Il y a de bons moments dans ce film, et je trouve De Niro très bien, mais pour moi, cette 2eme partie n'était non seulement pas nécessaire, mais en plus elle n'arrive pas à la cheville du 1er.
J 'ai un poil préférer ce 1ieme opus car là, nous voyons comment la famille Corleone c'est crée (ce qui est un point positif du film, qui a mon avis, na pas etait moins mise en valeur avec un grand De Niro qui joue le rôle de Vito) et comment Mike fait tourner l'affaire famillial après la mort de Vito: qui la c ma vraiment déplu car il ne suis pas trop l'ancienne méthode de travail que son père pratiquer. Pour faire plus cour Mike donne une toute autre image de la famille Corleone, se qui peut plaire ou déplaire.
Suite fidèle et qui tient toutes ses promesses d'un film monument, "The Godfather: Part II" est une merveille. Le plus, le passage avec De Niro, sur la jeunesse de Vito Corleone, que je qualifierais d'anthologie. Mais ce deuxième épisode s'inscrit aussi logiquement dans la saga en reprenant la recette efficace du premier et en amenant progressivement vers le dénouement tragique du troisième et dernier volet d'une saga cinématographique conçue par les mains d'un maitre.
A la hauteur du premier, "Le Parrain 2" est toujours aussi bien réalisé et joué. Les acteurs sont fantastiques et l'arrivée de Robert De Niro est un plus. On passe un super moment devant un nouvel opus réussi.
Coppola transforme alors son film de gangsters en une tragédie bouleversante, donnant une épaisseur supplémentaire à une oeuvre pourtant déjà très forte.
Encore plus long que le premier.Toujours la même chose : dialogue de mafieux, meurtre, dialogue, meurtre, fêtes, dialogue, meurtre ...C'est le film le plus chiant que j'ai vue.
Une suite très ambitieuse récompensée par six Oscars, que nous sert ici Francis Ford Coppola, avec un scénario nous embarquant dans deux histoires. L'ascension du jeune Vito Corleone à la fin des années 10 (magnifique reconstitution de l'époque), malheureusement pas interprété par Marlon Brando à cause d'un refus de l'acteur, mais par l'excellent Robert De Niro, qui ne pouvait rêver meilleure opportunité (il n'y a qu'à voir sa filmographie pour comprendre à quel point ce rôle lance sa carrière), l'autre partie du film, c'est même la principale, montre la dure succession de Michael Corleone, joué par un Al Pacino assez exceptionnel. Parmi les défauts de ce second opus, je trouve qu'il y a quelques longueurs, même si les trois heures passent très bien et aussi que le scénario est vraiment compliqué, il y a beaucoup de noms à retenir dans cette histoire ce qui fait que je me demandais de quel personnage on parlait des fois à cause de certains dialogues entre mafieux, le scénario est d'ailleurs tellement recherché que Coppola aurait pu faire un film trois fois plus long encore. Pour moi cette suite possède moins de scènes marquantes que le premier, mais en possède néanmoins plusieurs excellentes. L'ouverture avec le jeune Vito assistant coup sur coup à l'enterrement de son père, la mort de son frère puis de sa mère, la pseudo réconciliation entre Al Pacino et son frère, la scène avec Robert Duvall à la fin en prison ou il parle avec un autre type de l'Empire Romain, ou encore la série de meurtres à la fin jusqu'au flash back ou l'on revoit avec plaisir James Caan (inoubliable dans le premier), Al Pacino et les autres à l'anniversaire de Vito. Sans rentrer dans ma short-list de films préférés, ce film restera gravé dans ma mémoire, un grand moment de cinéma.
"Le Parrain 2" est une excellente suite, dont la trame dramatique autour de Michael Corleone est passionnante, le personnage s'isolant de plus en plus de ses proches et échouant à être l'homme que son père avait été. Al Pacino est grandiose dans son rôle. Les scènes représentant la jeunesse de Vito Corleone sont également réussies, avec une belle prestation de De Niro, même si on peut se montrer un peu critique quant à la qualité de leur intégration au milieu de l'intrigue principale, faisant monter le film à la durée hallucinante de 3h20. Quoiqu'il arrive, le film est génial, et la scène d'affrontement entre Pacino et Diane Keaton est mémorable.