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    Comme un lundi
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    islander29
    islander29

    884 abonnés 2 385 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2024
    Il y a des films dont on se souviendra toute sa vie, peut-être même que ces films changent votre vie,
    « Comme un lundi » a une idée géniale, inspirée peut être du film américain, « un jour sans fin », chaque lundi, la semaine se répète.....Le film allie humour subtil et émotion, et peut être au fond parodie-t-il nos vies si bien rangées, qu’au fond sans nous en rendre compte, nous revivons les mêmes semaines au boulot ou ailleurs comme une boucle temporelle ; ( C’est l’idée géniale du film) On peut y penser, même si c’est grossier....Il faut donc briser cette mécanique et c’est tout l’enjeu de cette parodie ironique de notre monde...Superstition sur un collier de diamants verts, l’enjeu est ailleurs et permet au scénario de complexifier notre univers...Les japonais sont subtils, on le savait...Il y a du Gondry dans ce film....Ce que je sais maintenant, c’est que les japonais ont aussi de l’humour et de la créativité. On en redemande, à voir sans hésiter
    Cool_92
    Cool_92

    290 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2024
    Un film assez distrayant au premier abord, voir marrant parfois, mais le concept devient vite ennuyant car mal exploité.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    707 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mai 2024
    Le film se sert du concept de boucle temporelle pour parler de sujets de société importants comme l'aliénation au travail, la solitude, et la hiérarchisation des objectifs. Drôle, bien écrit, et évocateur d'une société qui perd la tête.

    https://cultea.fr/comme-un-lundi-une-petite-surprise-passionnante.html
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    385 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 avril 2024
    Le premier long métrage de ce réalisateur japonais ne m’a pas franchement convaincu. La mise en scène et la direction d’acteurs m’ont paru plutôt chaotiques et pas très bien maitrisés. Cette comédie n’atteint pas vraiment son objectif au niveau humour : on y rit très peu. Enfin, cette boucle temporelle sur la vie au travail de bureau au Japon est même finalement rébarbative et ennuyeuse.

    Bernard CORIC
    tupper
    tupper

    136 abonnés 1 396 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2024
    Derrière sa façade loufoque et superficielle, « Comme un lundi » cache une intéressante critique du travail à la japonaise. Le début est cependant un peu poussif et n’aide pas à entrer dans le film.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 mai 2024
    Rien de pire que le lundi, surtout quand on est pris dans une boucle temporelle. Sans qu'ils ne sachent pourquoi, ces collègues revivent toujours la même semaine de travail. Pour la construction, on est dans le standard du genre. Cela va de la surprise de l'événement, à la tentative de résolution, en passant par la baisse de moral. C'est classique mais toujours aussi efficace. La différence se fait au niveau de l'humour. On est dans un pur délire dont seuls les Japonais ont la maîtrise. Résultat, les rires sont extrêmement nombreux. En prime, on s'attache au personnage de Yoshikawa qui va apprendre de ses erreurs. La touche d'émotion est donc la délicieuse cerise sur le gâteau.
    garnierix
    garnierix

    238 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2024
    Garfield hates mondays : c'est comme ça qu'on aurait pu intituler ce film (Garfield déteste les lundis). Le titre qu'on lui a trouvé en français semble un peu nul. Mais finalement, non.

    Ce film est une fable philosophique. Comme toutes les fables, elle n'est pas destinée à ceux qui ont compris la morale de la fable. Ou alors ils risquent de s'ennuyer (s'ennuieront aussi ceux qui n'aiment pas la fiction, ni réfléchir au ciné). Quant au philosophique, ce n'est pas un vain mot. On est devant une réflexion difficile, utile, moderne, que peu d'entre nous mènent à son terme (question de constitution, d'éducation, de liberté de penser surtout).

    Les animaux de la fable, c'est nous. Ce sont des animaux domestiques. Leur ferme, c'est une entreprise japonaise de communication qui fait du marketing pour d'autres entreprises. Japon, marketing, entreprises, ça sent forcément le capitalisme, ses capitaines et ses soldats. Mais ce film n'est pas une critique du Japon, de l'entreprise ou même du capitalisme. La fable concerne n'importe quel système d'oppression par le travail. Et n'importe quel opprimé.

    On a d'abord la nausée avec ces pastilles de soupe dont l'équipe cherche la pub. On croit longtemps qu'on va faire l'éloge de l'efficacité, de la créativité. Mais on s'orientera sur autre chose, qui conduit à faire un autre éloge (et finalement à l'émotion). On fouille, on trouve, on se trompe. On s'interroge sur les choses inachevées, sur les regrets, sur les rêves, sur la confiance en soi, sur les autres. Sur oser, finalement. -Par exemple, si l'on se sent l'âme d'un auteur de mangas, il faut oser le devenir. Sinon les regrets vous boufferont un jour, en regardant ses petits-enfants jouer avec leurs cerfs-volants. Sinon chaque jour devient comme un lundi ?

    A.G.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 435 abonnés 7 566 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mai 2024
    Votre boss vous harcèle et vos collègues vous épuisent ? Vous n’imaginez pas un seul instant ce que peuvent vivre Yoshikawa et ses collègues. Ces derniers sont piégés dans une boucle temporelle sur leur lieu de travail et doivent vivre toujours et encore les mêmes situations…

    Les films sur les boucles temporelles ne sont pas légion alors, lorsqu’il y en a un qui sort en salles, on ne boude pas son plaisir et on file le voir. Un an ½ après sa sortie au Japon, le film bénéficie enfin d’une exploitation en France, alors est-ce que l’attente en valait la peine ? La réponse est non. Alors certes, faire de cette comédie une satire du monde du travail nippon (avec cette surenchère de compétitivité et de performance entre collègues) était une bien belle idée dans le fond, mais dans la forme, ça ne convainc pas du tout.

    Comme un lundi (2022) repose beaucoup trop sur ses acquis et en devient tellement redondant (et surtout, bien trop long pour ce qu’il a à raconter), que l’on ne tarde pas à s’ennuyer jusqu’au générique de fin. On est bien loin du cultissime Un jour sans fin (1993) d'Harold Ramis (puisqu’il est cité dans le film), face à un manque criant d’originalité, le film nous piège dans une sempiternelle boucle temporelle monotone.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Direct-actu.fr
    Direct-actu.fr

    248 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2024
    "Comme un lundi" offre une perspective rafraîchissante sur le genre des boucles temporelles, combinant humour, divertissement et enseignements précieux. Le film parvient à innover en explorant comment une boucle peut être conscientisée, notamment à travers le symbolisme poignant du pigeon heurtant la fenêtre.

    L'histoire révèle avec puissance la nécessité de changement pour échapper à la répétition, rappelant le classique "Un jour sans fin". Le talent des acteurs et actrices dynamise le récit, soulignant l'importance de l'entraide et du dépassement de soi pour le bien commun. Les répliques bien écrites et le casting efficace assurent un divertissement captivant.

    Le film, bien qu'il ne révolutionne pas le cinéma, offre un moment agréable et éclairant. En explorant la vie quotidienne stressante des employés d'une agence de publicité au Japon, il aborde des thèmes pertinents tels que l'épanouissement personnel, le collectif versus l'individu et le rôle des femmes dans le monde du travail. "Comme un lundi" tire sa force d'une idée originale et de l'expérience personnelle du réalisateur, Ryo Takebayashi, offrant ainsi une réflexion pertinente sur la vie et le travail.
    Les sorties de Philippe
    Les sorties de Philippe

    53 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2024
    Yoshikawa et ses collègues sont piégés dans une boucle temporelle... qui recommence chaque lundi ! Comme Un Jour sans fin (1993) où Bill Murray revit perpétuellement la même journée, ou Edge of Tomorrow (avec Tom Cruise et Emily Blunt, très bon film de SF). Comment trouver la sortie ? Toute l’équipe va s’y mettre ! Pour son premier film, le Japonais Ryo Takebayashi signe une brillante réussite. Le récit commence comme une comédie mais ne se termine pas par une pirouette ou un prétexte facile, non, il prend une dimension plus philosophique, sur le sens de la vie, sur les regrets, les rêves… La culture manga s’insère dans le film… Brillant, amusant, touchant.
    > Plus d’infos culturelles sur mon Instagram "Les sorties de Philippe"
    notillus
    notillus

    21 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2024
    Dommage !
    Voilà un thème que l’on apprécie car il permet d’exploiter une infinité de variations scéniques.
    Et puis on adore cette vision cinématographique japonaise, toujours plus intelligente et intimiste que les films américains.
    Malheureusement l’on sort de la projection mi-figue, mi-raisin !
    On est des le début perturbé par le traitement des séquences répétitives au sein de ce huit clos.
    Car le film se déroule pratiquement que dans un seul lieu, celui de la salle de travail, dans un immeuble de Tokyo.
    Cela bride considérablement le film dans l’exploration des boucles temporelles !
    On revoit avec lassitude et ennui les scènes se répéter encore et encore.
    Malgré de bons acteurs et surtout celui qui interprète le chef de service, on a du mal à ne pas s’ennuyer et surtout à rire (maximum 2 ou 3 rires lors de la projections).
    Le film devient enfin un peu plus intéressant, dés que le processus permettant de terminer cette boucle commence à prendre forme.
    Mais non, le compte n’y ai pas et la seule chose que l’on espère rapidement, c’est de réussir, nous aussi, à s’échapper de cette boucle infernale !
    Cinévore24
    Cinévore24

    350 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2024
    Une semaine sans fin.

    Une relecture japonaise assez sympathique du principe de la boucle temporelle, doublée d'une réflexion plutôt pertinente sur le monde du travail, ses obligations et ses pressions.

    Se déroulant quasi-exclusivement dans les petits bureaux d'une agence de publicité, certains des employés sont conscients d'être bloqués dans cette boucle temporelle, se répétant chaque lundi, et vont tout faire pour que leurs collègues s'en rendent compte à leur tour, et pour qu'ensemble, ils puissent trouver une issue à cette semaine sans fin.

    Malgré une réalisation et un montage plutôt travaillés, j'ai eu d'abord eu un peu de mal à m'immerger dans le film et son dispositif explicatif et un peu redondant, et auquel il me manquait une touche de folie, d'inattendu.

    C'est quand l'histoire bascule dans quelque chose de plus humain et touchant (mettre de côté ses ambitions personnelles pour travailler ensemble et ainsi aider l'un des leurs à enfin penser à lui et à terminer ce qu'il n'a jamais pu terminer tout seul) que celle-ci m'a plus parlé.
    Privilégier le groupe pour valoriser chacune des personnes qui composent celui-ci et redonner confiance à chacune d'entre elles.

    Entre rêves et regrets, une comédie sociale et décalée qui marche mieux dans sa seconde moitié à mes yeux.
    Parce que le collectif permet de se sentir plus fort et soutenu. Parce que c'est en travaillant ensemble qu'on peut s'en sortir. Et parce qu'on veut tous connaître la fin de l'histoire.

    Une satire contre-la-montre assez plaisante à suivre, même si celle-ci n'est clairement pas au même niveau que «Un Jour sans Fin», le film-référence en la matière. 6,5/10.
    traversay1
    traversay1

    3 686 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2023
    Ce qui est exquis avec le concept de boucle temporelle au cinéma, c'est qu'il permet toutes sortes de déclinaisons : fantastique, romantique, dramatique, comique ... C'est ce dernier registre qu'a choisi Ryo Takebayashi avec Comme un lundi, pour son premier long-métrage, tout en l'inscrivant dans le cadre d'une vie de bureau, au sein d'une agence de communication. Dans cet Open Space Opera, on est heureusement loin de Stupeur et tremblements, mais cela ne prive pas le film de raconter des choses plutôt pertinentes sur le monde du travail, avec ses carriéristes, ses désabusés, ses acharnés et ses discrets (et les tire-au flanc, alors ?) . Si l'on parle fréquemment de "boucler" une affaire, l'expression prend un sens bien particulier dans le film avec ces semaines qui, du fait d'un dérèglement temporel aux origines inconnues (l'explication viendra, et elle est tirée par les cheveux, mais peu importe), se reproduisent à l'identique et à l'infini. Takebayashi traite son sujet avec un esprit pop endiablé, rejouant sans cesse les mêmes scènes avec des angles de vue et des durées (parfois subliminales) variés, testant la résistance du spectateur aux répétitions, jusqu'à l'extrême limite. Mais cela passe, grâce au dynamisme de l'ensemble, à la qualité de l'interprétation et aux idées loufoques du scénario. De quoi réfléchir pour chacun d'entre nous à sa propre routine au travail et voilà, la boucle est bouclée.
    AZZZO
    AZZZO

    309 abonnés 823 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Réaliser un remake de "Un jour sans fin" est une vraie gageure. Ce film a tellement marqué l'histoire des comédies que toute reprise ne saurait échapper au pastiche.
    Ouf ! Ryo Takenayashi a su éviter le piège piège en confinant sa boucle temporelle dans un bureau et, ce faisant, en apporte une approche sociale au thème. A cette réflexion métaphorique pertinente sur l'aliénation par le travail, il faut ajouter l'originalité de la mise-en-scène. Deux bonnes raisons de se prêter au jeu en espérant ne pas rester coincé dans ce film.
    Jipéhel
    Jipéhel

    64 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2024
    Work in Japan

    Le thème du « jour sans fin » a souvent été exploité au cinéma. Mais pour son 1er film, le japonais Ryo Takebayashi tente de renouveler le concept, d’abord en l’élargissant à une semaine et en faisant un pur huis clos dans le monde du travail. Votre boss vous harcèle ? Vos collègues vous épuisent ? Vous ne voulez plus retourner au bureau ? Vous n’imaginez pas ce que traversent Yoshikawa et ses collègues ! Car, en plus des galères, ils sont piégés dans une boucle temporelle... qui recommence chaque lundi ! Entre deux rendez-vous client, réussiront-ils à trouver la sortie ? Une comédie à la fois loufoque, sociale et fielleuse. 83 minutes qui passent plus vite qu’un lundi. Une jolie surprise.
    Pour mieux comprendre ce film, il faut dire qu’au Japon, il n’est pas mal vu de dormir au travail : au contraire, c’est perçu comme le signe qu’un salarié donne tellement de sa personne qu’il lui faut récupérer. Ces salarymen destinés à servir l'entreprise qui les paie en échange d'un sacrifice inestimable se comptent par millions au pays du Soleil-Levant, où la réussite professionnelle à tout prix, le dévouement sans limite sont des valeurs maîtresses. La cible principale de ce film reste le système hiérarchique pesant jusqu’au ridicule, qui règne dans le monde du travail nippon – ni mauvais -. Cette semaine sans fin ne se résume donc pas à un banal « métro, boulot, dodo » car on ne sort pas de ce bureau où s’installe une sorte de spirale infernale faite de monotonie et de répétition du quotidien rendant soudainement la vie sans issue. Et Il faudra beaucoup de solidarité, d’humour et de créativité à tous les personnages pour réussir à se sortir de cette boucle démentielle.Le message de ce film me fait penser à Gandhi qui disait Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.
    Makita Sports et Wan Marui et leurs comparses portent cette réflexion sur le sens du travail, la nécessité de vivre ses rêves et de se montrer solidaires. Une satire filmée comme une sitcom, avec un scénario assez astucieux pour tenir en haleine. Un 1er film ingénieux au montage virtuose pour une satire jubilatoire des mœurs et des frustrations de beaucoup de nos contemporains.
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