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    Kinds of Kindness
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    2,8
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    66 critiques spectateurs

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    aïssa f.
    aïssa f.

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    2,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    bien que le début soit très en et qu'on soit tenté de s'accrocher au fil du temps le décrochage est inévitable. la durée du film y est peut-être pour quelque chose...
    Pierre-Alain P
    Pierre-Alain P

    5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    Les acteurs sont très bons et la mise en scène sympa, mais je ne suis pas pleinement rentré dans le "délire ". Pour moi, c'est nettement en dessous de "Poor Things" qui est bien plus intéressant. Les deux premiers segments sont intéressants mais hélas inaboutis. Le troisième est pas terrible. Mais je pense que les réactions face à ce type de films sont purement subjectives: on rentre dedans ou pas. Comme pour certaines oeuvres de Lynch ou Cronenberg par exemple. Mais Lanthimos reste un cinéaste à suivre. Il a le mérite de proposer des contenus originaux et de garder une certaine radicalité.
    Adrien J.
    Adrien J.

    52 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    Une œuvre particulièrement bizarre et déconcertante qui parle de relations toxiques et du fait de vouloir tout donner à l’autre. La photo est très belle et certains passages sont vraiment atypiques, mais le film est étiré en longueur de façon déraisonnable. C’est interminable, on s’ennuie un peu trop devant tout ça. Kinds of Kindness est une proposition singulière nulle doute là dessus, mais une proposition sûrement trop excentrique aussi…
    Marie de malestroit
    Marie de malestroit

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    Un film affreux mêlant le malsain et l’ennui!
    Je suis sortie du cinéma tant je me suis sentie oppressée!
    Zola Ntondo
    Zola Ntondo

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    Kinds of Kindness, réalisé par Yorgos Lanthimos, est une fable en triptyque qui explore trois histoires distinctes, chacune avec son propre univers et ses personnages. Voici un aperçu des trois segments du film :

    L’homme sans choix : Ce premier volet suit un homme qui tente désespérément de reprendre le contrôle de sa vie, malgré les circonstances qui semblent le piéger. Sa quête pour retrouver sa liberté le mène dans un monde étrange et déconcertant.

    Le policier inquiet : Le deuxième volet met en scène un policier dont la femme, disparue en mer, réapparaît soudainement. Cependant, spoiler: elle semble être une personne différente,
    ce qui suscite des inquiétudes et des interrogations. Le film explore les thèmes de l’identité et de la transformation.

    La femme déterminée : Dans le dernier volet, une femme est obsédée par la recherche d’une personne spéciale dotée d’un pouvoir mystérieux. Cette quête la conduit à travers des paysages étranges et des rencontres surréalistes.

    Kinds of Kindness aborde des thèmes profonds tels que le pouvoir, le contrôle, le libre arbitre et les relations humaines. La narration complexe et les performances des acteurs, dont Emma Stone, Jesse Plemons et Willem Dafoe, font de ce film une expérience cinématographique unique.
    Bien que certains critiques aient qualifié le film d’« antipathique », il reste un chef-d’œuvre audacieux qui ne laisse pas indifférent. Si vous êtes prêt à plonger dans un univers étrange et à réfléchir sur la nature humaine, Kinds of Kindness mérite certainement votre attention.
    Larry T.
    Larry T.

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2024
    Performances d’acteurs exceptionnelles avec une mention spéciale pour Jesse Plemons, dans ce triptyque surréaliste autour de l’emprise, de l’aliénation de soi, du sectarisme. Les personnages et les histoires se répètent et se confondent comme dans les romans de Paul Auster ou de Patrick Modiano. On ne sait plus vraiment où on en est, qui est qui, et quel lien établir entre ces trois histoires qui se développent dans des variations de plus en plus malsaines. Une grande créativité scénaristique. Quelques longueurs et la bande-son bruitiste peut parfois agacer. Mais toujours ce sens du détail si singulier chez Yorgos Lanthimos, dans la direction d’acteurs, la mise en scène. Ce rythme atypique, ces silences, ces dialogues mêlant absurdité, violence infinie, indifférence, dans une perdition des êtres glaçante.
    Pascal
    Pascal

    136 abonnés 1 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2024
    Le titre ( présenté en CO Cannes 2024) est composé de trois sketches ( à titre personnel, le troisième m'a un peu moins emballé que les deux premiers) interprétés par les mêmes acteurs, qui rendent compte de la folie des hommes ( ou des femmes) à l'époque moderne.

    La difficulté pour le spectateur, réside dans l'interprétation de ce qu'on nous montre et qu'il devra faire lui-même, à un propos pas toujours limpide ( et pour cause puisque la raison est laissée au placard).

    Manipulation, emprise, frustration sexuelle, sexualité débridée, psychopathes, narcissisme on a ici affaire à une galerie de personnages en complète perte de repères, dotés d'une toxicité démesurée ( et pourtant parfaitement intégrés socialement dans les registres les plus élevés)

    Il y a ( de mon point de vue) certains liens thématiques et stylistiques avec le travail de Ruben Ostlund couronné auparavant à Cannes, dans ce " Kinds of Kindness".
    BillBoo
    BillBoo

    8 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2024
    En plus d'être très inégal, le gros défaut de Kinds of Kidness est sa longueur (2 h 44), qui ne donne pas du tout envie de revisionner le film pour tenter d'y comprendre des points de scénario qui nous auraient échappés.

    Lánthimos sépare son récit en trois histoires aux thématiques différentes. La première – peut-être la plus accessible – spoiler: montre la relation toxique entre un cadre et son supérieur. Robert est prêt à se plier aux désirs les plus extrêmes, car il sait que désobéir à son patron le condamnerait à l'ostracisme. Preuve en est, lorsqu'il refuse un service : sa femme le quitte, les gens l'ignorent, les cadeaux qu'on lui a fait lui sont repris. Le pouvoir de vie ou de mort qu'a le patron sur ses salariés est bien amené, car, à l'instar de ceux qui font pendre la menace du licenciement, Raymond met Robert au ban de la société, et le remplace par une autre personne, Rita, qui, elle, acceptera de franchir la ligne rouge.


    La deuxième histoire se penche spoiler: sur une autre relation nauséabonde, avec, cette fois, une femme rescapée d'une île déserte qui revient différente, avec un désir charnel accru pour son mari. On sait qu'en cas de survie, la libido est à son plus bas, mais d'après les dires de Liz, ce sont les rapports sexuels qui lui ont le plus manqués, par-dessus la faim, la soif et la solitude. À son retour, sa relation avec Daniel prend des tournures violentes, masochistes. Daniel finit par sombrer dans la démence.


    La dernière histoire dévoile aussi spoiler: la dépendance d'une personne à un groupe – en l'occurrence, une secte –, et son désir de se purifier du mal qui l'habiterait. Son cas vire au cauchemar lors des retrouvailles avec son mari, qui use de procédés infects pour commettre des atrocités. Et, comble de l'horreur, la secte la rejette d'avoir été "souillée". Culture du viol à lire entre les lignes, bien sûr, couplée au désir d'appartenir à des groupuscules sectaires.




    On retrouve bien un point commun à ces trois histoires : des relations à fuir. Mais on peut avoir du mal à assembler toutes les pièces du puzzle géant de Lánthimos. Je ne pense pas avoir compris les thématiques soulevées par l'intrigue spoiler: autour des nageuses, par exemple, ni la scène de la cassette vidéo, ni pourquoi Daniel demande à Liz de se couper un doigt pour lui.


    Le labyrinthe est trop grand, trop copieux, trop abscons pour ma pauvre petite personne. Mais je reste demandeur de l'originalité du cinéma de Lánthimos !
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    307 abonnés 574 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    A voir pour les deux premières histoires ( surtout la premiere). Pas mal de scène un peu sanglantes et violentes qui peuvent choquer le spectateur non averti. Yorgos reste un réalisateur disruptif et qui mérite sa place dans le monde du cinéma
    O DLB
    O DLB

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juillet 2024
    Un film intéressant sur l’emprise et la quête du bonheur, largement desservi par une longueur interminable et injustifiée… Les scènes de violences, physiques ou psychiques sont volontairement dérangeantes. Elles dénoncent la part la plus sombre de notre société. Le réalisateur démontre, de façon peu subtile et caricaturale, que l’emprise et la sauvagerie n’ont jamais disparu au travers des âges. Le casting est incroyable, le jeu performant. En revanche, la longueur enlève tout intérêt à l’œuvre…
    Noudz Seka
    Noudz Seka

    4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2024
    tres trouble en sortant dd pauvres créatures mais agréablement surpris
    mais cette fois ci un peu compliqué un tres bon debut mais la suite tout aussi perturbante est moins appréciable pour ma part
    mais toujours une grosse part de risque et dinventité pour ce realisateur
    A souligner le jeu des acteurs toujours aussi bon
    shoshynette
    shoshynette

    9 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    Inconfortable. Il m a fallu du temps pour en sortir…
    Malaise total. Jeux d’acteurs formidables néanmoins
    Bunny
    Bunny

    10 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    Ce film est comme un médicament pas bon. C'est un miroir qui nous rappelle que nous sommes trop gentils de rester dans la salle jusqu'à la fin.
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    14 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 juillet 2024
    « Du trash au glauque»
    J’avais beaucoup aimé « Pauvres créatures » du même réalisateur malgré ses moments malaisants. Là c’est toujours malaisant mais en plus cela vire au glauque. Les acteurs n’en sont pas moins excellents. Mais on peu parler d’emprise, thème des 3 histoires du film, sans ces étalements peu ragoutants. Je ne recommande pas. Int-12 ans.
    NonmaisAlloquoi ?
    NonmaisAlloquoi ?

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2024
    L'affiche m'a attirée alors j'y suis allée ... en aveugle. Pour Willem Dafoe ... Les acteurs sont excellents, l'ambiance du film est dérangeante et c'est probablement ce que recherchait le réalisateur. Pour ça, il a réussi. Pour le reste, je ne sais pas où il veut réellement en venir. Je ne pense pas être assez psy pour ce film. Je veux dire par là, que je n'ai pas tout compris et donc, je pense qu'il faut être, psychiatre, psychologue et/ou être sous psychotropes pour apprécier ce film. Le point positif c'est que c'était la fête du cinéma alors à 5,00 €, ça allait car pour moi, ça ne vaut pas plus. Et 2h45 c'est déjà long mais quand on sort déçue c'est très très très long. Bonne séance.
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