Votre avis sur Parthenope ?
2,5
Publiée le 4 juin 2024
C’est l’histoire de Parthenope, de sa naissance à maintenant. Au cœur de Naples, elle évolue dans un monde de liberté et d’insouciance. Le film débute plutôt bien, avec une histoire d’amour et de séduction captivante, bien mise en scène, profitant des couleurs du paysages italien mais dérive trop vite dans une intrigue plus sombre, plus rocambolesque et moins intéressante… L’actrice principale est la révélation de ce film, tant elle crève l’écran. Film vu en compétition à Cannes.
2,0
Publiée le 13 mars 2025
Notez le bruit que fait une baudruche : pffffffhhhhhh…. scheubeuleuleu pfffffhhhhh. C’est l’image que j’ai de ce film, un bien belle baudruche avec de très beaux plans, de très jolis jeunes humains dans de très beaux paysages.
Mais qu’en reste-t-il après l’avoir vu ?
3,5
Publiée le 19 mars 2025
Très joli film sur Naples, Capri et une certaine Italie. L'actrice principale est magnifique, la musique bien choisie, pour un film qui évoque la beauté, le désir, la liberté. Après un peu long et il y a peu d'enjeu sinon de suivre la vie sur plusieurs décennies.
4,5
Publiée le 12 mars 2025
Ce film est une poésie, à la fois sombre et d’une grande beauté comme est la vie, certaines scènes sont sulfureuses, d’autres sont riches avec des idées à foison, beaucoup de métaphores rendent ce film intéressant. un bon moment de cinéma
3,0
Publiée le 11 mars 2025
Parthenope est une jeune femme dont la beauté subjugue toute personne qu'elle croise, telle une sirène napolitaine. Également brillante dans ses études, elle est remarquée par le directeur du département d'anthropologie. En parallèle, Parthénope entretient une relation ambiguë avec son frère, sous les yeux de son ami d'enfance qui est tendrement amoureux d'elle depuis toujours. Son univers s'effondre après une nuit d'amour et un terrible accident. En salle le 12 mars.

spoiler: "Parthenope" est un une œuvre qui a de véritables atouts esthétiques et de mise en scène. Certains scènes m'ont particulièrement marqué tellement les décors, les mouvements des personnages et l'ambiance méditerranéenne en mettent plein la vue. Le personnage de Parthenope est aussi hypnotisant que la sirène dont il est inspiré, tant par sa beauté que par sa mystérieuse psyché : une véritable déesse parmi les hommes dont on ne cesse de se demander à quoi elle peut bien penser. Je regrette que le scénario soit aussi vide. On assiste aux errances de la jeune femme sans quête de quoi que ce soit de bien intéressant, jusqu'à la rencontre avec un espèce de monstre cauchemardesque qui est le point culminant du cringe, puis un final somme toute assez décevant : Parthenope a perdu son emprise sur nous. La beauté d'un film ne fait pas tout !
4,0
Publiée le 25 mai 2024
Pour ma part, le meilleur film de Paolo Sorrentino depuis La Grande Belezza !

Parthenope peut déconcerter au premier abord, semblant aborder l'incroyable beauté de son personnage principal via une fétichisation de son actrice (Celeste Dalla Porta), mais d'entrée de jeu le réalisateur italien filme sa sirène par un prisme de récit antique, tel un conte initiatique !

Dès lors, le long-métrage prendra des allures de récit piccaresque où une femme déifiée par le regard des hommes entreprend un chemin de vie en corrélation avec ses études d'anthropologie. Premiers amours, confrontation à la vieillesse, à la religion, l'érudition..

Sorrentino trouve toujours une approche sensuelle et sensorielle pour aborder ces tranches de vie, portées par une photographie solaire absolument saisissante, et un regard entre le surréalisme et le naturalisme napolitain.

Bref une très bonne expérience !
3,5
Publiée le 16 mars 2025
Très BEAU , j'insiste sur le mot car le film est très contemplatif mais néanmoins passionnant à suivre , film de Paolo Sorrentino qui célèbre là la Jeunesse perdue et fait découvrir une grande , et sublime , comédienne en la personne de Celeste Dalla Porta !
4,0
Publiée le 18 mars 2025
Une belle fresque italienne tout en délicatesse et volupté. L'interprétation de cette magnifique actrice est tout en sensibilité.
2,0
Publiée le 19 mars 2025
Je savais pas qu'au cinéma on pouvais voir des scènes de sexe où il y a juste les parties génitales cachés, ormis ça le film est étrangement sans réel but ou du moins difficile à saisir, c'est l'histoire d'une vie parmis d'autres
3,5
Publiée le 18 mars 2025
Avec Parthenope, Paolo Sorrentino poursuit son dialogue obsessionnel sur la beauté et l’évanescence. Ce portrait d’une femme à la fois objet de fascination physique et intellectuelle, incarnée par Celeste Dalla Porta, convoque tout le cinéma de son cinéaste.

Dès son titre, Parthenope inscrit son héroïne dans la mythologie napolitaine. Fille-sirène échouée sur la côte, légende d’une beauté qui se consume dans son propre chant, Parthenope est ici une jeune femme dont l’existence semble suspendue entre l’admiration qu’elle suscite et le vide qu’elle ressent. Loin de la quête existentielle, elle incarne une jeunesse qui ne se sent déjà plus jeune, un beauté qui se sait éphémère. Sorrentino filme son errance avec la fascination d’un peintre de la Renaissance, traquant la lumière sur sa peau, le reflet d’un monde qui la regarde plus qu’il ne la comprend.

Parthenope fait de Naples un territoire du mythe, un espace où le réel et l’imaginaire se confondent. La ville devient un personnage, une présence qui hante l’héroïne autant qu’elle la définit. Sorrentino y insère des figures masculines : un prêtre âgé, un vieil homme homosexuel et intellectuelle : Eux voit en elle la réminiscence de leurs désirs passés, une figure de papier à laquelle il aimerait donner un destin. Elle lutte pour exister en dehors du regard des hommes, tentant de s’extraire du rôle d’icône qu’on lui assigne. C’est là que le film trouve sa véritable profondeur, Parthenope pose la question de la liberté des corps admirés.

Autre motif troublant : la relation teintée d’une tension érotique avec son propre frère. Sorrentino pousse ici son exploration du désir jusqu’à ses frontières les plus troubles : Parthenope est si enfermée dans son image que l’autre devient un reflet d’elle-même.

Visuellement, Parthenope est une épure dans la filmographie de Sorrentino. Moins baroque que ses précédents opus, il privilégie les plans fixes, la langueur des regards, la contemplation d’un monde où les gestes comptent autant que les mots. Pourtant, cette sobriété nouvelle ne signifie pas l’abandon de la virtuosité et de la surprise.
3,5
Publiée le 16 mars 2025
Paolo Sorrentino enfante de Parthenope. C ' est le nom ancien de la ville de Naples dont ce brillant cinéaste est natif . C ' est également une odyssée de Parthenope héroïne qui vit et que le cinéaste détaille au fil des évènements qui magnifient cette déesse et cette ville aux milles visages et paysages . Cordialement. Gérard Michel
4,0
Publiée le 15 mars 2025
Les paysages sont magnifiques j'ai beaucoup aimé la musique qui est très belle l'actrice principale que je connaissais pas est très talentueuse elle crève l'écran je pense qu'elle va faire une grande carrière par contre je n'ai pas beaucoup aimé son rôle elle a une relation ambiguë avec son propre frère et pas mal de relation sans lendemain et apparemment attiré par les hommes âgés sinon allez y pour les paysages ils sont magnifiques l'Italie.
5,0
Publiée le 30 novembre 2024
Comment faire d’un film un poème ? Il suffit de demander à Sorrentino. Ce film est pour moi un chef d’œuvre, une ode à la grâce, à la beauté, et à l’esthétisme de Naples. Tout le film est beau, tout y est magnifié y compris les sujets parfois graves qui y sont abordés.
L’actrice qui joue Parthenope jeune est simplement parfaite. Sa beauté et sa profondeur nous inondent.
Je retournerai sûrement le voir lors de sa sortie.
4,5
Publiée le 18 mars 2025
🎬 PARTHENOPE - Paolo Sorrentino | ⭐ 8,5/10

Lorsque l'on entend ou lit trop de bien d'un film avant de le voir, les attentes sont trop hautes et l'on est souvent déçu. Parthenope, descendu en flèche par beaucoup depuis sa projection à Cannes, m'a prouvé que le raisonnement inverse fonctionnait aussi.

Car si j'y suis allé un peu à reculons, suite au dézingage en règle subi par le film, j'ai très vite été fasciné par la splendeur des images, grâce à une photographie sublime, faisant de chaque plan un véritable tableau vivant.

Là où la bande-annonce laissait craindre le "male gaze" gênant d'un vieux réalisateur, il n'en est rien, et si Parthenope fait tourner la tête de tous ceux qui la croisent et de celui qui la filme, c'est pour son immense beauté, bien sûr, mais aussi pour sa personnalité complexe et insaisissable, qu'elle qualifiera elle-même de "triste et frivole, déterminée et désinvolte", à la fin du film. Un personnage fascinant qui refuse de se donner à n'importe et qui a deux obsessions, bien éloignées de son apparence : spoiler: avoir de la répartie et comprendre ce qu'est l'anthropologie.


Beaucoup resteront sur le côté de la route, rebutés par le rythme lent du film, ses réflexions quasi métaphysiques, la distance émotionnelle créée par la sur esthétisation de la mise en scène et par le côté pompeux que peut dégager l'ensemble.

J'ai pour ma part été subjugué et hypnotisé par ce faux rythme, le magnétisme de l'actrice principale, Celeste Dalla Costa, et conquis par la galerie de personnages et l'originalité des rôles secondaires : spoiler: un frère rempli de mélancolie et au désir ambigu, un riche poète homosexuel et dépressif, une professeur d'art dramatique excentrique dont on ne verra jamais le visage, un directeur de thèse peu démonstratif mais père d'un enfant tout à fait atypique
...

Produit par Saint-Laurent, Parthenope n'échappe pas à l'exercice de style mais raconte tout de même quelque chose d'intéressant sur la beauté et le temps qui passe.

Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
0,5
Publiée le 10 mars 2025
L’une des plus grosses déceptions de l’année, sans le moindre doute.
Un scénario exsangue, prétexte à se faire pavaner une tribu d’apprentis comédiens ou de mannequins apprêtés, prenant des mines tragiques pour une intrigue digne d’un roman-photo. Des dialogues abscons et totalement prétentieux.
Des décors bling bling, où tout est luxe et volupté, cachant bien entendu un ennui très mondain.
Et enfin une réalisation prétentieuse , m’as tu vu, étouffante et ringarde, sorte de copier-coller des publicités pour parfum de grande marque, nous infligeant des poses aguicheuses et des ralentis accrocheurs
Côté interprétation, grosse tristesse pour Stefania Sandrelli que l’on a pourtant tant aimée, et clin d’œil pour Gary Oldman dont le personnage n’apporte pas grand chose à l’histoire.
Voilà pour l’emballage. Et à l’intérieur ? Rien ou presque. Le scénario sonne creux et paraît néanmoins confus ( il faut le faire tout de même)
Alors, si vous avez gardé un bon souvenir de quelques précédentes pépites de Sorentino, vous pouvez toujours tenter votre chance, à vos risques et périls …
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