Avis sur Flashdance

Avec "Flashdance", son deuxième long-mètrage, Adrian Lyne dècouvre le triomphe! Le cinèaste anglais signe une comèdie musicale rythmèe dans la lignèe de "Fame" et de "La fièvre du samedi soir". Lyne a voulu faire un film tendre, ènergique, rèsolument optimiste, son message est parfaitement reçu par le public amèricain de 1983! "Flasdance" rapporte plus de 80 millions de dollars et se place à l'èpoque au troisième rang des plus grands succès amèricains! Pour trouver son hèroïne Alex, le rèalisateur auditionne quatre mille jeunes femmes et choisit finalement la belle Jennifer Beals (qui est doublèe par une danseuse professionnelle pour les scènes de ballet). Alex exprime sa passion de vivre par la danse! Pour plus de rèalisme, Lyne a tournè dans une usine qui emploie des femmes soudeuses! Beaucoup de vertu, pas mal d'amour (avec le trop rare Michael Nouri), un zeste d'èrotisme et quelques sèquences de danse èpoustouflantes font de "Flashdance" un incontournable des annèes 80! Superbe B.O avec deux chansons lègendaires: "What a Feeling" d'Irene Cara et "She's a Maniac" de Michael Sembello"...

Franchement, vous dire que je me suis ennuyé ou pris aucun plaisir devant « Flashdance » serait mentir. Cela a beau être facile et régulièrement prévisible, Adrian Lyne sait y faire pour nous rendre cette héroïne attachante (et un peu agaçante, parfois), si bien qu'aussi midinette soit le scénario ou sa relation avec le beau Nick, ça passe à peu près. Dommage que l'opération séduction baisse nettement le pied lors de la deuxième partie, à la longue assez répétitive et ne masquant plus vraiment la dimension fort morale du récit. Heureusement, la craquante Jennifer Beals et son corps de rêve (sans oublier celui de ses doublures) nous offre quelques scènes d' « anthologie », de spoiler: l'entraînement sur l'excellent « Maniac » de Michael Sembello à, évidemment, l'audition finale sur le génial « What a Feeling » d'Irene Cara, et depuis parodié à de très nombreuses reprises...
Ce n'est pas un bon film, mais c'est un film typique de son époque, avec ses qualités et ses défauts : rien que pour ça, y faire un petit tour ne peut vraiment pas faire de mal...

Sans atteindre le niveau de débilité scénaristique de "la fièvre du samedi soir" et autre "Grease", Flashdance n'est qu'une romance a deux sous teintée de bondieuserie (les scènes de confession) et de moralisme hypocrite (la scène où Jennifer spoiler: sort sa copine d'une boite de strip-teas
e). Reste donc deux choses, la beauté étonnante de Jennifer Beals (malgré que ce ne soit pas elle qui danse) et la musique magique de Georgio Moroder.

Flashdance : Un film romantique typique des années 80 avec une BO de malade il faut dire. Ça, c’est vraiment le point fort du film, des musiques cultes, entrainantes : un plaisir pour les oreilles. Ensuite, l’ambiance années 80 est très bien rendue, on est dedans. Et ça grâce à une réalisation plutôt bonne même si des fois, la mise en scène est un peu abusé, avec les effets flash a un moment, c’est limite épileptique. Sinon, les danses sont biens chorégraphies et exécutés. Maintenant, passons en gros points noire du film qui ma vraiment déçu : son scénario. Très cliché, pas immersif : c'est-à-dire on ne s’attache pas vraiment aux personnages et l’histoire d’amour est complètement passée sous la trappe. Quel dommage, car c’est une jeune femme qui a qu’un rêve : être une danseuse professionnelle donc elle va tout faire pour y arrivé. Mais, on n’est pas avec elle pour sous rêve. A l’inverse pour un Rocky par exemple, on est vraiment à fond avec lui, mais pas la. Donc voila, ils ont voulu trop faire de danse et pas assez exploité les personnages. Sinon, pour finir, les acteurs sont globalement corrects. Donc voila, un peu déçu car je m’attendais pas a aussi décousu.

Flashdance est un bon film, principalement positif, chic, doté d’une belle bande son, bref, qui a du peps. Un film qui fait du bien, même si je le reconnais, ça reste convenu.
On va commencer par les meilleures qualités du film, et, bien entendu, sans originalité je commencerai par sa superbe bande son, que j’aurai même espéré encore plus exploitée. Elle reste très bonne, très percutante, entrainé par la voix superbe d’Irène Cara, bref, c’est du tout bon.
Formellement c’est du Adrian Lyne tout vu. Style clipesque, éclairage contrasté, beaucoup de jeux de lumière, c’est les années 80 dans toute leur splendeur. Certes le réalisateur est, comme souvent, un poil plan-plan dans sa mise en scène, qui manque d’imagination, mais la photographie à des atouts. J’espérai tout de même des scènes de danse plus percutantes, et une réalisation plus entrainante, d’un réalisateur qui reste un peu trop sur ses acquis ici.
Le casting est emmené par la très jolie Jennifer Beals, à ses débuts. Elle colle bien au rôle, un personnage original il faut le dire, évoluant dans la sidérurgie (je crois que c’est un des très rares personnages de femme évoluant dans ce secteur au cinéma !) et ayant des rêves de gloire. Beau personnage, attachant, entouré de seconds rôles moins construits, et à l’intérêt plus limité, notamment le personnage de Nouri que j’attendais plus percutant tout de même.
L’histoire n’a rien de très originale, et est narré de façon très linéaire, avec un final que j’ai trouvé trop abrupt. C’est clair. Maintenant cela n’efface pas la dimension positive et énergique du film, qui ne joue pas seulement la carte bluette, et s’avère optimiste, alerte, et prend des airs de contes un peu naïf, mais pas idiot. Franchement je ne dirai pas que Flashdance est un chef-d’œuvre, mais c’est un film agréable, entrainant, porté c’est sûr par des atouts charmes un peu envoutants, qui ont tendance à faussé le jugement. Reste que ça fonctionne, mais je crois qu’il aurait pu être encore meilleur, avec une mise en scène plus adaptée, et une histoire plus maitrisée. 3.

Au risque de m'attirer les foudres de toutes les fan-girls (et fan-boys) du film d'Adrian Lyne, oui je l'assume, je n'ai pas aimé "Flashdance". Pourtant je ne suis pas allergique aux comédies musicales, même si ce n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais là il y a un gros problème de scénario. je serai même tenté de dire que l'unique point positif du film serait la bande-son. Le reste fleure bon la série Z pour midinettes ou le téléfilm d'après-midi que mémé regarde histoire de tuer son temps. "Flashdance" est certes qualifié de film culte. Or, le seul culte que je vois là-dedans, c'est celui du scénario à l'eau de rose et irréfléchi. Un truc ou quand tu le regarde, tes neurones grillent plus vite qu'un toast au grille-pain. L'histoire du film est celle d'une belle jeune-fille (Jennifer Beals) qui le matin bosse en tant que sidérurgiste, l'après-midi claque ses mains sur ses cuisses sur "Maniac" (la chanson, pas le film de Bill Lustig et accessoirement celui de Franck Khalfoun) et le soir se déanche sur la piste d'un vieux bar dégueulasse ou les mâles en rut mattent les belles pépés. Et c'est justement lors d'une danse endiablée dans le bar que son patron tombera sous son charme. Quelle belle histoire d'amour! Le boss qui tombe amoureux de son ouvrier sous prétexte que la jeune femme montre ses cuisses et ses formes aux yeux de tout le monde. Mais bon, je préfère me taire sous peine de me faire pourchasser par toutes les groupies fans de ce beau couple. Allez, je préfère abandonner les moqueries faciles pour me concentrer sur la réalisation plutôt. Et que dire? Ben... Elle est dégueulasse. Lyne n'a aucune ambition si ce n'est que de rameuter un maximum de fric en filmant son film vite fait mal fait. C'est bien beau de se concentrer sur les fesses et les jambes de Jennifer Beals mais outre assouvrir ses pulsions mâles, Adrian aurait mieux fait de se concentrer plus amplement sur sa mise en scène qui est d'une vulgaire simplicité. En résumé, "Flashdance", c'est un film qui voulait surfer sur la vague tendance du moment, en outre les films musicaux chers aux années 70-80 ("Saturday Night Fever", "Grease" et consort), et qui demeure plat et sans réel intérêt.

Désolé pour les fans mais non, je sais que c'est le film dance d'une génération avec Fame et Dirty Dancing, mais là où on voyait des étudiants se donner pour réussir, et une histoire d'amour pas trop mauvaise avec un acteur charismatique ici je ne vois rien. Certes ça date de 1983, mais à l'époque d'autres films sont sortis faisant bien mieux.
Déjà avoir une mannequin comme 1er rôle je reste dubitatif, le jeu n'est pas là et ça se voit. Si on rajoute que son seul atout est son physique et que le cadreur le sait très bien, ça donne les multiples plans que l'on voit, donc : ses fesses, ses seins, son corps, son visage (qui n'exprime rien bien sur), et on repasse sur ses fesses, ses hanches, ses jambes... Jennifer Beals je peux vous la modeler sans soucis tant on voit son corps, sauf que ces prises ne servent à rien, pas besoin de tant de zooms pendant 15 minutes pour savoir qu'elle est bien foutue, surtout si on filme les doublures. Pour ceux qui trouvent qu'Alex s'oppose aux hommes je suis pas d'accord car elle tombe vite dans les bras de son patron, elle lui refuse pas grand chose, même le sexe alors qu'elle semblait catho à fond.
L'autre souci principal c'est : le montage. Le metteur en scène, le cadreur, le monteur, voir le réalisateur, on peut les virer direct, pourquoi ? Citez moi une liaison entre les scènes dans tout le film... Un exemple ? La meilleure copine de l’héroïne, comment en vient-elle au strip tease ? On le devine mais on ne le voit pas, et que devient-elle une fois sortie de là ? Et le comique ? Rajoutons qu'il y a de nombreuses scènes inutiles, la mort de la grand mère par exemple, elle est pas malade, rien, d'un coup Hop plus là, on voit Alex pleurer quand une femme (qui c'est d'ailleurs ?) lui dit juste "elle est morte" (au passage la ligne de texte aurait pu être plus fournie), puis elle repart. On devine encore que ça l'aide pour aller au conservatoire mais sans plus. Finissons par les innombrables scènes de vélo, ok elle est écolo, elle a pas d'argent donc elle se déplace en vélo tout le temps, une ou 2 scènes de quelques secondes suffisent pour le piger, en cumulant on doit arriver à 20 minutes au moins, si c'est pas du remplissage... n'oublions pas que les liaisons entre les scènes et des explications sont toujours manquantes, que le réalisateur n'hésite pas à coller plusieurs fois certaines scènes (quand Alex danse chez elle en trépignant notamment) et là on se demande si les mecs veulent avoir de la cohérence dans leur film.
Après l'histoire est banale, simple, chiante aussi, la trame trop classique et revue (on devine tout donc), un rythme lent et chiant, pas mal de passages niais et cucul, des dialogues mous, les acteurs vont de nuls à passable, la musique est bien (enfin le thème principal) mais souvent répétée, d'ailleurs les seules choses que je ressors du film sont la dance du départ avec la douche, et la finale au conservatoire, sur 1h33 c'est maigre. Je mets une étoile pour que ce film néanmoins culte ne se retrouve pas au même niveau que "La reine des damnées" ou autres comédies ratées, et un peu pour les charmes de Jenny Beals, mais sans plus.

Depuis ce film, l'eau a coulé sous les ponts et le nombre de films structurés de la même manière fait peur.
PLV : une bonne chorégraphie néanmoins.

La vulgarité qui suinte de chacun des pores de Flashdance, depuis ses séquences de danse – durant lesquelles nous voyons moins la chorégraphie à part entière que fesses et poitrines s’animer en gros plan pour captiver un spectateur voyeur – jusqu’à sa romance mielleuse et prévisible sur fond de lutte des classes, n’aura pourtant eu raison de sa réception et de son statut actuel d’œuvre culte, la faute à sa bande son entraînante, surtout à sa chanson d’ouverture et de clausule. Est contenue ici, et donc anticipée, la recette qui fera le succès de Fifty Shades of Grey (Sam Taylor-Johnson, 2015). Adrian Lyne, tâcheron de première, prouve une fois encore qu’il ne dispose d’aucun talent particulier, sinon celui d’un technicien correct capable de retranscrire le mouvement d’une danse sur glace ou sur plancher – les deux seuls plans mémorables d’un film tout à la fois déjà vu et qu’on aimerait n’avoir jamais découvert.

Voilà qui est dommage car l’actrice principale, Jennifer Beals, apporte une vitalité et un charme peu ordinaires dans le genre, et en cela précieux.

Flashdance est un bon film. Un drame musical qui bénéficie aujourd’hui du statut mérité de film culte. Sur un motif classique de la comédie musicale hollywoodienne, version disco, ce métrage met en scène le rêve américain d’une jeune danseuse timide qui arrive au sommet à la seule force de son talent et de sa volonté tout cela sous fond de crise industrielle. Un irrésistible hymne à la danse aux chorégraphies virevoltantes, à l’esthétique clip et aux couleurs acidulées. Un film très ancré dans son époque des années 80, peut paraître kitsch pour certains mais fut un réel plaisir pour moi.
Sans oublier la BO culte de Giorgio Moroder dans tout ça qui rythme superbement le film, avec notamment le sublime titre Flashdance… What A Feeling de GM interprété par Irene Cara qui ouvre le bal et sera rejoué. Relevons aussi d’autres titres comme l’excellent Maniac de Michael Sembello, Imagination de Laura Branigan dans une superbe scène au passage épileptique ou encore le très beau titre Lady, Lady, Lady de Giorgio Moroder interprété par Joe Esposito.
Le réalisateur décrié Adrian Lyne signe pour son deuxième long métrage, un film qui va rester ancré dans l’histoire du cinéma et du genre des films musicaux rien que ça. Niveau réalisation je n’ai pas grand-chose à reprocher puisque ça correspond tout à fait au style, idem pour la mise en scène.
Un casting vraiment sympa où la très belle Jennifer Beals excelle de partout jusque dans les scènes sensuelles, et Michael Nouri y très bon. Lilia Skala, Sunny Johnson, Kyle T. Heffner sont très bons.
Sans pour autant être un grand film, il demeure culte c’est certain, sympa à regarder et entraînant. Entrez dans le flash de la danse (même si ça ne veut rien dire ^^).
Ma note : 7/10 !

Le film d'une génération, plein d'espoir, les étoiles dans les yeux. Le film dans son ensemble n'est pas hyper captivant, mais on comprend pourquoi les scènes de danse sexy et la délicieuse bande originale en ont fait un film culte.

Un très bon film de danse et une belle façon de montrer l'ambition d'une jeune femme.

Dimanche soir formidable car j'ai revu encore une fois un de mes films cultes années80 sur lequel je collectionne tout depuis 1983 : FLASHDANCE ! On l'avait revu en janvier dernier, (6mois déjà) sur NT1!!! J'aurais dit 2 mois !! Chose intérèssante sur France4 : pas de coupures pub au milieu du film !
Malheureusement, ma poisse continue car France4 n'arrêtait pas de craquer sur la TNT ! seule chaine à déconner et en plus très rare : le soir !
J'avais l'affiche cinéma grandeur nature dans ma chambre que j'ai conservé et le 45T a tourné des centaines et centaines de fois dans ma chambre ! j'adorais aussi la face B thème.
Le 45T passait aussi à l'école en cours de sport et partout, partout !
J'achetais les images Panini. J'en ai beaucoup en double à échanger.
j'adorais aussi l'esthétique de la façon dont le titre était écrit.

plus le temps passe plus j'aime ce film, à chaque vision je redécouvre des scènes qui me semblaient banales comme étant finalement agréable. FLASHDANCE a été un phénomène à l'époque comme le film LA BOUM ou la série-tv PAUSE CAFÉ.
Les chansons tubes, numéros dansés, atmosphère étaient totalement novateurs pour les jeunes des années 80. C'était un tel bouleversement !
j'aime beaucoup la relation entre l’héroïne et la vieille dame qui la soutient toujours et la pousse à aller de l'avant qui me rappelle la relation avec ma tante.
Dommage que pour la scène de danse à la fin on voit autant que ce n'est pas elle et surtout un homme à certains moments avec une perruque, notamment pour le vol plané !

il faudrait que je monte vous faire une photo de mes 45T, 33T, albums CD (en plus de la BO plusieurs CD compil), le dvd en plusieurs éditions différentes, affiche et images que je possède sur le film !

par contre je recherche aussi différents maxi 45T issu des singles que je trouve trop cher sur Price ou Ebay ou avec le port il faut compter 14euros minimum ! et les photos d'exploitation d'époque qui sont à 40euros sur Price !

En dehors d'une super BO, ce film est vraiment pas terrible avec un scénario niais et des personnages au jeu d'acteur très moyen... A éviter !

Film culte! On n'a pas fait mieux depuis.