AlloCiné
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Votre avis sur Rodéo ?
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Je suis parti au bout de 40 minutes.Il est vrai qu'une dizaine d'ados dans les 1ers rangs rigolaient ensemble et que c'était difficile de rentrer dans le film.
Mais quand même j'ai trouvé le (début) du film ennuyeux et scolaire.Un film de bon élève de la Femis, qui reprend les concepts à la mode, la manière de filmer désormais classique (caméra à l'épaule), avec un scénario sans surprise et une mise en scène laborieuse.
Bref un film pour les critiques de cinéma.J'ai préféré rentrer chez moi lire un bouquin.
Mais quand même j'ai trouvé le (début) du film ennuyeux et scolaire.Un film de bon élève de la Femis, qui reprend les concepts à la mode, la manière de filmer désormais classique (caméra à l'épaule), avec un scénario sans surprise et une mise en scène laborieuse.
Bref un film pour les critiques de cinéma.J'ai préféré rentrer chez moi lire un bouquin.
Film très particulier qui m'a mis assez mal à l'aise.
Je me suis attaché au personnage sans a un seul instant envier ce qu'elle ou ce qu'ils vivaient.
Voir l'apologie de ce genre de vie a travers ce film est a mon avis complètement erroné.
C'est passer a côté.
C'est leur vie.
En tous cas, c'est un film dont tout un débat peut se mettre en place.
Bon film
Je me suis attaché au personnage sans a un seul instant envier ce qu'elle ou ce qu'ils vivaient.
Voir l'apologie de ce genre de vie a travers ce film est a mon avis complètement erroné.
C'est passer a côté.
C'est leur vie.
En tous cas, c'est un film dont tout un débat peut se mettre en place.
Bon film
Je suis affligée de voir toutes ses critiques qui ont été écrites par des gens qui n'ont clairement pas vu le film. Le film ne parle de rodéo urbain à proprement parler que 20min, sans en faire l'apologie à aucun moment (vu le dénouement tragique du début du film c'est loin d'en faire l'apologie).
Rodéo est un film sublime, superbement maîtrisé de bout en bout, sur l'adrénaline, la perte de repères, une jeunesse décadente mais également sur l'amour des motos, ça sent la suie, ça nous prends aux tripes.
Rodéo est un film sublime, superbement maîtrisé de bout en bout, sur l'adrénaline, la perte de repères, une jeunesse décadente mais également sur l'amour des motos, ça sent la suie, ça nous prends aux tripes.
Film qui n’a rien à voir à la vrai vie , rien ne ce passe comme dans la vie réel style rodéo , cliché sur cliché vol de moto , sa ne représente en rien le cross bitume , la qualité vidéo du film est perturbant caméra qui bouge super rapidement etc et l’histoire n’a ni queue ni tête ! Je ne critique jamais mais c’est une sacrée perte de temps
Tres beau film bourré d’énergie avec une actrice magnifique! Bravo Lola Quivoron pour ce premier film sensible et fougueux.
Très beau film de societé qui expose la vie des rodéos, une pratique bien ancienne où souffle un vent de liberté et de révolte. On a tous commencé par faire du bruit en mettant un bout de carton avec une pince à linge sur la roue arrière d’un vélo qu’on voulait vombrissant. Félicitations
Personnages du film antipathiques qui se soucient peu des conséquences sur les autres de leurs actions. Le film au contraire les excuse. Sinon que de poncifs avec une mise en scène chichiteuse qui se la joue...
Dans les années 60 on voyait surgir les mauvais garçons en blouson de cuir et les courses de bolides. Le film s’appelait “La Fureur de Vivre” et James Dean devenait l’icône de toute une generation.
En 2022, alors que la cause des femmes continue à avancer et à faire vaciller nos sociétés patriarcales, Lola Quivoron signe un film dérangeant mais bien mieux maîtrisé que “Titane” auquel je l’ai instantanément compare.
Milieu des rodéos périrurbain, grosse concentration de testosterone, vrai “amazone” et bad girl au milieu de ces “apaches” du bitume et qui n’a rien d’aimable à l’écran.
Ce film est en apparence un “effraye bourgeois” si l’on ne prend pas la peine de gratter à sa surface et d’y voir un récit initiatique et l’espoir d’un monde où les differences de genre s’estomperaient. Derrière leurs carapaces de super macho, les addict du cross bitumes sont des grands enfants qui vivent en bande et savent verser rune larme quand l’un d’entre eux finit aux urgences.
Comme dans les récits de banlieues, ils sont également nombreux à vouloir s’arracher d’un milieu qu’ils savent voué à entrainer leur mort ou leur emprisonnement.
Par des mouvements de camera nerveux et une photographie exigeante, Lola Quivoron réussit à créer l’immersion.
On peut juste regretter une fin laisse libre à l’interprétation de chacun et qui en ont laisse plus d’un face à un gros point d’interrogation.
En 2022, alors que la cause des femmes continue à avancer et à faire vaciller nos sociétés patriarcales, Lola Quivoron signe un film dérangeant mais bien mieux maîtrisé que “Titane” auquel je l’ai instantanément compare.
Milieu des rodéos périrurbain, grosse concentration de testosterone, vrai “amazone” et bad girl au milieu de ces “apaches” du bitume et qui n’a rien d’aimable à l’écran.
Ce film est en apparence un “effraye bourgeois” si l’on ne prend pas la peine de gratter à sa surface et d’y voir un récit initiatique et l’espoir d’un monde où les differences de genre s’estomperaient. Derrière leurs carapaces de super macho, les addict du cross bitumes sont des grands enfants qui vivent en bande et savent verser rune larme quand l’un d’entre eux finit aux urgences.
Comme dans les récits de banlieues, ils sont également nombreux à vouloir s’arracher d’un milieu qu’ils savent voué à entrainer leur mort ou leur emprisonnement.
Par des mouvements de camera nerveux et une photographie exigeante, Lola Quivoron réussit à créer l’immersion.
On peut juste regretter une fin laisse libre à l’interprétation de chacun et qui en ont laisse plus d’un face à un gros point d’interrogation.
Ce film mérite d’être vu ! Une bande son très en accord avec l’œuvre, un bon jeu d’acteur, une histoire qui ne laisse pas indifférent. Ne vous fiez pas aux faux avis des personnes qui n’ont jamais vu le film et qui ont juste suivi un debile à la TV. A aucun moment ce film montre de la violence contre les policiers, puisqu’on n’en voit pas du film, il n’est pas question des rodéos en pleine villes dans cette œuvre.
De la belle grosse 💩
Ni plus, ni moins...🤷♂️
Enfin... peut-être "un peu" plus, finalement...🤔⁉
Ou peut-être même moins, d'ailleurs...!😬!
Ni plus, ni moins...🤷♂️
Enfin... peut-être "un peu" plus, finalement...🤔⁉
Ou peut-être même moins, d'ailleurs...!😬!
Ce film ne fait pas l'apologie des dangers publics comme certains peuvent l'affirmer, il met en lumière une pratique sportive certes vertigineuse mais qui se pratique sur des routes de campagne sécurisées (comme le montre le film) et non dans les villes ou sur des passages piétons... je suis très choquée de lire autant de violence à l'égard de ce film qui porte à l'écran un personnage féminin (enfin!) qui arrive à faire sa place dans un univers exclusivement masculin. L'actrice nous emporte avec elle tout au long du film et nous communique sa force. La mise en scène est très maitrisée, les acteurs respirent le vécu et la sincérité. Merci d'oser porter à l'écran des histoires ambitieuses, merci de révéler des têtes qu'on ne connait pas dans le cinema français, et merci de nous montrer les coulisses du cross bitume. Hâte de voir le prochain!
Benito G
Au-delà de la polémique stérile et stupide, entretenue par des personnes n'ayant pas vu le premier long-métrage de Lola Quivoron qui montre un talent certains. Rodeo impose sa puissance de réalisation dans ce qui est, seulement en partie, un festival de motos en mouvement. On retrouve chez la réalisatrice, des traits communs a différents genres, une acquitté sociale ou on passe outre les clichés comme on aurait pu le penser. mais aussi pour le moins convaincant (scénarios avec quelques imperfections mais ne perdant pas le rythme du film et pour une première réal on oublie cela...). Outre la pratique du cross-bitume, montrée sans en faire l'éloge, Rodeo propose surtout un portrait rageur de fille farouche et ténébreuse, qui a décidé de creuser son sillon dans un univers mâle où l'on mesure sa valeur façon mâle... Si les péripéties entourant l'intégration et les actions de cette héroïne au sein de la bande sont parfois confuses, le film se rattrape avec quelques bouffées d'onirisme, de fantastique et même de tendresse, denrée inattendue, au milieu des vapeurs d'essence et d'adrénaline. Et tout cela maitrisé. Malgré une fin qui me laisse perplexe, je ne peux donc trop y donner d avis. Mais quoiqu'il en soit le reste du film fait son taf et on prend la route sans grand temps mort. Mais c est aussi, grâce au naturel incandescent de Julie Ledru, son interprète principale, est la marque de l'émergence d'une vraie personnalité de réalisatrice, une de plus dans le paysage cinématographique français, ce qui constitue une franche bonne nouvelle même si malheureusement passera un peu inaperçu en salle faute de promo et de distribution.
Un film saisissant, très original qui tient en haleine du début à la fin. Une belle histoire, très touchante, et des acteurs excellents ! J'ai adoré.
Film d'une beauté rare, plein d'amour, de fougue, et d'actrices et d'acteurs géniaux. On en sort secoué, admiratif, à voir absolument en salle !
J'ai assisté à la projection en avant première en présence de la réalisatrice au festival de Lama.
Le film commence plutôt mal, même si l'on comprends l'intention, les mouvements de caméra sont à la limite du soutenable pour l'œil et l'on se retrouve au bord de la nausée.
L'ensemble du film est construit comme cela et tout est tremblant et instable tant sur l'écran que dans tout les aspects du film.
Le sujet de prime abord intéressant est au final complètement survolé. Tout les personnages ont des identités furtives auxquelles on ne peut que difficilement s'accrocher ou s'identifier à tel point que l'on ne sait même plus qui est qui. Entre un mentor rencontré cinq minutes et qui sert d'appui tout le long du film, une amourette naissante... Qui ne sert à rien..
Le tout supporté par des dialogues...
Ceux-ci retranscrivent parfaitement la vision fantasmée et cliché de la bourgeoisie sur les pauvres et ici plus particulièrement les banlieusards.
Dans un monde où tout n'est que laideur, les personnages sont des caricatures ambulantes à la limite du supportable, nageant dans la crasse et les cordons bleus aux coquillettes.
Et que dire du jeu caricatural et insupportable de la femme du mafieux local plus raccord avec dame Ginette et Mado la Niçoise qu'un film qui se veut sérieux.
Évidemment nous avons les costumes qui vont avec...
Je suis sûr que les habitants des banlieues apprécieront être traité ainsi.
Le film se conclut d'une manière ultra téléphonée sur une scène d'une invraisemblable bêtise. On ressort de ce film à la limite du dégoût et avec une vraie sensation de perte de temps (et une vraie migraine) sur un sujet passionnant qui aurait mérité un autre traitement.
En bref une jeune réalisatrice qui nous a présenté son film avec un discours aussi inintéressant qu'affligeant et qui a mis dans sa recette toutes les pirouettes apprises à l'école en excès pour pondre un rodéo moderne à la limite du regardable.
C'est vraiment dommage car l'idée de départ est excellente, il manque juste un scénario, des personnages, des dialogues et une mise en scène.
Un bien difficile rodéo, il va être compliqué de se remettre en selle.
Le film commence plutôt mal, même si l'on comprends l'intention, les mouvements de caméra sont à la limite du soutenable pour l'œil et l'on se retrouve au bord de la nausée.
L'ensemble du film est construit comme cela et tout est tremblant et instable tant sur l'écran que dans tout les aspects du film.
Le sujet de prime abord intéressant est au final complètement survolé. Tout les personnages ont des identités furtives auxquelles on ne peut que difficilement s'accrocher ou s'identifier à tel point que l'on ne sait même plus qui est qui. Entre un mentor rencontré cinq minutes et qui sert d'appui tout le long du film, une amourette naissante... Qui ne sert à rien..
Le tout supporté par des dialogues...
Ceux-ci retranscrivent parfaitement la vision fantasmée et cliché de la bourgeoisie sur les pauvres et ici plus particulièrement les banlieusards.
Dans un monde où tout n'est que laideur, les personnages sont des caricatures ambulantes à la limite du supportable, nageant dans la crasse et les cordons bleus aux coquillettes.
Et que dire du jeu caricatural et insupportable de la femme du mafieux local plus raccord avec dame Ginette et Mado la Niçoise qu'un film qui se veut sérieux.
Évidemment nous avons les costumes qui vont avec...
Je suis sûr que les habitants des banlieues apprécieront être traité ainsi.
Le film se conclut d'une manière ultra téléphonée sur une scène d'une invraisemblable bêtise. On ressort de ce film à la limite du dégoût et avec une vraie sensation de perte de temps (et une vraie migraine) sur un sujet passionnant qui aurait mérité un autre traitement.
En bref une jeune réalisatrice qui nous a présenté son film avec un discours aussi inintéressant qu'affligeant et qui a mis dans sa recette toutes les pirouettes apprises à l'école en excès pour pondre un rodéo moderne à la limite du regardable.
C'est vraiment dommage car l'idée de départ est excellente, il manque juste un scénario, des personnages, des dialogues et une mise en scène.
Un bien difficile rodéo, il va être compliqué de se remettre en selle.
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