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Lanaa_
22 abonnés
44 critiques
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3,5
Publiée le 18 août 2012
La musique est culte, quant à l'histoire, ça se laisse regarder mais rien de très époustouflant. Petit plus pour leurs tenues, j'adore la mode des années 80 !
L’esthétique du clip aura marqué les années 80 au cinéma et « Flashdance » en est un de ses prototypes les plus racoleurs, il faut le dire. Et qui dit clip, dit musique. Donc, comme pour les tapageurs « Fame » et « Dirty Dancing », « Flashdance » mouline des tubes FM que tout le monde connaît vu que ça passe toujours en boucle à la radio depuis 30 ans, en tout cas ça aide presque à supporter 01h30 de vide scénaristique… A part ça, Jennifer Beals est bien mimi en soudeuse dans un chantier de pacotille et quand elle danse, elle sue beaucoup (en gros plan car pour les plans larges, c’est une doublure attifée d’une grosse perruque qui s’y colle, il n’y a qu’à voir la séquence finale ou la supercherie est assez grossière…). Bref, encore un film des 80’s qu’on réévalue à sa juste valeur, l’exercice étant loin d’être terminé, hélas…
Avec Fame (1980), Flashdance (1983) est le second film musical à être devenu un classique dans son genre. Seconde réalisation pour le cinéaste Adrian Lyne, juste avant 9 semaines 1/2 (1986). Si le scénario n’a rien d’époustouflant, on reste pourtant subjugué par la prestation de la charmante Jennifer Beals (âgée d’à peine 20 ans lors du tournage, elle était encore étudiante). Mais ce qui fait la force du film, c’est bien évidemment la B.O devenue mythique (et historique !), avec notamment What a Feeling, interprétée par Irene Cara (le film reçut d’ailleurs l'Oscar de la Meilleure Chanson). La mise en scène nous offre quant à elle de très belles images, où le peu de lumière (uniquement la lumière naturelle) rend sur certaines scènes, tout le charme des chorégraphies, sans oublier les excellents mouvements de caméra. Une histoire banale, certes, mais aux nombreuses chorégraphies toutes réussies (pour la petite anecdote, c’est la Française Marine Jahan qui doublait l’actrice principale et pour la scène finale, deux autres danseurs se sont succédés, une femme, pour l’envol et un homme pour le Break dance).
Film culte dans la mouvance des années 80 qui lança la mode vidéo clip et des films comme "Fame" ou "Dirty Dancing". Après des premiers échecs le réalisateur Adrian Lyne lancera sa carrière avec le succès de ce film. Un scénario cousu de fil blanc pour un film girly qui repose avant tout sur une BO devenue encore plus culte que le film lui-même ("What a feelin" chanté par Irene Cara qui jouait Coco dans "Fame") et le physique de Jennifer Beals ; à noter toutefois que l'actrice est doublée dans les scènes de danse par la française Marine Jahan... Une histoire à l'eau de rose sans piquant (le cinéaste ne refera pas la même erreur), tous les clichés possibles y sont, la mise en scène reste bloquée sur une seule idée : montrer un maximum le corps de l'actrice et en oublie un peu trop les chorégraphies. Dommage pourtant lorsqu'on sait qu'elles sont signées Jeffrey Hornaday qui signera également celles de "Chorus Line" (1985) de Richard Attenborough. Rien d'extraordinaire faut bien l'avouer. Une scène ou deux qui marquent (l'eau qui eclabousse la danseuse entre autre), une actrice jolie comme un coeur et surtout une BO d'enfer sauve le film mais ça reste peu consistant.
Un film qui sent bon les années 80 dans le moindre de ses éléments: musique, décor, looks, tout y passe allègrement pendant 1h30. Au final, que voyons-nous? Un film bourré d'énergie au fil conducteur plutôt mince, dont la potentielle dramaturgie est presque totalement édulcorée par le rythme du film et la volonté d'axer celui-ci sur des numéros musicaux impressionnants. Il y fallait les frêles épaules et la folle bonne humeur d'une Jennifer Beals pour porter l'ensemble, et c'est clairement elle qui s'en tire le mieux à cet exercice sans verser dans la caricature. La bande-son est impeccable, la mise en scène efficace et l'on ne s'ennuie pas même si la fin est courue d'avance.
Flashdance à tout pour déplaire, un scénario un poil bancal, le summum du kitsch, on est toujours à la limite et pourtant ... Le tout fonctionne parfaitement. Le charme de Jennifer Beals y est pour beaucoup. Les chorégraphies frôle parfois le ridicule mais la encore - sans y comprendre grand chose - on finit par être séduit. Les pales copies de ce film ne fonctionne pas du au faite que celui-ci ne joue pas la candeur à tout bout de champ, certes scènes implicites sont rempli de sous entendu tendancieux, l’héroïne n'est pas une sainte nitouche et tant mieux ! Un film distrayant qui avec les années prend un peu plus d'ampleur.
Les films dans l’univers de la danse ne fonctionnent pas fort de nos jours pour ne pas dire qu’ils sont tombés dans l’oubli mais pendant les glorieuses années 80 ils faisaient un véritable carton, les changeant pratiquement à chaque fois en monuments cultes pour toute une génération. "Flashdance" fait partie de ceux-là, racontant le rêve d’Alex de devenir une grande danseuse classique mais qui pour vivre est obligée de travailler sur les chantiers comme soudeur et de se produire dans un cabaret tous les soirs. L’histoire est naïve et les dialogues trop souvent navrants avec le temps mais c’est aussi ce qui fait le charme de ces films en revanche les chorégraphies endiablée sont toujours aussi entrainantes. C’est sur des chansons telles que Maniac ou What a Feeling devenu des tubes que l’ex-mannequin Jennifer Beals fait ses premières armes au cinéma bien que pour les scènes de danse elle ait été doublée. Malgré un montage souvent déroutant et le poid des années qui commence à se faire sentir, "Flashdance" est un divertissement tout à fait honorable et qui donne toujours autant la pêche.
J'ai trouvé ce film engagé. Peut etre un début de féminisme des années 80. J'y vois également une partie écologique dans ce film c'est quand meme la seule dans tout le film qu'y roule en vélo. Du coup je dirais que ce film parle peut etre des même problèmes qu'on vie actuellement. Pour ceux qui disent toujours que c'était mieux avant, et dont la nostalgie fait partie du quotidien, ce film aide a voir qu'on traite toujours des meme sujets. J'ai bien aimé le film, sans que ce soit un chef d'oeuvre non plus, Jennifer Beals.y joue brillamment.
Hé oui... j'ai été ensorcelé par cette magnifique jeune femme dont je suis tombé amoureux instantanément... comme sans doute des millions d'autres jeunes comme moi. :)
flashdance est un très bon film musical. La mise en scène de Adrian Lyne est excellente, le scénario est recherché et original, les acteurs comme Jennifer Beals, Michael Nouri ou encore Belinda Bauer sont convaincants dans leurs rôles et pour finir, le film est très intéressant. Bref, à voir…
Alors, better or not better than Dirty Dancing? Vous êtes né dans les années 90, vous avez une maman qui vous bassine avec ces deux films? C'est inéluctable, il faut passer par là les amis. Pas plus pire qu'une comédie romantique moderne, avec la faculté d'avoir des musiques de dingue. Bon surement un peu dépassé oui. On met de côté le scénario très faiblard, je ne pense même pas que c'était l'objectif du film. Mais les scènes de danse sont vraiment sublime. Retravaillé par la HD, et aussi pour le plaisir des yeux, je vous conseil d'y (re)jeter un oeil, avec maman pas loin bien attendu.
Certains succès s’expliquent difficilement. En dehors de la bande originale jouissive (pot pourri de tubes de l’époque) et de la plastique superbe des danseuses, il n’y a pas grand-chose à tirer de Flashdance. Le scénario est idiot, le contexte social de l’héroïne n’est jamais exploité à sa juste valeur, la réalisation clipesque à prit un sacré coup de vieux et la morale du film semble très limite. C’est vrai qu’il y a deux ou trois scènes cultes mais cela masque à peine la vacuité de l’ensemble. Et puis, Jennifer Beals est jolie comme tout mais elle ne sait pas vraiment jouer la comédie ni danser, puisqu’elle est doublée lors des chorégraphies.
Un classique qui ne fait pas vraiment honneur à la diversité musicale dans laquelle il aurait pu plonger. Il est bien fait et on comprendra aisément, même à 35 ans d'écart, pourquoi il est devenu culte, mais un certain minimalisme bien dissimulé est à l'oeuvre qui transforme le beau en mignon. L'oeuvre aurait sûrement fait très bon usage de 20 à 30 minutes supplémentaires en longueur, de quoi régler les trucs qui traînent dans l'histoire et en faire quelque chose de plus satisfaisant. Certains personnages sont carrément laissés pour compte ! Le scénario est relativement convenu, ce qui n'est pas grave en soi, mais la faible profondeur des rebondissements et le principe de la "flashdance" sur laquelle les danseuses, eh bien... dansent - sans jamais chanter même en playback -, font sonner le tout un peu comme une insulte non formulée aux artistes derrière tout ça. Surtout quand la star, révélation même, est doublée pour les scènes de danse...
Si l'histoire reste classique, le tout reste regardable, même si tout est prévisible. La musique est désormais culte, les chorégraphies aussi (d'ailleurs copiées de nombreuses fois depuis). Irène Cara a le charisme nécessaire et son personnage est plus sympathique. Pour passer une bonne soirée entre amies, il n'y a pas mieux.