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alchimissste
13 abonnés
417 critiques
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2,5
Publiée le 24 octobre 2024
Une belle distribution qui fait plouf, car malgré la fougue de Caroline Vigneaux, le film est mal réalisé, des plans digne des années 90 , et l'histoire s'englue dans des clicher.
Film a 100 % féministe, qui avait de la matière a être mieux développer mais c'est insuffisant,, ma note 9/20
Très bon film, j'ai aimé comment le personnage principal est entrée dans l'histoire la façon de traverser les époques pour au final résoudre son dilemme... je le regarderai probablement encore une fois ou deux pour voir les différents clin d'œil qu'aurait pu laisser traîner la réalisatrice...
défense des droits des femmes - assez caricaturale, souvent humoristique, toujours engagée - ce film mérite mieux que sa note de 2,8, qui est un affront aux femmes et à leur combat
L’histoire est sympathique et le message, bien qu’un peu insistant et unidirectionnel, est très juste. Toutefois l’écriture un peu lourde et c’est surtout surjoué avec un humour parfois potache et un caractère qui ne colle pas au personnage. Un film qui manque complètement de sérieux pour le sujet qu’il veut aborder, ou alors de délicatesse et d’humour.
Alors oui, il y a peut-être des imperfections dans cette première réalisation mais nous nous sommes laissés porter avec délectation par l’histoire et ses personnages. Caroline Vigneaux a trouvé là un sujet très porteur: la condition de la femme et son évolution par petits soubresauts. Le traiter avec l’humour renforce le message. Pour nous, mon épouse et moi, nous avons passé un excellent moment. Nous avons bien ri. Les acteurs sont tous excellents et le final jusqu’au générique de fin apporte une information sérieuse sur le chemin à parcourir pour que tous les humains soient égaux. Merci Madame!
Film historique sur le droit et notamment des femmes. Rempli de référence. Drôle et très bien fait. On ne peut pas ne pas aimer. Ou alors c’est qu’on ne comprend pas l’histoire et le droit ;-)
Un navet de premier choix. Ça m'arrive rarement de me planter autant sur le choix d'un film heureusement. L'actrice principale est insupportable, joue très mal. Le ton global du film est gênant, mal pensé, un peu bêta, cliché.... A zapper !
Le sujet du féminisme magnifiquement traité avec humour à travers des personnages féministes qui ont marqué l'histoire. Bravo à la talentueuse Caroline Vigneaux pour cette prouesse toute en sourir et en subtilité. En espérant que le film fasse réfléchir tous ceux pour qui le féminisme est une insulte.
Très drôle et magnifique, instructif pour plus d’un ! Mais quelle misère humaine de lire les commentaires négatifs de certains spectateurs (c’est bien au masculin)
Charlie est avocate, elle vient de gagner un procès en prenant la défense d’un violeur. Sur le trajet du retour, elle fait la connaissance d’Hubert (jeu de mot ringard avec Uber) chauffeur de taxi qui va l’embarquer malgré-elle dans les couloirs du temps…
Premier long-métrage en tant que réalisatrice pour Caroline Vigneaux, qui en profite pour s’octroyer le premier rôle, celui d’une avocate (elle-même ayant été avocate pendant 8 ans avant de se reconvertir dans l’humour et faire des one-woman-show).
Flashback (2021) est un prétexte pour nous faire remonter le temps à travers l’histoire du féminisme, façon Les Visiteurs (1993). L’héroïne se retrouve entraînée durant les grandes heures qu’ont occupées les femmes dans l’Histoire de France. Pêle-mêle, on se retrouve au Moyen-Âge (on y croise Jeanne d’Arc), en 1964 (avant que les femmes puissent avoir le droit d’obtenir un compte bancaire), à la Préhistoire, en 1850 (avec George Sand), à La Belle Époque (on y croise Olympe de Gouges), dans les années 80, puis en 1906 à la rencontre de Marie Curie, par la suite on croise Napoléon, on se retrouve en 1945 et enfin, en 1972 lors du procès de Marie-Claire Chevalier (qui a lutté pour le droit à l'avortement) et la plaidoirie de Gisèle Halimi.
Si l’idée de départ peut s’avérer louable, le résultat n’en reste pas moins mauvais. Les bonds dans le temps s’enchaînent dans le désordre et Caroline Vigneaux y est insupportable (avec sa voix suraiguë, on a constamment l’impression qu’on égorge une truie).
Une comédie faussement féministe où l’humour y a été torché de la plus mauvaise des façons, c’est laborieux, flemmard et jamais drôle.
Affligeant de nullité. Je n'ai tout bonnement pas pu aller au bout... 30 min de visionnage m'ont suffit tellement le scénario relève du grotesque. De plus, l'héroïne a un comportement débile à la limite de l'hystérie et l'ensemble du casting joue vraiment mal. A fuir !
Flashback est une comédie extrêmement sympathique. Ce n'est pas la comédie du siècle, ni même le film féministe du siècle ; mais c'est extrêmement plaisant et plutôt drôle. Le pitch : une avocate sans foi ni loi n'a aucun scrupule à brandir un argument particulièrement rétrograde pour défendre un violeur face à sa victime. Comme punition divine, elle se retrouve à voyager dans le temps pour réellement vivre le tourment des femmes à travers l'Histoire. Pour une assez petite production, le casting est assez prestigieux avec en guest Gad Elmaleh, Bruno Solo, Sophia Aram, … Caroline Vigneaux est elle, impeccable dans le rôle principal. Une comédie légère et convaincante.
Que c'est nul !! Des acteurs et actrices ennuyeux, un scénario sortit tout droit d'un scandale du journal de 20h et super mal traité, le voyage dans le temps c'est même niveau que les visiteurs...... C'est long et insupportable, les costumes sont moches, c'est censé être drôle......là ça ne l'est pas... Et c'est d'un ridicule.....
Une avocate un peu nunuche part voyager dans le temps pour se confronter à la condition des femmes à travers les époques. Si le scénario correspond bien au format d'un court-métrage, il ne résiste pas sur 90 minutes. Beaucoup de défauts dans ce film assez décevant : Une mis en scène et des effets de caméra assez prétentieux, une galerie d'acteurs célèbres qui viennent faire leur numéro et surtout un biais moralisateur très ennuyeux. Malheureusement la lourdeur générale nous fait supplier d'arrêter ce voyage comme l'héroïne le fait tout au long de son périple.