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    Commando
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    2,7
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    308 critiques spectateurs

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    Bertrand Mendoza
    Bertrand Mendoza

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2024
    Ce film n'est certes pas du grand cinéma, mais, je reste client de ces films d'action totalement de cérébré. Ici, pas de scénario alambiqué, juste de l'action, et des répliques devenues cultes malgré elles. Le film est court, 1h27. C'est vraiment à voir ne serait-ce qu'une fois.
    Laurent Boutonnat
    Laurent Boutonnat

    8 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2024
    Film d'action de série B, presque un téléfilm voire un nanar. Schwarzenegger est comme à son habitude dans une sorte de rôle de super-héros, à la limite de la caricature absurde. Les dialogues sont parfois ridicules. Le scénario est totalement classique, on a déjà vu ça 1000 fois dans les films hollywoodiens. Toutefois, Commando sent bon les années 80. Sur la fin, il y a même un passage assez gore avec un bras arraché. Il n'y a aucun trucage par ordinateur, ce qui donne un aspect réaliste à l'ensemble. Un film idéal pour les adolescents ou pour les nostalgiques des années 80...
    Fred B.
    Fred B.

    10 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2024
    Vu le 21/03/2024.
    Commando c’est toute ma jeunesse à la Schwarzy, c’est typiquement le film parfait pour l'acteur américano-autrichien, de la baston, des punchlines mortelles, des fusillades et de gros exploits musculeux.
    Dans ce film Arnold (John Matrix) ne s'en laisse pas compter pour retrouver sa fille enlevée par des ravisseurs dont l'un, Bennett (joué par Vernon Wells), a une curieuse ressemblance avec Freddie Mercury. Au programme, une poursuite en voiture, puis en hydravion et dans un centre commercial où notre héros s'imagine en Tarzan où il va récupérer et éliminer un par un chacun des ennemis qui ont contribué à son enlèvement au début du film. Des beignes, de la fusillade, des punchlines bien senties comme celle offerte à Sully (joué par David Patrick Kelly) "je t'avais dit que je tuerai en dernier Sully, je t'ai menti" ou encore son combat dans le motel contre Cooke (joué par Bill Duke, qui avait déjà joué avec Schwarzy dans "Predator") "des bérets verts, j'en mange deux au petit déjeuner". La fusillade finale est mémorable où le colosse va anéantir plus de 50 soldats à lui seul à coup de mitraillettes, de lance-roquettes voire même d'outils de jardinage.
    J'ai bien apprécié aussi le rôle de la jolie Rae Dawn Chong (Rae Dawn Chong ) qui ne s'en laisse pas compter non plus en matière de réplique et on peut y voir les débuts de Alyssa Milano et un second rôle très rapide pour Bill Paxton.
    Bref, "Predator" c’est la crème de la crème de Schwarzy qui se balade avec un tronc d'arbres sur l'épaule et qui soulève une cabine téléphonique avec un gars à l'intérieur, mais c’est un max de plaisir années 80.
    DarkSchneider
    DarkSchneider

    88 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2024
    Ce film est unique, j'avais 13 ans la première fois, avec les copains ont étaient comme subjugués par ce que l'ont regardaient, c'est un classique des 80' qui a inspirés bien des choses, jeux video, films..

    Le scénario est très basique est alors, c'est pas ce qui est demandé, l’intérêt du film c'est arnold, c'est un film fait sur mesure pour arnold, le voire porter des cabines d'ascenseurs à bout de bras, affronter une armée à lui tout seule, et répliques spoiler: ( le dérangé pas il est mort de fatigue, ou est sully, je l'ai laissé tombe )
    .

    L'histoire ben, un président déchu enlève la fille d'arnold et il a tant de temps pour réussir sa mission, simple, efficace.

    Encore un plaisir coupable à voire et revoir,
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2024
    Un classique d'action culte des années 80

    Produit par Joel Silver, imaginé par Joseph Loeb III, Matthew Weisman et Steven E. de Souza, et écrit par ce dernier, avec beaucoup d'affection et d'humour. Puis efficacement réalisé par Mark L. Lester avec une agréable photographie de Matthew F. Leonetti et un montage énergique de Mark Goldblatt, Glenn Farr et John F. Link, accompagné d’une bande originale sur mesure de James Horner, "Commando" est un grand film dans son genre et dans son époque, qui est devenu culte à juste titre.

    Avec une distribution parfaite d’actrices et d’acteurs qui donnent le meilleur d'eux-mêmes au fur et à mesure que le film spoiler: évolue sans temps mort, permettant ainsi à Arnie d’élargir sa liste de citations emblématiques – de courtes blagues et de remarques spirituelles – à la vitesse de l’éclair tout au long du film, et Alyssa Milano et Rae Dawn Chong qui ajoutent une touche mignonne à leurs personnages perspicaces
    , ce film d'action emblématique des années 80 est un véhicule parfait pour Arnold Schwarzenegger.

    Sa conception astucieuse le rend globalement appréciable dans le temps avec spoiler: un affrontement final entre deux ex-commandos « black ops » – John Matrix qui se bat pour sa fille contre le corrompu et maléfique Bennet qui veut s’enrichir par la tyrannie
    .

    Il y a un projet de préquelle en développement, mais la question principale demeure : « Est-ce qu'Arnie revisitera John Matrix avant la fin de sa carrière, avec Rae Dawn Chong et Alyssa Milano ? » Espérons-le, car il y a de la place pour une bonne intrigue avec leurs personnages vieillissants.

    4.7/5
    Balor69
    Balor69

    20 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    A voir sans se poser de questions. Les invraisemblances se succèdent tout au long du film.ce cher Schwarzy trucide à tout vas les méchants qui ont enlevé sa petite fille chérie.
    Il est secondé par une adorable hôtesse de l'air avec qui il vas sauver sa fille. Passons sur la scène de l armurerie qui est d un ridicule,surtout quand l hôtesse de l air tire au lance roquette sur le fourgon.
    Conclusion un beau navet des années 80 comme seul les ricains savent le faire.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    60 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2024
    Un dictateur sud-américain déchu enlève la fille de Schwarzy pour l’obliger à tuer le dirigeant en place, et ça ne lui plaît pas du tout. Il a 11 heures pour la retrouver. Facile d’imaginer la suite… pour notre plus grand plaisir. Schwarzenegger c’est Stallone en père avec une (légère) touche d’humanité et une (légère) touche d’humour, comme le shopping d'armes au bulldozer.
    Black_Knight93
    Black_Knight93

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2023
    Ça a été la pire expérience de ma vie, Une vraie perte de temps. Ce film était nul de bout en bout durant les trois quarts du film il y a que du dialogue et du bla-bla sans intérêt et la scène d’action dure 5 minutes le méchant est naze le protagoniste j’en parle même pas. Franchement je vous déconseille ce film il est très mauvais.
    Le foutoir du bis
    Le foutoir du bis

    51 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 décembre 2023
    Notre body builder préféré se retrouve en tête d’affiche d’un des films les plus jouissifs de tous les temps !
    Doté d’une autodérision à toute épreuve, Arnold Schwarzenegger ne lésine pas sur les moyens pour sauver sa fille de Benett et sa bande.
    Un film comme on en fait plus, à ranger au panthéon des meilleurs films d’action des années 80.
    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2023
    Film d'action, réalisé par Mark L. Lester, Commando est un long-métrage peu original mais franchement intense. L'histoire nous fait suivre John Matrix, un ancien colonel menant désormais une vie paisible avec sa fille Jenny, qui va se voir contraint à reprendre du service. En effet, son ancien supérieur, le général Franklin Kirby, lui rend visite dans sa maison isolé pour le prévenir que des membres de son ancienne unité se sont fait assassinés par des mercenaires dont il ignore l'identité, et en profite pour lui affecter des soldats pour sa sécurité. Seulement, les ennemis parviennent à retrouver John et kidnappent sa fille. S'engage alors une course contre la montre afin de sauver son enfant unique, accompagné d'une hôtesse de l'air rencontrée en chemin. Ce scénario ne brille pas par l'originalité de son intrigue mais s'avère efficace à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. Le ton est donné dès les premières secondes et s'étale sur toute sa durée. Ça ne fait pas dans la finesse, au contraire, c'est même très bourrin, en témoigne les nombreux échanges de coups de feu à l'arme lourde et les grosses explosions causant de nombreuses morts. L'action est non stop, ne faiblissant jamais, donnant ainsi beaucoup de rythme à l'ensemble. De plus, les scènes sont ambitieuses et de grande ampleur, offrant de la diversité dans les péripéties et une bonne dose de violence. Il faut dire que l'enjeu est capital, d'où toute cette effusion de sang, notamment provoquée par la tête d'affiche jouant le rôle principal. En effet, c'est Arnold Schwarzenegger qui interprète ce père aimant prêt à tout pour sa progéniture. Ce rôle lui sied à ravir grâce à son physique impressionnant de golgoth. Le reste de la distribution comporte entre autre Rae Dawn Chong, James Olson ou encore la jeune captive incarnée par Alyssa Milano. Les antagonistes campés par Vernon Wells, Bill Duke, David Patrick Kelly et Dan Hadaya, sont eux très clichés mais charismatiques. Tous ces individus entretiennent des relations viriles, soutenus par des répliques bien senties et teintées d'humour, particulièrement mémorables. L'ensemble est très bien réalisé par Mark L. Lester. Sa mise en scène dynamique ne permet pas de s'ennuyer un seul instant et évolue dans des environnements se renouvelants tout du long. Ce visuel est accompagné par une b.o. de qualité, très présente, signée James Horner. Ses compositions percutantes et apportant de la tension sont en total accord avec les images. De plus, on ressent également parfaitement le bruit des déflagrations et des impacts de balles, à la faveur d'une ambiance sonore travaillée. Cette vengeance meurtrière s'achève sur une fin sans surprise mais tout de même satisfaisante, venant mettre un terme à Commando, qui, en conclusion, est un long-métrage réussi méritant d'être visionné.
    Jean Ingalls
    Jean Ingalls

    1 abonné 102 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Commando est le film ultime dans sa catégorie, il dure précisément 1h26 hors gérérique de fin (1h31 le director's cut), et du début à la fin c'est non-stop, Arnold est au sommet de sa condition physique. Les scènes et les dialogues sont cultes que ce soit de l'arrivée du colonel Kirby, à l'attaque de la maison, à la poursuite qui s'en suit... Chaque scène démonte, il y a des défauts certes mais s'en fout c'est du lourd c'est bourrin comme il se doit. Les répliques sont énormes et beaucoup de cinéphiles les connaissent par coeur, Commando appartient à ces films au doublage Français d'anthologie, à l'instar de Scarface. J'ai déjà essayé la version orginale, l'accent d'Arnold n'est pas terrible mais la VF est plus savoureuse avec ses punchlines au rythme bien senti.
    C'est toujours aussi délirant et fun à redécouvrir, c'est le film que je visionne une à deux fois minimum par an. On ne s'en lasse pas. Il faut voir Schwarzy arracher une cabine téléphonique, jouer les tarzans dans un centre commercial, faire du shopping nocturne dans une armurerie, être libéré d'un panier à salade par une donzelle armé d'un lance-roquettes, détruire une armé entière. D'ailleurs la scène de la cabane est aussi très jouissive, il se sert de tout ce qu'il a sous la main, disque à scie circulaire, machette, fourche.
    D'ailleurs la version ciné offre déjà des passages bien saignants, le director's cut agrémente cette scène de quelques plans allongés où l'on aperçoit les personnages à l'agonie, c'est parfois trop appuyé voir exagéré et pas du plus bel effet, on comprend le cut final pour la version ciné car c'est des passages marquants qui freinent du coup le rythme, le temps que le spectateur s'en remette.

    One voit pas le temps passé, tout va assez vite. Alyssa Milano qui campe le rôle de la fille de John Matrix est encore très jeune mais on décèle déjà le futur canon.
    La composition de James Horner est aussi un élément clef qui donne à Commando une dimension certaine qui va au-delà du simple film de série B classique qui s'oublie aussitôt terminé, or là nous sommes bel et bien en présence du plus gros film d'action des années 80, décompléxé à mort, qui ne cherche pas à se la raconter, c'est détendu et fendard. C'est la grande classe, la fameuse scène où Matrix se prépare pour la guerre une fois arrivé sur l'île. Et c'est à ce moment où le film donne tout ce qu'il a dans le bide - et pourtant on nous a déjà bien gâté jusque là - on en a pour notre argent même si on grille pas mal de choses comme les mannequins postés un peu partout lors des différentes explosions ou encore le doubleur de Schwarzy qui s'efforce d'éviter de zieuter l'objectif.
    Y'a pas à tortiller, Commando c'est un film de mâle pur et dur. Puis ça se conclu joliment pour apaiser les esprit après tout ça, avec sur bon pop rock de Power Station "We Fight For Love" avec une partie de l'accroche de l'époque : Somewhere... Somehow... Someone
    Luck Seven
    Luck Seven

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2023
    Commando est sans aucun doute un de mes films d'action préférés, grâce notamment au grand talent d'acteur naissant d'Arnold Schwarzenegger pour le genre. Sûr il n'y a pas vraiment d'histoire développé, la mission de sauvetage de la fille de John Matrix n'étant qu'un prétexte pour toute l'action jouissif et dynamique qu'offre tout le reste du film.
    Un sacré spectacle pour les yeux, accompagné de répliques et de punchlines bien badass, comme par exemple lors d'un combat entre Matrix et un des antagonistes:

    spoiler: - T'as la trouille mon salaud, mais tu devrais. Parce que le béret vert devant toi va te buter la gueule ! - J'avale trois bérets vert au petit déjeuner, et justement j'ai très faim !


    Une de mes répliques fétiches ^^

    De plus Matrix ne manque pas d'ingéniosité pour se débarrasser de ses ennemies, comme par exemple spoiler: tuer discrètement l'un d'eux dans un avion siège passager, tout en faisant croire qu'il dort
    ou encore spoiler: menacer l'un d'eux en le suspendant dans le vide d'une falaise
    .

    Sans être un chef d'oeuvre, le film est une bonne séance pour passer du bon temps et qui tiendra sans problème en haleine !
    Ricco92
    Ricco92

    223 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2023
    Le cinéma d’action des années 80 est généralement synonyme de gros bras. 1985 en est certainement l’année la plus emblématique car elle est celle des deux œuvres les plus représentatives de ce genre par les deux plus grosses stars de cette époque avec d’un côté Rambo II : La Mission pour Sylvester Stallone et Commando pour Arnold Schwarzenegger.
    Si le premier film adopte un ton relativement sérieux, le second lui n’hésite pas à jouer à fond la carte du second degré. Il ne faut jamais chercher la moindre once de crédibilité dans ce qui nous est présenté spoiler: (on le comprend dès la réapparition de Bennett alors que la réalisation ne lui avait aucunement laisser le temps de se cacher pour éviter l’explosion qui servait à le faire passer pour mort)
    et il est impossible de croire réellement aux exploits physiques du personnage de Matrix spoiler: (sa présentation où il porte un tronc d’arbre sur son épaule a marqué toute une génération)
    . De même, il est difficile d’accepter réellement aux comportements des personnages spoiler: quand on voit que Matrix enchaîne les petites phrases humoristiques alors qu’il craint pour la vie de sa fille ou que Cindy rejoint celui-ci dans la voiture de son plein gré alors que quelques instants auparavant elle pensait qu’elle risquait sa vie avec lui
    .
    Et pourtant, c’est justement ce manque de crédibilité qui fait toute la saveur de Commando. Le film de Mark L. Lester assume totalement son aspect de pur divertissement testéroné typique des années 80 et devient par là-même un des fleurons du genre. Il est difficile de s’ennuyer tant le rythme est trépidant et tant le scénario de Steven E. de Souza arrive parfaitement à alterner entre scènes d’action décomplexées (ne cherchez pas à avoir une pensée pour les différentes morts collatérales) et un humour omniprésent qui devient dès lors la marque de fabrique de Schwarzy (ses petites phrases sont devenues culte).
    Il faut également remarquer que, s’il ne présente pas une mise en scène extraordinaire (encore que l’iconisation de Matrix lors de son introduction, inspiré de l’aveu même du réalisateur par le travail de Leni Riefenstahl, et de la séquence de son arrivée sur l’île sont exemplaires), le film bénéficie d’une musique très mémorable (bien que James Horner se soit inspiré très fortement de sa propre composition pour 48 Heures) et d’acteurs qui semblent vraiment prendre beaucoup de plaisir. Si on apprécie le charme de Rae Dawn Chong ou de la très jeune, à cette époque, Alyssa Milano et la méchanceté caricaturale de Dan Hedaya, Vernon Wells (faisant penser à une caricature gay de Freddie Mercury), David Patrick Kelly ou Bill Duke, c’est clairement Arnold Schwarzenegger qui tire son épingle du jeu. Pouvant offrir un jeu moins monolithique que pour les personnages de Conan, Terminator ou Kalidor, il joue à merveille de son physique impressionnant et de sa décontraction légendaire qui le différencie de son concurrent Stallone.
    Ainsi, si Commando est objectivement un film moins important que Predator ou Terminator, il reste une œuvre emblématique de son acteur principal (peut-être même la plus représentative de son style) qui n’ennuie jamais et qui, pour une fois, ne souffre jamais de son aspect caricatural et du manque de crédibilité grâce à un second degré totalement revendiqué. Un pur plaisir !
    Jujuunderwood
    Jujuunderwood

    19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2022
    Magique ! Un vrai film des années 80 a l américaine. Arnold est superbe, les combats sont géniaux, pas une seconde on s ennuie et puis Alyssa Milano.... ! A voir et revoir
    Gérard Menvussa
    Gérard Menvussa

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    Commando offre un rôle inoubliable au boss des films d’action des 80’s, Arnold Scwharzenegger. Bourré de répliques cultes à mourir de rire (« Je t’avais dit que je tuerai en dernier ? Je t’ai menti »), ce film d’action est jouissif. Sa mise en scène est ultra-dynamique, son rythme est parfait, on n’a jamais le temps de s’ennuyer. On sent l’héritage des principes de la Cannon. Mention spéciale pour la scène dans laquelle Arnold porte un slip maillot de bain du plus bel effet. Cette tenue rétro permet une mise en valeur de son corps body-buildé et on se rend compte qu’on a vraiment affaire à un athlète hors du commun. L’acteur navigue sur un petit bateau et doit sortir de l’eau, cette astuce permet de bien voir en détail sa musculature. Le bas de son corps est en réalité aussi musclé que le haut et c’est vraiment impressionnant. C’est vraiment agréable de revoir cette scène aujourd’hui, à une époque où le corps des femmes est beaucoup plus souvent mis en valeur que celui des acteurs masculins.
    Les scènes d’action sont impitoyables et on prend un plaisir infini à voir le héros dézinguer tous ceux qui se mettent en travers de son chemin. Ici, pas de morale, pas de retenue dans le nombre de victimes, on ne fait pas de quartier ! On est bien loin des films d’action édulcorés d’aujourd’hui…
    Une référence du genre, pas de fioriture ni de fausses notes dans ce spectacle total, que les studios Hollywoodiens feraient bien de revoir aujourd’hui pour s’en inspirer.
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