Kinds of Kindness
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136 critiques spectateurs

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lionelb30
lionelb30

469 abonnés 2 649 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 1 juillet 2024
3 histoires différentes avec les meme acteurs. L’idée est bonne , la réalisation pas mal , les acteurs bien avec mention pour emma stone mais histoires très atypique qui peut rebuter.
LNKRDRN
LNKRDRN

5 abonnés 765 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 1 juillet 2024
Un film légèrement ennuyeux.

Le film paraît à plusieurs moment extrêmement aléatoire sur son contenu. C'est à la fois bien car il en est imprévisible et à la fois pas bien car les situations manquent de sens.

Mis à part son casting, il n'y a pas grand chose à mettre sous la dent si ce n'est que quelques rires de temps en temps...

Il y a quand même une mise en scène assez bien faite et intéressante. Hélas, ça ne fait pas tout.

À voir pour les curieux.
Miami_Chorize
Miami_Chorize

11 abonnés 237 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 juillet 2024
Le cinéma de Yorgos Lanthimos suscite des réactions très contrastées : en gros, soit on aime beaucoup, soit on déteste. Je me reconnais plutôt dans la première catégorie, depuis "The Lobster".

Qu'est-ce qui m'a plu dans ce film-ci ? D'abord le jeu des acteurs. Emma Stone est une fois de plus formidable (son importance croissant d'une histoire à l'autre), tout comme Willem Dafoe, Jesse Plemons et Margaret Qualley. Ces acteurs réussissent le tour de force d'interpréter chacun (de manière convaincante) trois personnages différents, puisque le film est divisé en trois.

J'ai aussi aimé l'espèce de puzzle que représente cette construction en trois parties, chacune étant elle-même quelque peu énigmatique. Cela oblige à faire chauffer les méninges (un peu comme quand on se retrouve face à "Mulholland Drive" de Lynch).

Je reconnais que c'est parfois un peu brumeux, mais franchement, quand on est bien dedans, cela devient presque un jeu.

Indice : spoiler: chaque partie illustre une forme d'aliénation mentale, reliée à l'évolution du monde contemporain
.
Pierre842
Pierre842

27 abonnés 229 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 juillet 2024
Le film "Kinds of kindness" est divisé en 3 parties pour 3 histoires. Je l'ai apprécié de le regarder. Je n'étais pas déçu du film.
Il y a 3 histoires dans le film qui sont indépendants mais ils sont reliés par certains sujets. Surtout les niveaux psychologiques, pour moi c'était très mis en avant sur l'aspect psychologique. Être bien vu par les autres. Faire des choses pour les autres. La limite de l'amour et de la gentillesse.
Les 2h44 du film passe très bien. C'est bien rythmé, j'étais absorbé par les 3 histoires. Il y a de l'humour qui est très bien passé dans certaines scènes. Même où tu t'attendais pas tout. C'était aussi de l'humour noir à certains moments.
Emma Stone comme dans son précédent film. Je l'ai adoré elle était excellente, une grande actrice. Jesse Plemons il était excellent, je comprends qu'il a eu le prix d'interprétation Masculine du Festival de Cannes. Je dirais pourquoi pas un Oscar l'année prochaine. Le casting était un gros point positif du film. Ils ont tous fait un super travail.
Je pense que j'irai le voir une deuxième fois mais en VF cette fois.
Ufuk K
Ufuk K

545 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 1 juillet 2024
"Kinds of Kindness" mal noté par la critique, en compétition cette année au festival de Cannes est une comédie noire moyenne dans l'ensemble. En effet le réalisateur grec Yórgos Lánthimos qui m'avait enchanté avec "La Favorite" et "Pauvres Créatures" m'a déçu avec ce long-métrage trop long (2h44), inégal, souvent bancal qui évoque les travers de la société américaine d'une manière radicale, dérangeante et violente avec un casting royal (Emma Stone, Willem Dafoe, Margaret Qualley et Jesse Plemons sacré meilleur acteur au festival de Cannes cette année).
Edith Jacquinot
Edith Jacquinot

1 critique Suivre son activité

0,5
Publiée le 1 juillet 2024
J'ai résisté à la tentation de partir en cours de séance sans doute par masochisme devant un film interminable qui accumulé les scènes gorges, et dérangeantes dont aucune émotion ne se dégage et qui est interminable.
Laura Castelli
Laura Castelli

1 abonné 1 critique Suivre son activité

0,5
Publiée le 30 juin 2024
3h de perdu, je suis vraiment déçu.
En plus d'être énervée car ils veulent absolument coller des gens à poil toute les 3 secondes.
Passez votre chemin.
lex
lex

1 critique Suivre son activité

1,0
Publiée le 30 juin 2024
Suite à "Poor things" je pensais aller voir quelque chose d'au moins tout aussi intéressant.
Le 1 sur 5 c'est pour les acteurs que je ne remets pas en question. Ils font du bon boulot. Le reste...

3h de métrage cruel, pour nous asséner à coup de gourdin que l'humanité est méprisable, détestable et j'en passe... Déjà j'avais pas besoin de 3h de film pour le savoir et ce qu'il se passe à l'écran et d'autant plus cruel que rien ou quasiment rien ne le justifie. Les personnages sont détestable simplement parce qu'ils le sont. Aucune trame narrative là dedans ou presque, juste quelques lignes sur un post-it pour justifier que les acteurs bougent à l'écran. Mettre en scène la manipulation, les agressions et toute autre forme de violence ne veut pas dire être intelligent ou avoir de l'esprit et faire de l'art ne veut pas dire dédaigner son public.
Un film tout aussi cruel pour ses personnages que pour les spectateurs qui le regarde. Entre les suites de franchises à n'en plus finir et ça il devrait y avoir un équilibre...

Bref pourquoi rester jusqu'au bout alors que tout est tout le temps pire ? C'est la question que je me suis posé en regardant le film d'un homme qui a décidément beaucoup à régler avec lui même. Aucun problème avec ça en soi mais dans ce cas, qu'il n'entraine pas les autres avec lui.
À ceux et celles qui ont sincèrement rit en y voyant un réel humour, je leur dis prenez soin de vous et posez vous des questions....

Malsain, sans aucun intérêt si ce n'est de flatter des égaux tout aussi tordus que celui d'un homme qu'on met sur un pied d'estale à tort.
GAA
GAA

1 abonné 24 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 juin 2024
J’ai adoré ce film avec ses 3 chroniques sur la dépendance affective et la folie ordinaire. C’est surprenant et dérangeant.
SpiderGogo
SpiderGogo

49 abonnés 108 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 30 juin 2024
C’était intéressant et je me suis pas ennuyé durant ces 2h44 mais ça reste le projet le plus faible de Yórgos de tout ce que j’ai vu de lui. Le problème c’est que les trois histoires sont très inégales, la première est sûrement la plus réussie et celle qui mériterait un long-métrage dédié (Jesse Plemons vole le show ici). La deuxième est clairement la plus « trash » et celle-ci est vraiment plus inégale dans ce qu’elle veut raconter spoiler: la fin avec la « vraie » femme qui revient me laisse perplexe
. Et la troisième a sur le papier le concept que je trouve le plus intriguant mais elle s’arrête un peu brusquement je trouve et aurait gagné à durer un peu plus longtemps.
Un retour au style de ses premiers films, à voir pour les fans du réalisateur mais qui divisera clairement. Le casting est vraiment top en tout cas (Emma Stone toujours ma chouchoute).
Rodolphe35
Rodolphe35

13 abonnés 71 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 30 juin 2024
Je déteste dire qu’un film est mauvais, mais c’est mon ressenti en sortant de la salle. Le propos du réalisateur est de montrer à quel point l’aliénation est possible dans toutes sociétés mais les choix scenaristiques poussent l’histoire de l’absurde à l’abject voir l’insoutenable et ce dans une mise en scène qui se veut détachée ou spectatrice. Le réalisateur était sans doute fasciné par ses acteurs…il oublié de faire un film
Brice Fauché
Brice Fauché

6 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 juin 2024
Un moment de surprise et puis la fascination. Des acteurs extraordinaires dans des rôles si différents. Un moment de cinéma et un travail sur la domination d’une rare force.
Tintin Emilou
Tintin Emilou

4 abonnés 37 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 29 juin 2024
mais 5/5 pour les comédiens au top. Quel dommage cette musique et ces plans inutiles. A vous de voir
Yves G.
Yves G.

1 576 abonnés 3 593 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 29 juin 2024
Trois films en un.
Un employé (Jesse Plemons), dont chaque détail de la vie quotidienne est régi par son patron (Willem Dafoe), décide de se libérer de ce joug tyrannique avant de regretter sa décision.
Un policier (le même Jesse Plemons) sombre dans la folie après la disparition de sa femme (Emma Stone) et son retour inespéré.
Deux adeptes d’une secte sont à la recherche de l’Elue.

Yórgos Lánthimos compte décidément parmi les réalisateurs les plus stimulants de l’époque. Il est difficile de trouver dans sa filmographie un seul titre qui ne soit pas fascinant : "The Lobster" (prix du Jury à Cannes en 2015), "Mise à mort du cerf sacré" (le film préféré de mon fils cadet), "La Favorite" (neuf nominations aux Oscars et la statuette de la meilleure actrice pour Olivia Colman), "Pauvres Créatures" (Lion d’or à Venise à 2023)…

Dans cette liste prestigieuse, Kinds of Kindness, tourné à la Nouvelle-Orléans pendant la postproduction de "Pauvres Créatures", avec un budget de 15 millions de dollars – contre 25 pour "Pauvres Créatures" – pourrait presque faire figure d’oeuvre mineure, de trou normand entre deux réalisations plus substantielles. Exit la dystopie inquiétante de "The Lobster", les décors et les costumes géorgiens de "La Favorite", le gothique steampunk de "Pauvres Créatures", l’action de "Kinds of Kindness" se déroule banalement dans l’Amérique d’aujourd’hui. Cet entremets, aussi mineur soit-il, a quand même été sélectionné en compétition officielle à Cannes et Jesse Plemons y a emporté le prix d’interprétation masculine.

"Kinds of Kindness" – un titre déconcertant – est un film à sketches en trois volets platement mis bout à bout. J’ai déjà souvent dit les réticences que m’inspirait ce genre. J’ai l’impression d’être face à des ébauches, trop courtes et trop pauvres pour constituer à elles seules la substance d’un seul film. Je plonge dans l’une qui se termine trop vite, avant de zapper à une autre. Je suis irrémédiablement condamné à les hiérarchiser et à reprocher aux sketches que j’aime le moins d’être moins convaincants que les autres.

Pour autant, "Kinds of Kindness" n’en reste pas moins mille fois plus intéressant que le tout-venant cinématographique. Comme le dit excellemment l’excellente Marie Sauvion : « Le travail de Yórgos Lánthimos, de fait, ne captive jamais tant que par l’abîme qu’il ouvre ». Les trois sketches du film sont joués par le même casting plaqué or : Emma Stone, que je place tout en haut de mon Olympe depuis "La La Land" évidemment, Willem Dafoe qui réussit à bientôt soixante-dix ans à être toujours aussi excellent et toujours aussi diablement sexy, Margaret Quilley, dont l’expressivité du jeu me comble depuis que je l’ai découverte dans une pub pour Kenzo en 2016, Jesse Plimons qui a amplement mérité sa statuette cannoise….

Comme les autres films de Yórgos Lánthimos, "Kinds of Kindness" nous plonge dans un délicieux malaise. S’il fallait trouver un lien entre ces trois sketches, dont ni les personnages ni les histoires ne sont reliés, c’est peut-être le sujet qu’ils traitent. Et là encore, le plus simple est de citer Marie Sauvion : « Libre arbitre, servitude volontaire, foi aveugle, sadomasochisme, tout pose question, ici, à commencer par ce qu’on est capable de faire ou d’endurer par amour ». L’ambiance est lourde, oppressante ; elle contraste avec le soleil omniprésent du sud des Etats-Unis et les tenues décontractées des personnages. Le malaise est amplifié par la caméra, ses lents travelings, ses plans en fisheye qui distordent les lignes de fuite, sa musique qui alterne les tubes les plus addictifs (je n’arrive pas à me sortir "Sweet Dreams" d’Eurythmics de la tête depuis hier) et les partitions atonales de piano.

"Kinds of Kindness" contient au moins trois scènes d’anthologie, à hurler de rire ou d’horreur. Elles valent à elles seules le détour.
Francoise Joudrier
Francoise Joudrier

2 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 29 juin 2024
Film qui renoue avec l'étrangeté du film The lobster.
Ou comment l.humain se débat dans ses peurs d.etre bannit, mis au ban du groupe, . Ce film interroge sur les règles, lois érigés par un pouvoir, par le chef. Par l.abus de pouvoir.
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