Juste honteux j'ai pas les mots pour fetishiser un tel cancer qui gangrene no rues depuis 10-15ans et tues des personnes honnêtes qui n'ont rien demandés....
J'ai pris la peine d'emprunter le film en médiathèque pour le voir intégralement chez moi. Un film incroyablement creux ! On nous fait perdre notre temps. Intrigue complètement irréaliste partant d'une héroïsation "A PRIORI" d'un certain milieu plutôt irresponsable. Du cinéma de remplissage. Je précise pour que je suis septuagénaire, binational franco-maghrébin, électeur PS pendant 40 ans
Il nous est demandé de donner un avis objectif, c'est donc ce que je vais faire. J'ai regardé ce film car je souhaitais me faire mon propre avis après avoir vu les critiques très nombreuses. Pour aller au concret, ce film n'est pas bon. Rien ne va que ce soit au niveau du scénario ou de l'idée véhiculée.
"Rodeo", le dernier opus de Lola Quivoron, représente le parfait exemple d'un film où la médiocrité atteint des sommets inexplorés. Dès le générique, on est plongé dans l'absurdité d'un scénario aussi dénué de sens que la filmographie de l'actrice-réalisatrice elle-même. Lola Quivoron semble être parvenue à la conclusion qu'un montage de scènes sans lien logique pouvait être considéré comme un chef-d'œuvre postmoderne. Cependant, la réalité est que le film ressemble davantage à une mosaïque maladroite de clichés mal interprétés.
Le jeu de Quivoron en tant qu'actrice est une performance digne d'un atelier de théâtre pour débutants. Son expression faciale est aussi figée que son talent, et son interprétation monotone donne l'impression que chaque ligne de dialogue a été récitée après avoir été apprise par cœur sans la moindre compréhension du contexte. On a l'impression que la caméra a capturé une ébauche d'actrice en pleine répétition, plutôt qu'une performance digne d'une production cinématographique.
En tant que réalisatrice, Quivoron ne fait guère mieux. Les choix de mise en scène semblent être le fruit du hasard, sans cohésion ni direction artistique. Les scènes s'enchaînent de manière chaotique, comme si le montage avait été confié à un stagiaire sous-qualifié. Les transitions abruptes donnent l'impression que le film a été assemblé par un logiciel de montage automatique, ignorant toute notion de fluidité narrative.
Le scénario, s'il est possible de l'appeler ainsi, est une succession de clichés éculés qui semblent avoir été tirés d'une corbeille à idées de films rejetés. Les dialogues, vides de toute substance, semblent avoir été écrits en cinq minutes sur un coin de table de café. Le manque d'originalité et de profondeur dans l'intrigue donne l'impression que le script a été rédigé par un générateur aléatoire de scénarios.
"Rodeo" est non seulement une déception cinématographique, mais aussi un témoignage accablant du manque de compétence de Lola Quivoron en tant qu'artiste polyvalente. Le film ne laisse aucune empreinte mémorable, si ce n'est celle d'un échec retentissant qui restera gravé dans les annales du cinéma comme un exemple de ce qu'il ne faut pas faire. En résumé, "Rodeo" est une expérience cinématographique à éviter à tout prix, à moins que l'on ne recherche activement un somnifère visuel déguisé en film d'art et d'essai.
Une pure daube, aucun intérêt. Même un reportage documentaire 90 min action est bien plus agréable à regarder. Mal joué, aucune morale, acteurs sans talent. Bref Histoire sans intérêt
Mon avis est basé sur les 20 premières minutes, puisque j'ai abandonné ensuite tellement les acteurs sont pathétiques dans leur caricature. Ça hurle sans arrêt, il n'y a pas une phrase complète ou même correcte. Je crois qu'on essaye de nous plonger dans une certaine ambiance, mais pour ma part c'est une ambiance que je n'aime pas du tout.
Chronique de Julia, jeune fille libre et indomptable, vivant de menus larcins habitée par une rage de vivre intense tout comme l’est son amour pour les motos et la vitesse qu’elles procurent. Son chemin croisera celui de voltigeurs, milieu assez viril dont certains ne l’accepteront pas et celui d’Ophélie, femme au foyer attendant le retour de prison de Domino, le chef du gang. Puissant, incandescent et onirique (quelle fin !) voilà le superbe portrait d’une jeune fille vivant pour sa passion dévorante.
Porté par la rage de son actrice, un récit d’émancipation féminine énergique, plein de bruit (de moteur…) et de fureur, visuellement séduisant, mais le scénario n'est en revanche pas très emballant.
Un très mauvais film basé sur un scénario inepte. Il faudra un jour se décider à arrêter ces mascarades qui prétendent révéler les forces souterraines de la société et se targuent de montrer ses marges avec la "force" des acteurs non professionnels. Tout cela n'est qu'un cache sexe apposé sur un néant cinématographique.
J'avais beaucoup aimé la bande annonce d'où émanait une certaine poésie, j'aurais du m'en contenter. Enorme déception, des personnages sans âmes voire carrément antipathiques, une histoire un peu creuse, des dialogues très limités voire bas de plafond. Bref une perte de temps.