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    The Sadness
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    2,8
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    130 critiques spectateurs

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    Quentin Sezeur
    Quentin Sezeur

    26 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 octobre 2024
    Nul du début à la fin. Vide de sens le scénario nous emmène sur une histoire de zombie mais pas vraiment zombie.. bref regardez vous saurez.
    moket
    moket

    523 abonnés 4 321 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2024
    Un déferlement de violence, d'hémoglobine et de gore non stop. Le film semble n'avoir aucune limite et n'accorde aucun répit. Ce n'est évidemment pas à montrer à tout le monde, mais c'est une superbe réussite, une sorte de catharsis du covid.
    TUTUR29
    TUTUR29

    32 abonnés 1 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2024
    Je n’ai vraiment pas été satisfait par The Sadness. Le film a certes une esthétique ultra gore avec des super effets visuels mais ce gîte n’est au service de rien : scénario sans intérêt et du gîte permanent qui ne nous fait plus ressentir aucun stress ou effroi tellement il y en a tout le temps. Je n’y ai donc pas trouvé d’intérêt, même si encore une fois les effets et la mise en scène sont très réussies.
    Halloqueen ;)
    Halloqueen ;)

    4 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2024
    Du sang, de la violence spoiler: (humaine ou virale)
    , du sang, de la violence encore... je comprends le fond voulu mais franchement, c'est indigeste...

    Les effets spéciaux sont plutôt bons, les acteurs pas mal, l'histoire... spoiler: le fond du virus est à réfléchir quand on voit le niveau de violence des gens depuis le covid
    , mais le gore n'est vraiment pas pour moi...

    Amateurs de super gore, allez-y, vous allez vous régaler je pense.

    Bon visionnage !
    René S
    René S

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2024
    Vraiment bien fait ! Le problème du gore, c'est ça peut parfois obstruer le scénario : un scénario bien pensé et une scénographie au poil.
    Oui, c'est gore, c'est très gore, dès le début. Le malaise vient surtout du fait que plus le film avance et moins le virus nous semble être la vraie raison de ce carnage.
    Oui, c'est plus ou moins suggéré dans tous les films de zombie. C'est d'ailleurs, depuis Romero, le vrai axe philosophique des films de zombie. Mais là, c'est différent...
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 août 2024
    "The sadness" recycle tout ce qu'on a pu voir dans une multitude de films d'infestation zombie ou variantes épidémiques. Il n'y a donc aucune surprise dans les mécanismes narratifs, on peut même dire qu'on est dans la banalité la plus totale du survival horrifique. "The sadness" se démarque en poussant le curseur du gore au maximum et effectivement c'est visuellement efficace. Mais tout ce sang et ces chaires déchiquetées jusqu'à l'outrance me font beaucoup moins d'effet que la simple scène où le héros de "Oldboy" se coupe la langue. C'est juste écœurant et c'est tout, ça ne génère aucun suspense, tension ou émotion, donc pour moi "The sadness" n'apporte rien de neuf au genre.
    Floki
    Floki

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2024
    Alors, oui, on aime le gore, oui, on aime l'horreur, mais alors là, c'est vraiment tellement trop que ça en deviens ridicule. C'est comme le chocolat quoi, on aime ça, mais à un moment donné ça dégoûte, bin là, c'est pareil.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    685 abonnés 3 005 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2024
    The Sadness n’investit pas la ville de Taipei par hasard, mais se saisit du film de genre pour brosser le portrait de la capitale taïwanaise en synthétisant les représentations antérieures faites de celle-ci – nous retrouvons la séparation des amants telle que la concevait Taipei Story (Edward Yang, 1985), qui prend ici la forme d’un engrenage tragique rappelant Early Train from Taipei (Liang Zhefu, 1964), la noirceur et la violence de Xìngfú Chéngshì (Ho Wi-ding, 2018), la déambulation urbaine ouverte sur le surgissement du traumatisme et du cauchemar conçu par Super Citizen Ko (Wan Jen, 1994) – tout en les réactualisant à l’heure des crises sanitaires, de la pression sociale qui écrase les Chinois en leur imposant conformisme professionnel et régulation des passions domestiques.
    L’éruption de la folie traduit un débordement lui-même issu d’un trop plein que résume l’ouverture du long métrage, soit la nécessaire désunion des membres d’un couple contraints spoiler: d’abandonner le lit pour s’investir dans des taches désagréables
    . spoiler: Folie liée à un virus, Alvin, qui connecte deux parties du cerveau responsables respectivement du sexe et de l’agressivité, comprenons lesdites passions refoulées et réprimées par un gouvernement qui, littéralement, a perdu la tête (voir la séquence consacrée, hilarante)
    . L’intelligence du long métrage tient alors à son savant mélange d’horreur gore et de burlesque, occasionnant des moments de drôlerie rarement observés dans le genre, mais également à un goût pour le mauvais goût, à une délectation devant l’effroyable, à une autorisation de l’interdit en image – tout ce qui concerne les nouveau-nés ou l’œil de la pauvre Molly, par exemples – qui n’est pas sans thématiser la banalisation contemporaine de la violence en ville, aussitôt accomplie aussitôt relayée puis diffusée par les médias.
    La mise en scène néoréaliste, avec ses déambulations en scooter, se heurte à des scènes cannibales esthétisées à la démesure tour à tour singulière – spoiler: l’explosion de sang issue de la carotide tranchée de l’un des passagers du métro
    – et jouissive. The Sadness cultive ainsi l’oxymore en représentant la mort de ses amants pour lesquels les lits pleins d’odeurs légères mutent en tombeaux, déplore le règne de « la tristesse » chinoise sous l’aspect d’une orgie ensanglantée des plus mémorables. Une belle réussite !
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    50 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2024
    Franchement, ça fait le boulot. C'est pas très bien joué, les doublages sont mauvais et les bruitages presque inexistant, mais ça fait le boulot. C'est bien gore, tordu, c'est ce que j'attendais.
    Fred E
    Fred E

    10 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2024
    Un film extrêmement gore. Il me fait penser au film "Terrifier" dans sa surenchère d'hémoglobine. C'est autant cru dans les images que dans les paroles. Par contre, les effets spéciaux sont davantage réussis et le scénario est original avec ces morts vivants nymphomanes. La fin est décevante par contre.
    Shiki
    Shiki

    78 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2024
    Connu pour être gore et trash, « The Sadness » est à la hauteur de sa réputation mais ce n’est pas forcément gage de qualité niveau scénario. Faut pas réfléchir, on est juste spectateur d’une véritable boucherie, mais on peut dire que les « effets spéciaux » , le maquillage et le sang sont très réussis.
    Benoit Morel
    Benoit Morel

    52 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2024
    Quel film degueulasse ! Vous voulez du sang et des scènes sanglantes et sexuellement horrible à regarder ? Allez y les doigts dans le nez !

    Outre le scénario banal avec des dialogues sans véritable sens, les scènes de gores sont sacrément bien réalisées. Elles sont choquantes et délirantes.

    Je retiendrai un message caché, c’est la véritable face de l’être humain, médiocre, vulgaire et ignoble, notamment pour sa cruauté, qu’elle soit physique et verbale.

    Un bon petit film venu de Taïwan, ce qui est étonnant !
    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2024
    Ultra gore, The Sadness retrace l'arrivée d'une mutation d'un virus et créé chez les personnes infectées, une véritable envie de réaliser tous leurs plus sombres désirs. Ce film est une masterclass niveau VFX et gore. C'est sûrement le film le plus choquant de l'année 2022, qui lui aura valu de nombreux articles de presse et polémiques. La majorité des gens n'ont retenu que le film Terrifier 2 sorti fin 2022 aux US pour son côté gore alors qu'il n'arrive pas à la cheville de The Sadness. Certes, le scénario suit l'avancée d'un virus, c'est du vu et revu comme sujet de cinéma, mais il le fait avec brio. On ne s'attend pas à voir des scènes aussi violentes et crues tout au long du film, c'est impressionnant. S'il on ajoute à ça les yeux rouges et noirs des infectés, il nous reste une image terrifiante dans la tête après la fin du film.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    41 abonnés 1 291 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Un excellent film d'horreur avec des zombies avec de la violence et de l'épouvante poussée à l'extrême.
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 740 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    Sadness, un récit d'horreur gore qui à bien fait parler de lui à sa sortie. Véritable boucherie visuelle, audio et psychologie, que l'on peut comparer à "Walking Dead" pour son aspect zombifiant et gore, toute fois, il se pourrait que ni le réal ni le scénario n'est réellement compris ce qu'est un zombie. Après il est vrai que le déroulement est long à se mettre en place tant le développement de notre couple héros est bien présent, tant mieux d'une certaine manière. Puis les premières victimes sont faites mais aucun éléments physique ne montre la transformation en acharner du bocal. Le -16 est parfaitement respecter, les dialogues crus et sexuellement vulgaires sont promise cuiter et les symboles moraux y sont nombreux avec quelques scènes bien trash. Mais une fois encore, si le gore est là, les zombies ne restent pas moins que de vrais humains bien conscients métamorphosés en pervers sanguinaires. Regina Lei & Berant Zhu sont donc parfaitement ancrer dans leur personnageavec un très bon jeu commun, que je dirais quand même du genre "vu et revu", tant leur couple est victime de ce que n'importe lesquels peuvent vivre au cours de l'année. Enfin, Tzu-Chiang Wang représente par son jeu, tous ce que l'homme à de plus bas en instinct, de plus primal et de plus sadique. Dialogue, regard, gestes, il est le grand méchant du cinéma asiatique le plus percutant que j'ai pu voir (même si le nombre de films locaux vu est très mince). Réussi en partie mais doubler d'une incohérence massive.
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