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Kana57
39 abonnés
936 critiques
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3,0
Publiée le 8 juillet 2022
Vu The Sadness un Virus a muté et rend les gens dans ce qu'ils ont de plus bestial C'est ultra Gore et violent.On sent bien que ROBERT JABBAZ a pris son Pied à faire ce Film. Même si parfois sa manque de moyens Mais dans le Genre sa fait son petit effet ⭐⭐⭐
Le film est réputé pour être gore, on sait donc dans quoi on s'engage en allant le voir : voir de l'hémoglobine et on est servi ! Certes, l'histoire n'est pas super travaillée (un couple séparé par la distance qui tente de se retrouver dans un monde qui bascule dans le chaos) , mais on y va pas pour voir un scénario approfondi, plus pour le divertissement d'horreur. Le virus transforme les habitants en vraies bêtes sanguinaires qui veulent assouvir leurs pulsions violentes et sexuelles. Alors oui, ça choque, c'est dégueulasse mais cela montre surtout les côtés les plus sombres et noirs et l'être humain. Petit film taïwanais sorti de nulle part mais doté d'une folie qui marquera les esprits !
Un petit film taiwanais petit budget tourné à vitesse grand v en 1 mois pendant la pandémie pour un résultat vraiment barré. Une pandémie de la connerie, il deviennent fou, lubrique, pervers, sadique, violeur et cannibale. Et oui tout ça à voir uniquement sur grand écran pour tester vos limites (sur petit écran aucun intérêt ). vous adorerez si vous êtes un fan de pure gore, à la limite du porn horror Japonnais avec ces litres indécents d'hémoglobines et de chairs arrachées avec quelques scènes d'orgies (érotique). Cinq étoiles pour la rareté et le courage des distributeurs de pouvoir voir ce genre de film underground en salle, même si je l'avoue on rigole plus que l'on a peur, difficile dit croire tellement tout est exagérer et sans vraiment de limite dans l'infamie (voir où il met son sex et ce qu'il met dans la poubelle). C'est fun, bien joué et bien tourné par ce jeune réalisateur canadien.
Le film s’ouvre sur une situation que l’on ne connaît trop bien un virus se répand dans la population qui ne fait presque plus attention aux nouvelles à ce sujet. À Taïwan on va suivre l’itinéraire de Kat et Jim qui après une dispute matinale vont vaquer à leurs occupations habituelles. C’est alors que la contamination va prendre une tournure dramatique; après une énième mutation le virus semble avoir supprimé les inhibitions des personnes infectés qui donnent libre cours à leurs plus bas instincts (et peut être les nôtres aussi en assistant à ce spectacle). Oui The Sadness est un festival gore comme le cinéma n’en avait pas vu depuis longtemps, mais à aucun moment je n’ai trouvé sa démarche cynique. Le sous texte sur la déliquescence du tissu social est bien traité sans en avoir l’air. Il décrit nos sociétés ultra connectés et où pourtant l’individualisme n’a peut être jamais été si présent et où l’empathie est presque une tare de manière très cruelle . Un monde apathique qui ne réagit plus à rien ou alors seulement pour sortir son smartphone pour filmer quelque chose qui sort de l’ordinaire. Il a aussi une vision bien pessimiste de la nature humaine en décrivant des individus qui sont des boules de frustration ne demandant qu’à exploser. Au niveau du traitement le film va en effet extrêmement loin, sûrement conscient de ses outrances il verse à quelques instants dans le grand guignol pour faire passer des scènes aussi frontales que choquantes, en utilisant également le hors champs à plusieurs reprises de manière admirable. Un mot aussi sur les extraordinaires effets spéciaux et maquillages qui rendent tangible un incroyable carnage et qui pourraient même secouer des intestins avertis. Bref un film qui m’a fait penser à un croisement entre le « le dernier train pour Busan » et « irréversible », un film fou et réfléchi, une œuvre qui paraît anachronique dans le paysage cinématographique actuel alors que ses thématiques sont dramatiquement actuelles, un film à la fois désagréable et jouissif, du cinéma extrême qui semble vouloir après des années où l’on a été abreuvés de films d’infectés faire un bouquet final qui marque la rétine.
Chanceux sont les spectateurs à pouvoir découvrir The Sadness au cinéma. Sans le concours d'ESC Films (d'ordinaire polarisée sur les éditions vidéos), on aurait jamais découvert le long-métrage ultra-violent de Robert Jabbaz. Ce n'est pas une supposition. Lisez le résumé, regardez le genre. L'œuvre est un repoussoir à exploitants non seulement en période pandémique mais surtout au moment où la fréquentation en salles est encore loin de retrouver son niveau d'il y a trois ans (premier trimestre 2022 en recul de + de 30 % par rapport à 2019 sur le même cycle). Contrairement à d'autres productions moins sulfureuses (The Green Knight, au hasard), le shoot horrifique sur fond d'épidémie a pourtant trouvé preneur. À regarder la passion et le dévouement dont a fait preuve le distributeur français, nul doute que le film devait être spécial. Il l'est à sa façon, oui.
The Sadness est hautement conscient du contexte dans lequel il sort pour la simple et bonne raison qu'il a justement été conçu en réponse à la crise du Coronavirus. Opportuniste, Robert Jabbaz ? Le réalisateur et scénariste assume à fond, prenant un pied pas possible à envoyer politiciens et citoyens de toute obédience à l'abattoir. Le virus déclenche des crises de "desinhibition" (tendance barbare) faisant passer l'homme au statut d'animal asocial, Jabbaz s'amuse donc à condamner chaque havre de paix en haut lieu de dépravation. Amateurs de viandes sur les murs, vous pourriez bien atteindre le stade de l'indigestion. Sans être aussi trash qu'un Salò ou les 120 Journées de Sodome, l'usine à viols et saucissonages soulève le cœur sans se départir d'une ironie...mordante. Jusqu'à un dernier acte creusant davantage sa dimension nihiliste. Dérangeant (allez oublier le visage de Tzu-Chiang Wang), écœurant mais raisonnablement fun. Pas plus, hélas.
Pourquoi donc s'embarrasser d'une double-narration quand l'une ne trouve d'intérêt qu'aux deux extrémités du récit ? Du reste, la portion consacrée à Jim renvoie à un ascenseur émotionnel entre indifférence et ennui. Jabbaz s'acharne à la faire ponctuer le vrai cœur palpitant du film (à savoir Kat), ce qui à l'inverse occasionne plusieurs trous d'air pendant le déroulé. Pire, cela met encore plus en lumière la banalité de l'histoire. Dans un registre proche, 28 semaines plus tard me semble plus puissant dans sa progression et ses points d'orgue. Il faut croire que le genre n'a plus connu ce type de déflagration, d'où l'entrain à proposer The Sadness comme une vraie expérience de cinéma. Ce qu'il est, indubitablement. Mais pas aussi fort qu'espéré.
Interdit aux moins de 16 ans en France, “The Sadness” est un film d’horreur Taïwanais présenté en compétition au Festival du film fantastique de Gérardmer 2022. Le film post-Covid, présente une nation qui lutte depuis un an contre une pandémie mais qui baisse un jour la garde. C’est alors que le virus mute et transforme la population en mort-vivants assoiffés de sang. Sans véritables explications, le film exploite directement ses séquences gores et violentes. Chaque plan est l’occasion de faire augmenter le taux d'hémoglobine à l’écran. Sauf que voilà, faute d’un scénario plus épais que ses descriptions, on finit par s’ennuyer. Le casting, secondaire dans son intégralité, ne sauvera pas le film, tant il n’apporte finalement rien d’autre que de la figuration. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Voici un énième film qui surfe sur la pandémie pour donner une variation tragique et trash d'une éventuelle mutation du virus, il ne s'agit pas d'une histoire de morts-vivants puisque la métamorphose ne se fait pas par une blessure ou la mort mais bien par un simple virus qui éveille nos sens les plus primaires et les plus bestiaux. C'est là la vraie bonne idée. Néanmoins, on aurait aimé sans doute que la conscience ainsi "ouverte" des contaminés aient plus d'impact ou de réaction dans le déroulement du récit. Le soucis est qu'on sent que le réalisateur a dû hésiter de nombreuses fois avant de choisir un angle de vue, à savoir rester dans un surréalisme "réaliste" ou aller vers un fantastique outrancier ?! Pour la crédibilité des massacres on est bluffé par la qualité des maquillages et des effets visuels qui rajoutent finalement à l'horreur, par contre dans le côté too much on tique sur certaines séquences où les flots d'hémoglobine sont invraisemblables façon geyser de sang. Mais ATTENTION ! Film ultra-violent à éviter à ceux qui n'ont pas l'habitude de ce genre de film. Site : Selenie
Ce film est vraiment sans intérêt, c'est une succession de scènes dites "gores". J'espère que le scénariste n'a pas eu un grand salaire parce que vu le travail, il devait être au chômage à ce moment là. C'est clairement de l'argent jeté par les fenêtres. On pourrait se dire que le but de se film est d'être dans le gore, si seulement les scènes étaient bien faites ! On rit juste tout le long, ce n'est qu'irréaliste, le petit budget se ressent, mais là ils auraient dû garder l'argent pour eux sérieusement ! Je ne conseille vraiment pas de gaspiller son argent et son temps là dedans.
alors là on est sur un vrai film bien bien gore, l'histoire reste assez simple mais la violence est poussée très très forte. Âmes sensibles s'abstenir mais réellement. Le film est très dérangeant et la production n'a pas fixée de limite. un film comme il ne s'en fait jamais où vraiment très rarement
J'ai jamais vu un film aussi perturbant, gore et violent alors ok le scénario est un peu vide mais c'est vraiment très très inspiré de la bande dessiné crossed d'ailleurs certaines scènes comme l'oeil sont Clairement du copié collé, beaucoup de personnes sont partis durant la séance tellement certaines scènes sont insoutenables.Gros gros avertissement vous n'allez pas voir un Conjuring
Je vous cache pas qu'à la fin du film je suis resté sans voix Scotché au siège c'est le mot c'est d'une violence extrême Que j'ai rarement vu avec ( evil dead ) puis le réalisme est incroyable bravo a euh Pour tous les amateurs de films gore foncé
Une variante de dernier train pour Busan bien réalisée mais sans grande originalité. C'est violent, gore, plein de sang et le casting est bon. Par contre, le scénario tient en 2 lignes. Beaucoup de scènes sont choquantes mais paradoxalement ce film ne fait pas vraiment peur. Sympa, sans plus.
Certes, le film qui peut s’apparenter à un métrage de zombies contaminés, démarre assez vite et est extraordinairement violent, pour preuve des litres d’hémoglobine versés lors de scènes chocs telles que celle du métro ! De plus, les acteurs sont bons et l’humour noir est omniprésent, pour le plaisir des plus sadiques d’entre nous. Toutefois, d’aucuns pourraient regretter que les scènes les plus extrêmes soient filmées en hors champ, mais bon on ne va pas choquer toutes les pupilles non plus ! Les seuls bémols seraient donc : le couple des principaux protagonistes un peu gnangnan pas très passionnant, des seconds rôles pas assez brossés et une fin un peu trop vite expédiée. Néanmoins, même si le scénario n’est pas incroyable, certains pourraient trouver du plaisir devant cette boucherie jubilatoire bien gore ! A réserver donc à un public averti !
Un film gore avec la bonne dose d'hémoglobine meme si c'est pas du tout crédible dans certains meurtres, il y a beau avoir la musique et les bruitages qui font un peu peur, on est plus dans le film d'horreur. on retiendra la séquence dans le métro, qui impressionne meme si il y avait une pression beaucoup plus forte dans "dernier train pour Busan". le reste sonne assez vide, c'est même un peu ennuyant tellement le réalisateur ne prend pas le temps de faire de petits moments comiques pour faire redescendre la pression ou faire monter le suspense, on passe très rapidement du calme au Gore et ça lasse à un moment.