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Un visiteur
3,0
Publiée le 19 octobre 2012
Flashdance est un de ces films musicaux des années 80's désormais culte et qui aura marqué son époque, tout comme Dirty Dancing ou Footloose. L'intrigue est aussi niaise que Dirty Dancing, c'est complètement ridicule sur le plan scénaristique, les dialogues sont à mourir de rires, tous les clichés sont présent (le side geek comique...) ! Mais quand on regarde un film comme Flashdance, ce n'est clairement pas pour voir un film à la complexité affolante soyons d'accord, et dans ce cas le film est une franche réussite. La mise en scène est intéressante, Adrian Lyne n'est pas un manchot yes man, c'est assz inspiré y'a quelque chose de dépeint qui est vraiment bien, mais encore une fois c'est le montage du film qui est génial et qui produit une galvanisation d'émotions chez le spectaur. La musique du film est sublime, elle s'accorde parfaitement avec les scènes et la photographie donne un rendue magnifique. Mais le très gros point fort de Flashdance c'est bien sur Jennifer Beals, qui dégage un charme particulier, elle donne un charisme à son personnage, qui le rend attachant auprès du public. Flashdance est un film culte certes, mais sûrement pas un chef d'oeuvre, un bon petit trip 80's comme on aime, à ne pas prendre au sérieux.
Il y a quand même des fois où je me demande comment certains films arrivent au titre de "films cultes" ... Le scénario est bidon et le message est carrément moyen (on bosse le jour, on se déanche devant son patron la nuit et vive le piston!). La seule chose qui rattrape le tout ce sont les musiques.
À Pittsburgh les temps sont durs et les danseuses aussi douées soient elles doivent se faire embaucher comme soudeuse sur les chantiers. C’est le cas d’Alex qui ne s’en tire elle pas si mal puisqu’elle habite un loft d’une bonne centaine de mètres carré. Elle rêve d’une chose Alex c’est de devenir une grande danseuse classique (bien sûr elle va y arriver). Son patron se comporte comme un gros stalker avec elle mais on est dans les années 80 du coup ça passe, surtout qu’il lui offre des fleurs . Flashdance premier gros succès de producteur de Jerry Bruckheimer c’est une petite dose de Rocky, un style très vidéo-clip avec une bo culte des 80´s et avec il est vrai des numéros de danse très spectaculaire. C’est sans aucune surprise, souvent bête mais c’est bien fait.
Mythe ou réalité? "Les deux mon capitaine"! Une qualité bien réelle. Pour un film de 30 ans d'âge, les chorégraphie sont modernes, la BO est tout simplement excellente et la photographie superbe. Le rôle principal est celui d'une femme indépendante, forte et qui n'hésite pas à s'opposer aux hommes, ce qui n'est pas fréquent, et encore moins au début des années 80! L'histoire manque un peu de profondeur, voire même beaucoup c'est vrai, mais on passe un moment vraiment agréable avec la sublime Jennifer Beals, et on fredonnera durant de longues années encore certaines des chansons de ce film mythique!
Flashdance fait partie de ces films cultes qu on ne se lasse pas de revoir. Une bande son du tonnerre, des chorégraphies excellentes, une jeune actrice irrésistible, de la sensualité, tout est réunit pour nous faire passer un bon moment ! Comment ne pas fantasmer sur la belle Jennifer Beals ? Comment ne pas danser avec ces chansons rythmées ? Un classique on vous dit !
Il faut vraiment avoir vécu les années 80 dans un autre état que celui de spermatozoïde ou de nourrisson pour apprécier les films musicaux de cette décennie considérés comme cultes ; bref il faut naviguer dans un parfum de nostalgie pour aimer "Fame", "Dirty Dancing" (ne pas être insensible au charme du regretté Patrick Swayze peut être un autre bonne raison pour l'apprécier je le reconnais !!!) et bien sûr "Flashdance"... "Flashdance", un film avec parfois un esthétisme de clip où la canon Jennifer Beals, aussi crédible en soudeuse que Woody Allen le serait en champion de bodybuilding, va réaliser le rêve de sa vie, avec l'aide non négligeable de ses doublures, en intégrant le conservatoire de danse, et bien sûr croiser l'amour avec un A dans sa quête de succès... Une intrigue hyper-naïve, dans laquelle on n'a même pas envie de chercher la moindre once de réalisme, filmée par un type qui a donné qu'un seul film réussi, qu'on aurait presque envie d'appeler ironiquement un accident de carrière, "L'Echelle de Jacob". Le tout enrobé avec une chanson culte de chez culte, comme pour "(I've Had) The Time of My Life" dans "Dirty Dancing" ou "Fame"...ben... dans "Fame", avec "What A Feeling", qui semble être le seul réel intérêt de l'ensemble. Enfin, c'est loin d'être désagréable, il ne faut pas être hypocrite ; on peut même parler de plaisir coupable... Bon alors, un, deux, trois, je les ai tous vus, je peux passer à autre chose...
Je découvre ce petit film (dans sa longueur) datant des années 80 et qui est devenu un classique. Bien que l'actrice est talentueuse en danseuse, ravissante et convaincante, que la bande son déchire, je trouve au fond le film pessimiste.spoiler: Le cuistot qui veut devenir comique, tente sa chance à LA pour devenir finalement... serveur, et il perd sa petite amie au passage. La patineuse qui rate son concours et finit à faire des lap dances, et enfin Alex qui réussit son audience... mais grâce aux relations de son petit ami qui est en réalité son boss. Merci si elle réussit son audience, sans lui, elle n'aurait pas atteint le concours. Conclusion faut coucher pour réussir ?
La notoriété de « Flashdance » repose essentiellement sur sa B.O., laquelle s’est écoulée à plus de 20 millions d’exemplaires, ainsi qu’à 2-3 bonnes séquences de danse, en aucun cas à son scénario terriblement niais et implicite. A l’époque, j’avais trouvé ça vachement chouette, alors qu’aujourd’hui j’ai, en toute logique, revu mon jugement à la baisse.
Une success-story comme seuls les Américains les imaginent."Flashdance"a marqué toute une génération de spectateurs,emportés dans un tourbillon de numéros de danses géniaux,au son d'une musique 80's devenue archi-culte.On a beau connaître 3 bobines à l'avançe chaque rebondissement,et trouver le scénario peau de chagrin,ce n'est pas ce qui importe.Le sulfureux Adrian Lyne("9 semaines et demie") a l'intelligence de monter son film comme un long vidéo-clip.Son meilleur atout indéniablement.Les chorégraphies dynamiques s'enchaînent,baignées par la lumière des néons et les tubes mythiques(What a feeling,Maniac).Jennifer Beals,sensuelle et énergique,invente la mode typiquement 80's des jeans troués et T-shirts XXL.Dommage pour les puristes qu'elle soit doublée sur les scènes de danse.Message simpliste qu'il faut poursuivre ses rêves,avec cependant un traitement plus adulte que le kitschissime Dirty Dancing par exemple...Agréablement surpris par ma grande clémence.
Un film de danse des années 80 plutôt pas mal mais sans plus. Scénario absolument pas difficile à comprendre car c'est histoire d'une jeune homme qui travaille en tant que soudeur dans une boite et danseuse de cabaret le soir. Actrice assez charmante et elle danse bien, le reste du casting la suit bien. Quelques longueurs mais largement compensés par les scènes de danse avec une chorégraphie du tonnerre. Sans oublier les musiques de Global Deejays qui mettent une bonne ambiance et adéquate à l'époque déroulant le film. L'inconvénient, ce qui se pas que ça, soudeur la journée et danseuse le soir, et cela devient assez répétitive et fatiguant de voir la même chose. Des décors et des costumes comme on pouvait voir dans les années 80. Un film de danse de bonne détente.
Une belle 6ème place annuelle au box-office français de l’année 1983 pour ce film musical très mode qui ne vaut pourtant pas tripette. Si la BO est plutôt bonne grâce aux nappes synthétiques du maître Moroder, et si Jennifer Beals est très jolie, voire carrément sexy, les scénaristes, eux, ne risquaient pas le rhume de cerveau avec ce script inepte, parfaitement vide et transparent. Suite de clichés qui reprennent les formules de Fame sans aucune valeur ajoutée, l’ensemble ne propose pas de scène mémorable. On ne trouve pas de numéro musical scotchant, les chorégraphies sont quelconques et surtout, surtout, il n’y a aucune histoire. Le rythme s’en ressent à tel point que l’ennui s’invite rapidement durant la projection. Seule la réalisation outrageusement esthétisante d’Adrian Lyne permet de se distraire l’œil. Autant remettre le CD sur sa platine, cela est plus entraînant que le film lui-même. Bref, encore un triomphe public incompréhensible.
Jolie comédie musicale d'une heure et demi au scénario on ne peux plus classique et léger mais sur la poursuite de ses rêves et objectifs, sur fond de romance pas trop mal. Jennifer Beals est très jolie et sa doublure offre des scènes de danse tout simplement fabuleuses. Pour la bande original des tubes incroyables comme "What a feeling" d'Irene Cara, "Maniac" de Michael Sembello, "Gloria" de Laura Branigan, et" I Love Rock 'n' Roll" par Joan Jett and the Blackhearts. Le drame à dix minutes de la fin... on aurait pu éviter. Cependant sympathique classique des années 80, même si elle ne raconte pas grand chose, on a quand même le côté musical et danse qui donne de la consistance.
Flashdance est figé dans les années 80. Je n'ai pas du tout aimé en dehors de la BO qui contient des tubes connus de tous. Mais au niveau de l'histoire, de la romance et de la comédie, je n'ai pas accroché. Encore moins pour ce qui est de la danse, aujourd'hui dépassée. Bien que je sois fier que les danses aient été interprétées par une française, ce qui retire, selon moi, toute crédibilité et intérêt à l'actrice principale, Jennifer Beals. Grande déception, on fait tout un plat de ce film alors qu'il ne contient qu'une danse de 2-3 minutes sur le final et une bonne BO.
Une comédie musicale culte des années 80 qui se regarde toujours avec un plaisir coupable, plus pour son énorme BO et la beauté envoûtante de Jennifer Beals, que pour son scénario ultra-convenu.