouleversant, très mystérieux.
Un moment à la fois étiré et fulgurant.
Que les gens ironiques passent leur chemin.
C'est très profond, et d'une stupéfiante beauté.
4,0
Publiée le 25 février 2025
Capri, c’est joli, Celeste aussi !

Provocations grossières, manque de rigueur, brouillon, publicité de parfum italien, etc. Le dernier film de Paolo Sorrentino est si mal accueilli au Québec que pareille férocité me donne envie d’en dire du bien.

Notez qu’il n’y a pas que chez nous où "Parthenope" est plutôt mal reçu. Le célèbre site Rotten Tomatoes, par exemple, ne lui accorde que 45% de critiques favorables, ce qui fait pas mal de tomates vertes. Vous voilà donc prévenus: le nouveau Sorrentino ne plaît pas à tout le monde.

Il est vrai que ce nouvel opus peut paraître déroutant tant sa ligne directrice reste floue. Le réalisateur de "La Grande Bellezza" décrit ainsi son film : «Il est né de l’idée que l’aventure du passage du temps dans la vie d’un individu est quelque chose d’épique, de majestueux, de sauvage, de douloureux et de merveilleux.»

La vie racontée, c’est celle d’une femme, nommée Parthenope, que l’on suit depuis sa naissance en 1950 jusqu'à sa retraite quelque 70 années plus tard. Mais on la voit surtout durant sa jeunesse, où sa sublime beauté brise les cœurs, dont celui de son frère, éperdument amoureux d’elle.

Le critique de Cinematografo, Valerio Sammarco, décrit "Parthenope" comme «continuellement suspendu entre la tension vers le sublime et la chute dans l’abîme, peuplé de fantômes mélancoliques». C’est une jolie formule, fidèle à l’esprit de l’œuvre.

Comme le précédent film de Sorrentino, "È stata la mano del Dio", tourné aussi à Naples, "Parthenope" doit beaucoup à un illustre précurseur, Federico Fellini. Comme le réalisateur d’"Amarcord", Sorrentino a préféré au récit classique une série de tableaux, tantôt réalistes, tantôt invraisemblables, le plus souvent éblouissants. C’est parfois un peu long, quelquefois complaisant. Au final, on se laisse charmer. Ou pas.

Un mot enfin sur la vedette du film, Celeste Dalla Porta, qui porte bien son joli prénom. Elle fait ici ses débuts au cinéma. Sa présence lumineuse irradie "Parthenope" de bout en bout. C’est un point sur lequel, je crois, tout le monde s’entend.
3,5
Publiée le 15 mars 2025
Avec "Parthenope", Sorrentino tisse une œuvre d’une beauté renversante. Chaque image frappe comme une peinture vivante, Naples baigne dans une lumière presque irréelle, et Celeste Dalla Porta capte l’écran avec une grâce magnétique. Gary Oldman, lui, apporte une touche de profondeur, entre ironie et mélancolie.
C’est un film envoûtant, d’une élégance folle, mais qui finit par se perdre un peu dans son propre esthétisme. C’est beau, très beau même, mais peut-être trop lisse pour être aussi bouleversant qu’on l’espérait. On aurait aimé sentir un peu plus de chaos sous la perfection.
1,5
Publiée le 18 mars 2025
Quelle deception...Un fantasme de vieil homme on repense à david Hamilton et ses derniers films ...un viol est aussi mis en scène...les féministes ne pourront que lever des oppositions à ce déballage qui encore une fois positionne la femme comme victime.
2,0
Publiée le 20 mars 2025
Il fallait s’y attendre : Paolo Sorrentino a encore frappé. Avec Parthenope, il nous offre une œuvre qui ressemble à une publicité de parfum étirée sur deux heures. Naples y est sublimée, magnifiée, mythifiée – et paradoxalement vidée de toute substance. Comme un plat gastronomique qui aurait oublié d’avoir du goût.

L’histoire ? Une jeune femme au nom symbolique erre dans la ville, contemplant la vie avec la nonchalance d’une égérie Dior sous Prozac. Celeste Dalla Porta, choisie pour incarner cette muse napolitaine, semble moins jouer que poser. Mais ce n’est pas un problème : dans l’univers de Sorrentino, les personnages ne sont jamais vraiment des êtres humains, juste des concepts joliment éclairés.

Évidemment, la mise en scène est somptueuse. Plans séquences léchés, jeux de lumière étudiés au millimètre, ralentis extatiques – chaque image semble crier "Regardez comme je suis belle !". Et oui, c’est beau. Terriblement beau. Mais aussi terriblement vain. Sorrentino ne filme pas Naples, il la fantasme. Ici, pas de chaos urbain, pas de vie réelle, juste un décor de cinéma où chaque pierre semble avoir été retouchée sous Photoshop.

Quant aux personnages secondaires… enfin, “secondaires”, c’est un bien grand mot. Le frère ? Une silhouette. L’ami épris ? Un vague souvenir. Gary Oldman en écrivain américain ? Une apparition aussi absurde qu’inutile. À croire que Sorrentino ne sait plus quoi faire de ses figurants de luxe.

Alors oui, Parthenope est un film d’une rare beauté plastique. Mais c’est aussi un film où l’émotion réelle semble s’être fait la malle. Une fresque somptueuse et creuse, un rêve éveillé dont on sort étrangement indifférent.
Virgil GATINE

25 critiques

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4,0
Publiée le 20 février 2025
C'est un magnifique film de chef op vu au Festival de Cannes, là dessus il n'y a rien à redire. Petit bémol sur l'histoire qui à mon sens pas assez importante et à la hauteur des images sublimes.
4,5
Publiée le 28 mai 2024
Film vu lors du festival de Cannes. Excellent film poétique qui remet en question notre définition contemporaine de l'amour.
4,0
Publiée le 19 mars 2025
Je ne crois pas avoir vu avant celui là un film de ce genre, d'une telle poésie et finesse avec un constant questionnement philosophique tout au long du film sur : la beauté. Et plus précisément la beauté féminine dans une société italienne. Mon côté féministe râle encore une fois à cause de l'abus de sexualisation du personnage de Parthenope... et oui j'en ai marre. Mais après ça s'accorde avec le propos du film mais certains aspects étaient je pense trop poussée et passait la barre de l'abus justement. Pathernope est un personnage fascinant et présentée dès le début comme étant très lucide et intelligente mais qui subit le fait que l'environnement dans lequel elle évolue la considère comme étant d'une beauté reversante. Elle rentre dans les critères de beauté conventionnels. Et donc tout au long du film elle fait face à différentes situations certaines plus dramatiques que d'autres causées par sa beauté. Son évolution est très intéressante, au début elle en joue de cet avantage puis au fur et à mesure au vu des répercussions énormes que ça prend et en constatant que sa beauté ne résout pas tout, elle cherche à s'accrocher à autre chose : son intelligence. Les personnages qu'elle rencontre lui font percevoir différentes facettes d'elle même et la fin du film où elle fait face à ce qu'on considère comme un humain au summum de la laideur elle entreprend en disant qu'il est magnifique. Son rapport à la beauté évolue tout au long du film et j'ai adoré parcourir cette aventure avec elle.
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